Après 10 ans de mariage, mon épouse est décédée dans un accident. Deux ans après, j'ai rencontré celle qui je croyais, allait devenir la femme de ma vie...Et elle l'est, mais pas comme je pensais. Elle était magnifique, longues jambes, fesses petites mais bien rebondies, ventre plat, poitrine moyenne mais ferme, grands yeux bruns et chevelure brune mi-longue. J'étais tombé immédiatement amoureux et je n'ai pas encore compris pourquoi, ni comment, deux mois après nous étions mariés.
Dès le mariage, son comportement changea. Elle me parlait à peine, évitait le plus possible le lit et me témoignait une froideur glaciale. Je commençais à comprendre l'erreur que j'avais faite en ne la connaissant pas assez...Mais c'était trop tard. Naïf et éperdument amoureux, je lui avais laissé faire le contrat de mariage et, en fait, elle m'avait pratiquement dépossédé de tous mes biens.
Un jour, j'avais quitté le boulot le midi pour aller la voir à la maison. Une voiture stationnait devant la porte. Je rentrais prudemment et j'entendis : d'abord des gémissements, des soupirs, puis des "vas-y là, limes moi, baises moi...oh oui c'est bon", puis des cris de jouissance que je ne lui avait jamais entendu.
Je quittais la maison en silence et sans me montrer.
Le soir, j'osais entreprendre le sujet :
- Je suis passé ce midi.
- Et alors ?
- Tu n'étais pas seule.
- Et alors ?
- Alors, j'attends des explications.
- J'ai besoin d'un homme qui me baise, qui me fasse jouir, pas d'une lope comme toi avec ton misérable spaghetti entre les jambes. Si cela ne te plait pas, tu peux toujours faire ta valise. Cependant, je serai bonne avec toi. Tu peux assister comme voyeur et te masturber en pensant à mon plaisir. De toute façon, je ne veux plus de toi dans mon lit, et je t'interdis désormais de me toucher sans mon autorisation.
Interloqué, je ne trouvais rien à dire et elle quitta la table en riant.
Elle recevait maintenant ses amants sans complexe en me disant :
- Celui de ce soir n'aime pas les voyeurs. Vas dans ta chambre et n'en sors que lorsque je te le dirai.
De tempérament soumis, je lui disais :
- Oui ma chérie.
- Cesse de m'appeler "ma chérie"...Tu m'appelleras "Madame" désormais...Compris ?
- Oui Madame
Deux à trois fois par semaine, elle recevait ses amants. Parfois je pouvais assister avec interdiction de me masturber ou alors, je devais sucer son amant jusqu'à ce qu'il soit pr ...
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