Courant janvier de cette année, j’étais sans arrêt enrhumé, je me décide donc à aller voir mon médecin traitant, un bel homme de 35 ans environ, marié, hétéro, bon père de famille. Me voilà dans son cabinet, il m’ausculte et avant que je me rhabille, il me passe la main sur le torse dans les poils, en me disant vous avez mal aux poumons en toussant? Je lui réponds « un peu ». Moi qui le voyait complètement hétéro, j’ai eu un doute car il avait l’air d’apprécier mes poils. Je me rhabille, il me fait une ordonnance et je m’en vais.

Une dizaine de jours plus tard malgré les médicaments je toussais toujours. Je rappelle le cabinet médical et tombe sur lui, j’explique mon cas et il me dit « je vous prends entre deux »… à l’heure du déjeuner (cela m’étonne car il ne reçois jamais en dehors des heures officielles). Je me présente donc à 12h30 alors que le cabinet est fermé. Il passe me chercher dans la salle d’attente et dis au secrétariat de l’accueil « Vous pouvez partir, je fermerai après ma consultation».
Nous voilà tous les deux enfermés dans le centre médical, seuls, je me faisais déjà un film.
J’avais l’impression que mon rhume ou ma grippe étaient déjà guéris…
Me voilà dans son cabinet, j’enlève ma chemise et il me dit de retirer mon pantalon (pour la première fois), chose que je n’avais jamais fait avant car je venais toujours le voir pour des maux bénins.
Il pris ma tension et m’auscultas la gorge, le dos et les poumons avec son stéthoscope en insistant bien sur la pilosité de mon torse, il était collé contre moi, le long du lit médical et je le sentais se frotter contre mon avant-bras. D’un air discret, je regardais sa braguette et je vis le pli de son pantalon gonfler à vue d’œil.
J’en profite pour pousser un peu mon avant-bras contre sa braguette et à mon tour de commencer à bander sérieusement. Il me dit vous n’avez pas mal au ventre ou à l’appendicite et sans attendre ma réponse, il glisse quelques doigts dans mon caleçon au niveau de l’appendicite. Dans ma tête j’avais plutôt une grippe qu’autre chose.
Du coup je me lance et de mon autre main je frotte mon avant-bras et en profite pour lui frotter un peu son pantalon, sentant ça , il attrape ma bite dans mon boxer en lançant un HUMMM et ...

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