(suite de « Ma Soumission », histoire relatée sur ce site il y a une semaine)
Une semaine que Farid, mon « dominateur », m’a fait connaître les « plaisirs » de la soumission, et, pour la rendre plus pérenne, pour la faire perdurer dans le temps, même en son absence, m’a imposé de garder cadenassée la cage de chasteté qu’il avait posée au cours de nos ébats, et qui musèle et comprime depuis mon petit sexe…
« Jusqu’à notre prochaine rencontre », m’avait-il annoncé !…
Et, bien vite, cette contrainte m’est apparue pesante, avec même des manifestations inattendues qui s’en sont révélées embarrassantes. L’effet de me rappeler, presque sans trêve, cette séance où j’avais goûté, comme j’en rêvais depuis si longtemps, l’ascendance d’un partenaire viril et autoritaire (et même, je ne m’y attendais pas,… de deux !)… cela, après tout, c’est l’effet qui était recherché par la mise en place de ce dispositif de contention, et en partant de chez celui qui était devenu mon maître, je m’y attendais…
Mais pas au problème rencontré au passage d’un portique de contrôle sécuritaire, mis en place à l’entrée d’un local public sécurisé… Même en ayant mis dans la coupelle prévue à cet effet toutes mes clefs, mes stylos, mon téléphone, ma monnaie, devant les yeux du vigile, à chacun de mes passages pour « vérification », la sonnerie se déclenchait, attirant le regard désapprobateur des personnes qui me suivaient et s’impatientaient. Ce n’est qu’à l’interrogation demandant si je portais un pace-maker ou une prothèse métallique, qu’il me vint à l’idée que c’étaient les anneaux métalliques de l’anneau scrotal et les cinq petits anneaux péniens de la cage de chasteté, et le cadenas lui aussi métallique, qui provoquaient cette alarme !... Heureusement, le vigile n’insista pas pour savoir la réelle raison de ce déclenchement, et, sur ma bonne mine peut-être, malgré de rouge de honte qui m’était monté au visage, me laissa passer sans vouloir contrôler davantage…
Vendredi, j’ai donc appelé Farid, pour lui relater ma mésaventure qui le fit bien rire, et lui demander s’il me serait possible de venir le rencontrer à nouveau… Mon idée était de lui demander d’ôter cette cage… Mais je compris très vite que ce que lui voulait entendre, c’est que je voulais le revoir pour une nouvelle séance de jeux où il me tiendrait à sa disposition… Et cette perspective ne me déplaisait pas, après tout…
Il fut donc rapidement convenu que, puisque la semaine passée il m’avait conduit à son domicile et que j’en connaissais maintenant l’adresse, je devrais m’y rendre samedi, vers 15h30, monter jusqu’au sixième étage, me déshabiller entièrement devant sa porte, mettre mes vêtements dans ma valisette, et, seulement alors, frapper deux fois trois coups rapprochés, un code pour qu’il sache qui était là…
Et il m’annonça que j’aurai, cette fois encore, droit à une bonne fessée « comme tu les aimes » , me dit-il , « mains attachées » !... Et qu’il me faillait veiller à « bien me préparer, tout lisse et sans un poil sur le corps, et ayant procédé à un bon lavement »
Le samedi, il ne me fut pas difficile de retrouver l’immeuble proche de la gare de l’Est que j’avais découvert la semaine précédente, de traverser la cour, prendre l’escalier de service, monter au sixième étage, parcourir le couloir jusqu’à sa porte, et, en surveillant pour vérifier qu’il n’y avait pas de bruits indiquant que les occupants des appartements voisins allaient ouvrir leur porte et sortir dans le couloir, de me déshabiller, ranger mes vêtements et sous-vêtements dans ma petite valise, et… frapper selon le code convenu.
Rien !… Pas de réponse, pas de bruit !…
Je commençais à m’inquiéter et à me poser des questions. Me serais-je trompé d’appartement, ne serait-ce pas la bonne porte ? Ou aurais-je mal compris la date et l’heure ? Ne devrais-je pas essayer de téléphoner, pour vérifier tout cela ? Mon téléphone est déjà, coupé, au fond de la valise, je ne vais pas tout devoir re-déballer ?...
Mais au bout d’un moment, bruits de pas, cliquetis des clefs du verrou, la porte s’ouvre, et Farid est devant moi, comme la semaine passée vêtu de son blouson de cuir noir et de son pantalon jean. Il s’empare de ma valisette et m’invite à rentrer dans ce salon oriental qui m’avait étonné lors de ma première visite, dans cet immeuble parisien…
Cette fois, ma visite a été prévue, et la pièce est déjà aménagée pour cela : des draps ont été mis en place sur le canapé et sur la table basse, et le trépied et sa caméra vidéo sont installés !
Sur un petit tabouret, les menottes, les cordes et les chainettes, le paddle, le gros flacon de lubrifiant et la seringue utilisée pour l’injecter en place… et même la demie bouteille de whisky qui n’a, semble-t-il, pas été touchée depuis ma venue, et le verre… Tout est déjà là !...
