Avant de vous exposer mon histoire, je tiens à vous donner quelques précisions sur mon anatomie,
"Dame nature" m'a doté d'un sexe minuscule, comparable si on le regarde bien, à un clitoris, je ne bande jamais. De même, mes testicules ne pendent pas, Ce qui me donne un entre-jambes presque féminin,
Il manque juste les lèvres génitales, mais mon corps bien dessiné, et ma poitrine un peu développée me donnent une allure efféminée, C'est pour ça que je me travlotte, A mon adolescence, cette situation m'a complexé, Mais maintenant, je n'ai plus aucun tabou, et je me réserve de belles expériences,

J'habitais la région parisienne, beaucoup de jeunes de mon âge m'encourageaient et me donnaient des conseils assez coquins lorsque l'on se retrouvaient dans les douches de la piscine ou dans les vestiaires de la salle de sport, "pourquoi ne t'habilles-tu pas en fille ? Me répètaient-ils à chaque fois,

Quelques années plus tard, un collègue de travail, m'appela au téléphone, C'était un homme blond, la quarantaine, sportif, un peu autoritaire, habitué des sexshops parisiens,
Il me donna rendez-vous sur le parking du super marché du coin et m'ordonna de monter à côté de lui à l'arrière de sa voiture, Mais j'étais folle de désir,
Arrivés dans la chambre, une femme élégante, vêtue d'un tailleur m'attendait, et sur une petite table étaient rangés soigneusement: une robe courte noire à dentelles, une paire de bas résilles auto-fixant et des talons hauts, un petit tablier blanc et une coiffe de la même couleur,
"Mais, il n'y a pas de slip ? "Demandai-je à la dame, un peu appeuré
elle me rétorqua d'un ton sévère:
"Non, petite salope, là ou tu vas , tu n'en auras pas besoin ! Tu devras être docile et soumise, Et gare à toi si tu es désobéissante", L'homme blond veillait au bon déroulement et j'apercevais déjà la bosse prédominante qu'il exhiba à travers son pantalon,
Je m'exécutais tout de suite, je m'habillais avec les sous-vêtements, et passais la robe un peu moulante, Je me coiffais d'une perruque blonde, Les talons hauts de 13cm me donnaient de belles jambes fuselées et un déhanché de femelle prête à être baisée, Cette situation commençait à m'exciter, la chaleur envahissait mon corps de petite salope, et pourtant la soirée n'était pas terminée,
Avant de me mettre le soutien-gorge transparent, la maîtresse des lieux me maquilla et m'accrocha des boucles d'oreilles, Le mâle qui ne débandait pas de me voir si bien habillée, me plaça autour du coup un collier avec une médaille sur laquelle était gravé: "chienne à baiser",
Là, avec une telle publicité, je ne pouvais échapper à aucune contrainte,

Le maître me fit sortir de l'appartement, il me tira avec une laisse, Quelle humiliation! lorsque je vis apparaître leur voisins dans la cage d'escalier,
Nous regagnons la voiture me forçant par le bras, et nous nous dirigeons vers une grande maison isolée,
Ne sachant rien de cette situation inattendue, et inquiétante, je redoutait un peu ce qui allait se passer, Deux blacks nous acceuillaient de chaque côté de la porte d'entrée, plus je m'approchais d'eux, plus ils me paressaient grands,
"Alors, ils te plaisent ? , Ils vont bien profiter de toi," m'indiqua mon maître d'un soir,
Timidement et d'une voix fluette, je répondis: -"oui, mais ils sont forts,"
Le costume blanc de chacun laissait apparaître au niveau de la braguette ouverte une belle queue pendante, La couleur ébène de leur bite contrastait parfaitement sur leur costume clair, L'idée était bien trouvée, Je ne restais pas insensible au spectacle qu'ils m'offraient, et je songeais déjà à ce qui m'attendait une fois que j'aurai pénétré à l'intérieur car impossible de faire demi-tour , mon maître veillait au grain, J'étais à la fois leur objet sexuel et devrais assouvir tous leurs fantasmes, Un homme ouvrit la porte de la voiture, pris la laisse pour me tirer de la voiture, et me conduisit jusqu'à l'entrée de la villa sous le regard souriant des deux blacks,

Dans une grande pièce garnie de tables basses, les convives attendaient, je leur présentaient le plateau de cocktails, Des consignes particulières m'étaient données: sourires, politesse, disponibilité et aucun refus aux exigences des invités, Certains au passage me mirent la main aux fesses ou soulevaient ma mini robe pour apercevoir la dentelle ...

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