Je suis donc lisse, propre, travestie, maquillée, mais à demi nue et en pleine action dans cet appartement que je ne connais pas avec 5 lascars hétérosexuels que j’ai rencontré à la muscu. En suçant Karim, le premier d’entre eux dont je me suis occupée, j’ai eu très rapidement en bouche un gourdin de 20 cm que j’ai bien du mal à enfiler en fond de gorge. De toutes façons cela ne dure pas très longtemps ! Il explose directement dans ma bouche et sur mon visage, sans même avoir goûté à ma chatte anale.

« Bienvenue à l’apéritif, ma sissy » dit Issam le Maître des lieux … et de moi-même !

Le goût du sperme met une touche d’amertume légèrement écoeurante sur le punch que je viens de boire, mais ce n’est pas désagréable. J’en ai avalé une grande quantité, en toussant un peu.
Issam se retire et essore sa queue sur mon visage. Puis un autre a la délicatesse de m’essuyer avec un kleenex, tout en étalant bien le sperme sur tout mon visage … « ça rajoute une excellente crème de jour bio à ton maquillage, chérie »

Je ne dis rien, profitant de ce moment à la fois humiliant et très agréable. Je me sens maintenant parfaitement en sécurité, et je sais que ces mâles me donneront tout le plaisir que je recherche. Je suis toujours à genoux avec mes talons et mon cul cambré, prête à m’occuper des 4 autres.

Le mec qui m’a essuyé approche maintenant sa queue, et je m’occupe de lui de suite. Sa bite n’est pas circoncise, et il est bien agréable d’aller chercher avec ma langue, le gland qui n’est pas totalement décalotté sous son long prépuce. Là encore quelques secondes suffisent pour une érection maximale, mais le deuxième bonhomme s’avère plus endurant que le premier. Il commence à m’imposer une gorge profonde (que j’accepte bien sûr) et émet un petit râle de plaisir.

Pendant ce temps un troisième mâle s’est positionné derrière moi, toujours à quatre pattes, et m’écarte un peu les jambes pour se faire de la place. Celui-là n’aura pas besoin de se faire sucer, il m’enfile directement son dard dans la chatte, lentement mais surement, jusqu’à la garde. J’adore ! J’ai juste un peu de mal à me concentrer sur les 2 à la fois, et me débat avec les haut le coeur que m’impose le deuxième du côté buccal.

Il a d’ailleurs entrepris de me baiser la bouche, en maintenant sa main fermement à l’arrière de ma tête. Ma perruque se barre…

« Ouaiiiis … » commente Issam, « On s’en fout de ta perruque on sait que t’es une femelle qui kiffe le mâle, tu nous en fait une belle démonstration ».

En effet pendant quelques minutes je subit les assauts simultanés des deux mâles alphas. Un va-et-vient ans d’amplitude maximale dans chaque orifice, ça n’est pas si facile à tenir même pour la salope entraînée que je suis. D’ailleurs mon clito réagit en redevenant mou, et se balance en pendouillant au gré des coups de boutoir répétés. Je tiens le coup, mais me sens comme une poupée gonflable entre ces deux étalons. Je bave un maximum sur le tapis d’Issam.

Les deux autres m’entourent, à moitié à poil et queues dressées, et Issam a aussi commencé à filmer nos ébats.

« T’inquiète c’est juste pour ma collection personnelle, ça sortira pas d’ici » dit-il.
Je ne sais pas pourquoi je lui fait confiance. J’ai surtout envie de m’abandonner totalement à ces jeux virils, à ces bites qui me pilonnent par les 2 trous et au plaisir qui recommence à monter.
La chaleur et la soif recommencent à m’atteindre, malgré l’arrachage de la perruque qui me permet de refroidir un peu mon crâne trempé de sueur.

Les deux zozos jouissent au même moment à quelques secondes près, l’un sur mon visage l’autre au fond de ma chatte anale, en s’agrippant sur le haut de mes cuisses et en râlant.

Je n’ai pas eu le temps de jouir, et d’ailleurs il ne vaut mieux pas car il me reste 2 mâles à satisfaire et je sois donc rester dans le désir. Après le déculage et le débouchage (je ne sais comment exprimer cela), je dégouline de sperme. C’est encore le tapis d’Issam qui le récupère, celui qui dégouline de mon visage mais aussi celui qui coule de mon anus après quelques secondes, et que je n’ai pas envie de retenir. Je pense fortement au mot « traînée » dont on qualifiait autrefois les prostituées.

« J’ai soif »dis je
"Très bien chérie, un petit verre de punch pour notre petite pute elle l’a bien mérité
- Non vraiment je préfèrerais un verres d’eau
- Ta bouche bébé, je t’ai pas demandé ton avis, bois ce verre ! »

Trop assoiffée et déjà fatiguée pour discuter, je prends le verre et le bois goulument… de toutes façons autant prendre son plaisir jusqu’au bout ! En plus cela changeait un peu du goût du sperme.

Les deux derniers se positionnèrent de la même manière que les 2 précédents, Issam derrière en continuant à filmer. Mais conscients que je commençais à fatiguer, ils ne me limèrent pas longtemps ni la chatte ni la bouche.

« Allez mets toi sur le dos, les jambes repliées et écartées, salope ! »
Je m’exécutais, appréciant cette position ainsi que le moelleux du tapis d’Issam.

« Bouffe lui le cul, me dit Issam en désignant son copain »
Sans le punch je ne l’aurais pas fait, trop soucieux de ne pas choper de maladies; mais là entre l’ivresse et l’excitation de me sentir totalement dominée par ces mâles, j’ai adoré voir le type par dessous s’accroupir sur moi avec sa bite dressée et ses grosses boules, puis aplatir son cul sur mon visage. Ma langue trouve son anus bien doux… Bien vite il éjacule longuement sur ma (fausse) poitrine, et Issam vint terminer la série en se vidant sur mon visage tout en restant debout. L’effet du ...

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