- Partie 2 -
La nuit était chaude et j’avais la tête encore pleine de ce qui venait de m’arriver.
Yohan, à mes côtés, dormait profondément (son ronflement était maintenant franc et indiscutable).
Avais-je abusé de son corps endormi sans avoir jamais eu sa permission ?
Ou bien avait-il simulé le sommeil pour s’abandonner sans honte à ma bouche ?
J’étais sous le choc : à la fois encore très excité par la sensation d’avoir sucé la queue de mon pote et un peu gêné. Dans tous les cas, il y avait de grandes chances pour que notre si belle amitié soit définitivement abîmée…
Vous ne serez pas très étonnés : avec toutes ces questions en tête, je n’ai pas réussi à dormir.
J’ai eu beau ôter mon slip (je ne supporte pas de dormir entravé), rien à faire, aucun signe de sommeil.
Au bout d’une heure à tourner en vain dans mon sac de couchage, j’ai décidé de me lever et de sortir pisser et prendre l’air. Il faisait maintenant nuit noire, tout le monde dormait depuis longtemps et, hormis quelques hululements au loin, on n’entendait absolument rien.
Sans prendre davantage de précautions, je me suis donc glissé hors de la tente, nu comme un ver. Cela peut vous sembler étrange, ou inconscient, mais j’étais déjà naturiste à l’époque et tout à fait à l’aise avec ma nudité.
Une fois à l’extérieur, seule une petite lanterne laissée allumée éclairait le campement. La maison de chasse était, elle, complètement plongée dans le noir et la forêt tout autour avait la profondeur des ténèbres. C’est pourtant dans cette direction que je me dirigeai, pressé par une vessie comprimée et bien décidé à ne pas réveiller mes amis.
L’herbe sous mes pieds était fraiche, presque humide, comme une caresse un peu baveuse. L’air encore chaud de la canicule accompagnait chacun de mes gestes et enveloppait ma peau d’un voile léger. Je n’étais plus nu mais habillé tout entier par la nature estivale.
Je fis quelques pas encore, jusqu’à sortir complètement du champ qui nous servait de campement d’un soir. Je m’approchai d’un arbre et commençai à pisser sur son tronc, quand un bruissement me fit sursauter.
Il y avait là quelque chose de vivant. Un animal ? J’allais bientôt le savoir.
Les yeux encore trop peu habitués à l’obscurité, j’ai entendu quelques bruits de pas avant de distinguer la silhouette de celui qui était en train de me rejoindre.
Il s’agissait de Maxime, l’un des amis quarantenaires du mec de Linda. Je l’avais rencontré pour la première fois quelques heures auparavant, autant dire que nous ne nous connaissions quasiment pas.
Arrivé à côté de moi, il me dit en chuchotant, à moitié hilare : « qu’est ce que tu fais ? toi non plus tu n’arrives pas à dormir ? » Sans me démonter, en espérant qu’il ne fasse pas cas de ma nudité, je lui répondis que j’avais envie de pisser et que je ne pensais pas croiser quiconque en dehors du campement.
À ce moment-là, il s’est rapproché encore jusqu’à presque pouvoir me frôler. J’avoue avoir eu un léger mouvement de recul, ne connaissant rien de ses intentions.
Mais j’ai vite compris où il voulait en venir lorsqu’il a ajouté : « moi, je me suis couché avec la gaule, l’alcool ça me fait bander, tu vois, alors que Céline ça la fait dormir. J’allais quand même pas me branler dans la tente à côté d’elle alors je suis venu ici. Mais reste, hein, tu me déranges pas… »
J’aurais pu décliner l’invitation, j’aurais peut-être du.
C’était sans compter sur ma queue qui, sans me laisser le temps d’ajouter quoi que ce soit, en guise de réponse, s’est immédiatement dressée (il faut dire que je suis hyper réactif, quand je suis excité je ne sais pas le cacher).
Maxime a pris les choses en main. Il m’a attrapé la queue et a commencé à la secouer vigoureusement. Ça n’était pas les gestes doux et sensuels d’un rapprochement amoureux, mais plutôt la branlette virile et franche d’un mec en manque de cul. Je me suis laissé faire, bien évidemment, et j’ai entrepris de palper le paquet rebondi de Maxime, encore prisonnier de son short.
Et puis, sans savoir si cette audace serait bien accueillie, je me suis accroupi en face de lui. J’ai baissé le short de Maxime jusqu’à ses genoux et je me suis jeté sur sa queue énorme, comme un affamé.
Ce mec avait un corps très différent de celui de Yohan. Blond, pas plus grand que moi (1m75), massif, carré de épaules, il avait les paluches d’un mec travaillant avec ses mains. Quarantenaire, il avait la maturité et l’assurance de celui à qui tout est déjà arrivé. ...
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