« Entre, Jean-Louis, c’est bien d’être déjà revenu, c’est certainement que tu as pris goût à être mon soumis… Tu vas voir, tu vas un peu à la fois devenir une « bonne salope », c’est toi qui en réclameras et redemanderas toujours plus »
« C’est bien, tu t’es bien ré-épilé, et tu es superbe, comme cela, avec ta cage de chasteté ! »… Et il rit !!!...
« Avec un copain informaticien nous avons commencé à préparer une vidéo de ce qui a été filmé la semaine dernière. Ce n’est pas encore terminé, il faut que l’on trie et coupe tout ce qui n’est pas intéressant, les scènes où il ne se passe rien dans le champ de la caméra... Mais on va bien mettre cela au point et on fera un dvd dont on te donnera une copie, ça te fera un souvenir ! »
Je suis gêné de ce que j’apprends là, je ne pensais pas que mes scènes de soumission puissent faire l’objet d’une diffusion… Mais Farid m’a dit qu’il avait travaillé dans un sex-shop du quartier pendant deux années, peut-être a t’il gardé, parme ses clients de l’époque, des connaissances qui seraient intéressées à visionner ces jeux ?... De toute façon, il est trop tard, je le vois bien, pour m’en plaindre et encore moins essayer de m’y opposer, et je constate qu’il est bien prévu que ce qui se passera aujourd’hui soit lui aussi encore, filmé…
« Allez, viens, je vais te mettre les menottes, t’attacher, et une fois que tu seras prêt, tu auras droit à la fessée »
Et je suis ainsi installé, à plat ventre sur le canapé, menotté les bras au-dessus de la tête, entravé, bien en vue de la caméra… Je cambre bien mes fesses… Tant qu’à faire !... ça fera de meilleures images !... Et en outre, je sens la cage dont les anneaux sont un peu écrasés, dans cette position, et l’accentuation de la cambrure soulage cette pression
« Le vais me déshabiller, puisque tu préfères que je te fesse tout nu, d’après ce que tu m’avais dit », me dit Farid
Et je vois maintenant à nouveau le bel athlète qu’est l’homme dont je suis maintenant le captif asservi. Et ses attributs, déjà imposants, alors qu’ils sont encore en repos…
« J’ai une surprise, pour toi… Tu vas aimer ça !... J’ai invitéi mon ami Djelloul, qui a été chef de village près de chez moi, là-bas, et qui est maintenant venu en France pour rejoindre et vivre avec ses petits-enfants, qui travaillent ici. Il est très âgé, je crois qu’il est né en 1938 selon votre calendrier. Mais il est encore très vigoureux, et il a plein de bonnes idées…
On va te donner la fessée ensemble ! »
A l’appel de Farid, je vois arriver, sortant du sas conduisant à la cuisine un homme âgé, un peu courbé, mais paraissant bien vert, malgré sa démarche légèrement hésitante. La mimique de son visage semble former un rictus, mais ce ne peut en réalité être qu’un sourire, un peu ironique sans doute, comme le confirment ses yeux. Il est habillé d’une djellaba rayée et porte un calot crocheté.
J’ai toujours grande honte à être exposé nu devant un personnage habillé… Et Farid doit en avoir bien conscience, puisqu’il lui a préparé cette entrée ordonnancée, une fois que toute pudeur m’ait été interdite…
Djelloul s’approche, et vient caresser mes fesses exposées… Il les écarte de ses deux mains, regarde attentivement la rosette de mon anus, qui s’est bien rétractée depuis les assauts de la semaine dernière, et a retrouvé à peu près son aspect initial. Puis, maintenant les deux fesses bien écartées d’une seule main, il parcourt avec la tranche de l’autre ma raie, semble vérifier et constater son absence de pilosité, Il touche ma rosette d’un mouvement rotatif d’un de ses doigts, puis lâche mes fesses et se recule.
Lui et Farid bavardent en arabe, je ne comprends rien, et leurs rires me procurent un peu d’appréhension… Que manigancent-ils qu’ils ne veulent pas que j’entende ?...
Mon ancien universitaire de Farid, qui manie si bien le français, revient à cette langue que seule je comprends…
« Voilà, on va te donner la fessée en frères, comme des bûcherons qui travaillent ensemble, chacun donnera sa claque à son tour, mais on couvrira tout ton gros fessier. On va te donner quarante claques, chacun vingt… Puis Djelloul continuera avec le paddle, s’il a envie… »
Et sur-le-champ, la dégelée commence, les claques se suivent à de très courts intervalles, en une rossée accélérée par la synchronisation des deux fesseurs, qui semblent prendre plaisir à cet exercice, et je sens la chaleur cuisante gagner très rapidement tout mon cul…
Mais… Ils trichent !... Farid m’avait annoncé quarante coups ...
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