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Vélo et orage d’été

Publié par : bipassifff le 07/04/2020

Par cette chaude journée du mois d’août, malgré le ciel menaçant, je décidais d’aller me faire une balade à vélo en solitaire. Ma femme elle, préfère la piscine.
Après une dizaine de kilomètres, perdu en pleine campagne, le ciel est tout à coup devenu tout noir et je devinais l’orage qui s’approchait. Trop tard pour retourner à la maison, je vais devoir affronter la pluie... en pédalant à toute vitesse, j’aperçois une vieille ferme au loin. Je me dis que j’y trouverais sans doute un petit abri, le temps que la pluie cesse.
Tel un robinet de douche qu’on ouvre brutalement, la pluie s’est mise à tomber juste avant que je n’atteigne l’etable qui sera mon abri.
Bref j’étais maintenant à l’abri mais complètement trempé.
Des trombes d’eau mêlées d’éclairs s’abattaient sur ce magnifique paysage de la plaine du Forez.
Le bruit était très fort, aussi je n’ai pas entendu que quelqu’un était en train de s’approcher de moi derrière.
J’ai sursauté quand j’ai senti une main se poser sur mon épaule.
J’ai crié tout en me retournant rapidement afin de découvrir qui était là.
N’ai pas peur mon gars. T’as bien fait de foutre à l’abri. C’est le déluge qui nous tombe eu dessus.
Cet homme, la cinquantaine bedonnante, en tenue de travail kaki, m’avait l’air d’un agriculteur.
Je m’appelle René, c’est ma ferme ici, enfin ce qu’il en reste. Sois le bienvenue mon gars. Comment tu t’appelles?
Bonjour René. Moi c’est Dominique. J’ai été surpris par l’orage alors je me suis permis de venir me mettre à l’abri ici.
Pour sûr, t’as bien fait. C’est pas trop prudent de sortir par ce temps. Mais on dirait bien que t’y a pas échappé à la pluie.
T’y est trempé jusqu’aux os. Viens donc à l’intérieur que tu te sèche un peu. C’est un coup à attraper la crève de rester ainsi.
J’ai donc suivi René dans sa maison juste à côté de cette grange. Il y faisait bien chaud en effet.
Retire moi tout ça. On va les faire sécher tes vêtements.
A vrai dire comme vêtements, l’inventaire était vite fait puisque je ne portait qu’un T-shirt léger et un petit short sans sous vêtements et mes chaussettes.
J’ai retiré mon T-shirt, mes chaussures et mes chaussettes que j’ai posé sur une chaise.
Revenant une serviette de bain à la main, René me dit.
Et ben faut qu’tu retires aussi ton short. Regarde comme il dégouline.
C’est que je vais me retrouver à poil.
T’inquiète on est entre hommes. Et y’a que nous deux ici.
Lui tournant le dos par pudeur car il restait à attendre, j’ai retiré le dernier vêtement que je portais.
Ben voila. On va faire sécher tout ça.
Tiens j’ai une serviette. Je te frotte le dos t’as l’air gelé mon pauvre.
Avec des gestes rudes il m’a frictionné vigoureusement le dos.
Ses gestes sont devenus plus délicats lorsqu’il est arrivé à hauteur de mes fesses.
Il prenait son temps pour m’essuyer. Il a même pris une chaise pour s’asseoir et sans doute pour admirer mon fessier.
Il m’a ensuite donné la serviette en me disant de me sécher devant.
Gardant ma position, je le devinais en train d’admirer mon cul.
T’as un sacré beau cul mon gars. On dirait un cul de jeune fille.
J’apprécie le compliment qui me laissait à penser que j’allais peut-être profiter de cette situation...
Osant entrer dans le rôle de la salope, je me suis a ...

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