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Vacances en side car au Maroc 1

Publié par : pierre49590 le 28/09/2024
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À vingt ans, le cœur plein d'aventure, et après avoir travaillé tout un été et les week-ends pour me constituer un pécule, je m'étais lancé à moto pour mon premier grand voyage en solitaire. Ma fidèle Dniepr Ural avec son side-car, compagne de route rustique, robuste et atypique, m'emmenait à travers les paysages inconnus et envoûtants du Maroc. Plusieurs mois de liberté s'offraient à moi, et les rencontres jalonneraient certainement mon chemin, chacune apportant son lot de découvertes. C'est ainsi qu'on me parla des gorges du Dadès, merveille naturelle nichée au cœur de l'Atlas. On me vanta les mérites d'un petit Riad, modeste mais charmant, blotti au fond du canyon. Intrigué et séduit, je décidais dans un premier temps d'y faire étape pour rayonner autour de cette région. Les villes royales viendraient par la suite…
C'est donc avec une certaine fébrilité que je pris l’itinéraire sinueux menant aux gorges du Dadès. La route goudronnée serpentait à travers le canyon, dévoilant à chaque virage de nouvelles perspectives sur les falaises rouges et ocre qui semblaient toucher le ciel. Les paysages grandioses défilaient sous mes yeux émerveillés, chaque kilomètre ajoutant à la beauté sauvage de cet endroit reculé.

C’est en conduisant, tout en admirant le paysage défiler, que je le vis pour la première fois. Un jeune Marocain, drapé dans un large Daraa, en légère toile blanc immaculé, mais usée, flottant légèrement au gré de la brise chaude du désert, et qui contrastait avec la terre ocre environnante. Il se tenait fièrement derrière un étal de fortune, surmonté d'un vieux parasol délavé arborant une publicité à moitié effacée pour une marque de limonade. Son visage déjà buriné par le soleil, s'illuminait d'un sourire chaleureux dès qu'un véhicule approchait. Ses yeux vifs et d’un noir profond, pétillant de malice, scrutaient l'horizon, à l'affût du moindre client potentiel. Ses lèvres fines, souvent étirées en un sourire éclatant, révélaient une dentition irrégulière, mais éclatante de blancheur. Ses mains, déjà un peu calleuses, caressaient presque avec tendresse les melons dorés qui s'entassaient sur son étal précaire, assemblage de caisses en bois hétéroclites et de planches usées. Chaque fois que je passais, sa voix rauque s'élevait, vantant la douceur de ses fruits. "Melons frais ! Douceur de la vallée !" criait-il avec une verve digne d'un poète des souks. Malgré la précarité évidente de sa situation, une noblesse indéniable émanait de lui, comme s'il était le gardien de ce coin de paradis berbère.
Les deux jours premiers furent rythmés par mes excursions dans les gorges spectaculaires et ses alentours, puis mes retours au Riad. À chaque passage, le jeune vendeur me hélait, son enthousiasme intact. Sa persévérance et sa joie de vivre, malgré les conditions difficiles, m'intriguaient de plus en plus.
Un après-midi, alors que le soleil déclinait et peignait les falaises de teintes flamboyantes, je décidai de m'arrêter. Le ronronnement de ma Dniepr s'éteignit, laissant place au silence majestueux des lieux. Le visage du jeune vendeur s'illumina d'un sourire encore plus éclatant que d'habitude. Avec des gestes précis et respectueux, il me présenta ses plus beaux melons, m'invitant à en humer leur parfum enivrant. Sa fierté était palpable, comme si chaque fruit était le fruit d'un labeur personnel. Je choisis deux melons, leur poids rassurant entre mes mains promettant une fraîcheur bienvenue. Alors que je réglais mon achat, nos regards se croisèrent. Dans ses yeux, je vis le reflet de ma propre aventure, de cette soif de vivre et de découvrir ce qui m'avait poussé sur les routes du Maroc. Ce bref échange silencieux fut comme une reconnaissance mutuelle, le partage d'un instant de vie simple mais authentique. Je fus profondément troublé sur l’instant par l’effleurement de nos mains, volontaire ou pas, j’eus du mal à le déterminer... Je repris ma route, le side-car chargé de mes melons, riche d'une expérience qui dépassait largement le simple achat de fruits. Ce jeune vendeur, avec sa dignité et sa persévérance, était devenu, sans le savoir, un personnage marquant de mon voyage initiatique.
Ces moments d'échange devinrent rapidement une habitude. À chaque retour de mes escapades, je faisais une halte à son étal, savourant non seulement les melons juteux, mais aussi sa conversation. Il me parla de sa vie, de sa famille, et des défis quotidiens qu'il affrontait avec persévérance. C’était surtout pour moi l’occasion d’encore mieux le découvrir et l’admirer car le soir, seul dans ma chambre, je me masturbais avec son image en tête.
Mes stations se prolongèrent de plus en plus, car je voulais mieux déguster ces instants. Il avait ce que je qualifierai comme une « beauté virile », en dépit de ses 16-17 ans estimés (en fait il avait un an de plus). L’intensité des regards que nous échangions m’interpellait et j’avais remarqué très nettement que les effleurements de nos mains dans le passage des melons ou le rendu de la monnaie semblaient bien recherchés par lui. Bien sûr, m’est rapidement venu à l’esprit de trouver une opportunité de se rencontrer dans un cadre, disons, plus intime. Un soir, où je passais plus tardivement que d’habitude, avec un soleil presque rasant sur l’horizon j’eu un coup au cœur en découvrant par transparence, au travers de son fin Daraa, un énorme sexe pendouillant entre les jambes. Il dut remarquer l’insistance de mon regard, car il se mit immédiatement de trois quarts. Fidèle à mon habitude, je décidais de faire le premier pas :
- Tu ne portes pas de pantalon ni de slip sous ton caftan apparemment, Karim ?
Il sourit alors, comme un peu gêné. Je ne sais pas s’il rougit, je suis incapable de le dire aujourd’hui, mais c’est l’impression que j’en ressentis sur l’instant.
- Non, il fait trop chaud ! Tu sais, nous, on fait souvent comme ça ici ! Mais normalement on met un pantalon de même tissu.
- En fait, l’important est de se sentir à l’aise !
Sûrement pour changer de conversation, il me montra ma moto et me questionna dessus.
Il m’avoua sa passion pour ces engins. Nous nous mîmes alors à parler de motos et de mécanique, domaine qu’il semblait assez bien connaître.
- En plus, celle-là c’est une grosse cylindrée !
- Oui, enfin sans plus. Elle ne fait que 750 cm3 mais ça me suffit. Et puis, dans cette gamme, les 1000 n’existent pas. Tu aimerais faire un tour ?

