(suite de « Ma Soumission », histoire relatée sur ce site il y a une semaine)

« Allez, venons-en aux choses sérieuses, maintenant !... Tu vas te laisser conduire, on va t’installer sur la table basse, bien dans l’axe de la caméra vidéo. Viens, mets -toi sur les genoux, à quatre pattes, et maintenant viens poser tes coudes sur la table, laisse les menottes tranquilles, je vais les attacher avec une corde au pied de la table. Tu sens bien que tu es ainsi entièrement à notre disposition, que tu ne peux rien nous refuser, et je sais que tu apprécies cette situation… »

« Aujourd’hui, je ne vais m’occuper que de ta bouche, et Djelloul, qui a toujours été un « manuel », va continuer de s’occuper, lui, de ton cul… Mais à son âge, ce n’est pas comme tu dois t’y attendre, et peut-être en avoir envie, qu’il va le faire… Tu vas être surpris de ce qui va t’arriver, tu verras que tu as trouvé des « bons copains », mais aussi de vrais « maîtres » comme on n’en trouve que dans le maghreb… »

Farid se met devant mon visage, j’ai sa queue qui se trouve juste à hauteur de mes lèvres. Je mobilise ma langue, pour emplir ma bouche de salive, et entreprends de sucer ce membre viril circoncis, ces couilles et cette verge, à petits coups de langue d’abord, sur les testicules et sur le gland, des petits lichages, des léchages, puis de grandes léchouilles. Quelques gouttes de liqueur commencent à perler du gland. J’ose une lippée, je l’introduis dans ma bouche, ce grand gland conique au bourrelet de base saillant…
« Oui, continue, Jean-Louis, tu commences à faire cela bien, tu fais des progrès ! », m’annonce mon dominateur…
Le mufle de ce sexe, je l’ai maintenant tout entier dans ma bouche, et salive pour bien l’humecter, ma langue essayant de tourner autour de lui pour une caresse humide que j’espère plaire à mon maître…
Tout à mon attention à tenter de bien faire ce qu’attend Farid, je suis assez brutalement interrompu par un élancement douloureux causé par les manipulations de Djelloul sur mon arrière-train… et ai un mouvement de recul de ma tête qui me fait laisser sortir la verge de Farid de ma bouche...

Djelloul, calmement, drapé de sa djellaba, a, sans leur faire quitter leur position à genoux sur la table, écarté mes jambes pour bien ouvrir mes fesses, et faire apparaître, entièrement offerte à ses regards, la rosette de mon anus. Il a, en appuyant sur mon dos, augmenté la courbure de ma cambrure, telle qu’il la souhaitait, sans doute.
Puis j’ai entraperçu qu’il versait dans la coupelle prévue à cet effet un peu du gel lubrifiant extrait du gros flacon que Farid garde dans son réfrigérateur, gel qu’il a pompé avec la seringue prévue à cet usage…
Et j’ai senti la première injection du liquide froid sur ma rondelle, les mouvements circulaires du majeur gauche de Djelloul, qui m’avait fait un doigt d’honneur en me le présentant après m’avoir « installé » ; la seconde injection du gel, avec la seringue cette fois introduite plus profondément dans mon anus…
La pénétration, et le travail de doigtage de ce majeur, bientôt suivi d’un second doigt, puis d’un troisième, et leur action de pression, de pilonnage, en va-et-vient réguliers, et d’écartement, je les avais bien ressentis, même si j’étais bien occupé à essayer de satisfaire Farid, et jusqu'à cet instant, ils n’avaient fait qu’augmenter mon souci de « bien faire » la fellation.

Mais là, d’un coup, Djelloul avait eu un mouvement de crispation de ses doigts qui avait amené une dilatation un peu vive de mon anus. Etait-ce volontaire ? ou non ?...

Farid, abandonné, ne semble pas m’en tenir rigueur, et va voir le résultat de la besogne de son ami Ils échangent à nouveau quelques mots en arabe, puis Farid va chercher la boîte qu’il était descendu tout à l’heure chercher à la cave. Il me montre son contenu : c’est un plug anal tout neuf, encore dans son emballage, un plug anal qui est décrit comme étant vibrant et télécommandé, un cône bombé de 20 centimètres de long, et de diamètre jusque 55 mm en sa partie « insérable », posé sur une assise assez large contenant des petites piles, auquel est associé une télécommande permettant 10 modes de vibrations…
Je comprends que Djelloul va compenser la sodomie que ne doit plus lui permettre de m’infliger son âge, sans l’utilisation de « médicaments » que peut-être il ne peut, ou n’envisage pas utiliser, par une prise de possession du dominé qu’il va enculer que je suis, avec cet engin que je trouve tout à fait impressionnant !...
Farid prépare « l’outil », le sort de son emballage, l’équipe des piles nécessaires, et le remet à Djelloul en lui donnant, me semble-t-il, quelques précisions sur le fonctionnement et les modalités d’utilisation préconisées.
L’ancien chef de village s’en empare, et commence, lui aussi à le préparer. Je vois qu’il met dans la coupelle un nouveau lubrifiant, de teinte rouge ocré, sorti d’un gros tube que je n’avais pas encore remarqué, puis, en badigeonne et en enduit largement le buttplug. Sans doute un lubrifiant spécifique pour les accessoires de ce genre ?

Mes deux compères rient en échangeant quelques mots, comme s’ils avaient organisé une bonne plaisanterie, et reprennent chacun leur place.
Etonnant ! Farid a retrouvé, sans que mes œuvres y soient pour quelque chose, cette fois, son état d’érection, pratiquement le même que celui qu’il avait au moment de cette interruption inattendue. Il me prend la tête entre ses mains, et réintroduit son chibre dans ma bouche.
Ma salive s’est tarie un peu, je m’emploie donc à renouveler sa production, et à sucer à nouveau le gland de mon maître, qui a décidé, m’apparaît-t-il, de diriger, à présent, lui-même mon action, puisqu’il me maintient énergiquement la tête de ses deux mains.

Djelloul, lui, présente le buttplug bien enduit du lubrifiant contre mon anus, qu’il caresse avec le sextoy avant de l’enfoncer en force d’un mouvement continu, ...

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