À l'énoncé de mon offre, ses yeux s'écarquillèrent de surprise, puis s'illuminèrent d'une lueur d'excitation. Un large sourire se dessina sur ses lèvres, révélant ses belles dents blanches qui contrastaient avec sa peau hâlée par le soleil.
- Vraiment ? Je peux monter sur ta moto ? demanda-t-il, sa voix trahissant un mélange d'incrédulité et d'enthousiasme. Ses mains, d'ordinaire occupées à arranger ses melons, s'agitaient maintenant avec une énergie nouvelle, comme s'il ne savait plus quoi en faire. Sans hésiter, il se tourna vers son étal, arrangeant rapidement ses fruits et ajustant le vieux parasol. Puis, avec une agilité surprenante, il enjamba la barrière improvisée qui séparait son stand de la route.
- Oui, oui, j'accepte ! s'exclama-t-il, son accent marocain plus prononcé sous le coup de l'émotion. C'est un rêve pour moi de monter sur une telle machine ! Son attitude enjouée était contagieuse. Il sautillait presque sur place, incapable de contenir son excitation. Ses yeux passaient de la moto à moi, puis de nouveau à la moto, comme s'il n'arrivait pas à croire à sa chance. Alors qu'il s'approchait du side-car, je remarquai qu'il caressait doucement le métal de ma Dniepr, avec un respect palpable dans ses gestes. Il semblait presque hésitant, comme s'il craignait de briser la magie de ce moment. Se tournant vers moi, son visage rayonnant de joie, il déclara :
- Mektub ! C’est le destin qui t’envoie, mon ami ! Ce sera une expérience inoubliable. Merci, mon ami, du fond du cœur.
Dans ses yeux brillait une gratitude sincère, mêlée à l'anticipation de l'aventure à venir. Ce jeune vendeur de melons, que je connaissais à peine, sinon par son prénom, était prêt à troquer, le temps d'un instant, son univers familier et routinier contre l'ivresse de la liberté que promettait ma fidèle machine. Je l'invitai à monter, et alors qu'il s'installait derrière, je ressentis une vague de complicité, une connexion éphémère, mais authentique, comme si nous partagions un moment de pur bonheur, loin des préoccupations du quotidien. Mon démarrage un peu sec le surprit et il n’eut que le temps et le réflexe de se retenir par mon bassin, ce qui ne me déplut pas. J’affichais une conduite sportive, pour autant qu’on puisse le faire avec ce lourd side-car, ce qui le contraignait à se raccrocher souvent à ma taille, avec une main sur mes abdominaux. Délicieux instants. Mais je voulais aller encore plus loin. Ralentissant un peu, je lui criais par-dessus mon épaule :
- Colle-toi plus à moi. Tu seras plus stable !
D’un coup de rein, il vint plaquer son bassin contre mes fesses, me faisant deviner immédiatement la grosseur de son sexe contre mon fin bermuda. J’avais déjà souvent partagé des trajets avec des copains, collés à moi. Mais je n’avais que très rarement senti leur sexe à ce point-là, tout au plus quelque chose que je devinais être leur bite. Mais là, le doute n’était plus permis ! Avec ...

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