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Une petite leçon

Publié par : LDG75 le 28/03/2016

J’avais pris l’habitude d’aller prendre un café au bistrot d’en face en sortant de la cantine.
Un jour, en entrant dans l’établissement, j’entends M. Gantz, mon patron, me héler « Mettez votre commande sur mon compte et venez-vous assoir avec nous. ». Il est attablé avec un homme du même genre que lui, la cinquantaine, grand, cheveux qui commencent à grisonner Mais l’inconnu est plus mince, plus distingué aussi, avec un visage anguleux et un grand nez. Il porte un élégant costume en prince de Galles dans les tons gris et bleu et une belle cravate bordeaux.
Quand je m’assois à leur table, la petite-cuillère de mon café tombe par terre. Je me baisse pour la ramasser et là ! Je tombe presque nez à nez sur les pieds déchaussés de l’inconnu ! Rien ne m’excite d’avantage que les pieds d’homme. Surtout quand ils sont comme ceux-ci, grands, du 45 au moins, et en fines chaussettes noires qui laissent la chair apparaître par transparence. J’aimerais bien sentir et lécher ces pieds que je devine très odorants. Mais c’est évidemment hors de question. Et donc je me redresse.
M. Gantz me présente à Maître Pinasse. Je le connais de nom car c’est l’avocat de la boite. M. Gantz précise qu’il s’est aussi occupé de son divorce.
La conversation porte sur l’épouse de Maître Pinasse, qui est également avocate, quand M. Gantz s’exclame « Beau cul ! ».
Un instant interloqués, l’avocat et moi nous rendons compte que la remarque de M. Gantz ne concerne pas Mme Pinasse mais un jeune homme qui vient d’entrer pour acheter des cigarettes.
Maître Pinasse lève les sourcils, qu’il a fort épais : «Oui, si vous le dites. »
M. Gantz, étonné : « Vous ne trouvez pas ? »
Maître Pinasse, hésitant : « Les hommes…. ce n’est pas mon truc. »
M. Gantz, insistant : « Il n’est pas interdit d’apprécier, quand même. »
Maître Pinasse, agacé : « Pas moi, je suis strictement hétérosexuel. »
M. Gantz, incrédule : « Allons ! Ça n’empêche pas ! »
Maître Pinasse, manifestement impatient de clore la discussion : « N’étant ni homosexuel ni bisexuel, ce genre de chose me laissent froid. Notez, que je n’ai rien contre les homosexuels et les bisexuels. »
M. Gantz encaisse le coup et n’insiste pas.
Alors que nous rentrons au bureau après avoir salué Maître Pinasse, M. Gantz marmonne « Bon avocat Maître Pinasse, mais il a des idées un peu trop arrêtées. Il mériterait une petite leçon. »
Un mois plus tard, sur le coup de midi, M. Gantz passe la tête dans mon bureau « Je vous amène déjeuner avec Maître Pinasse. ».
Je suis surpris car jamais le patron ne m’a fait un tel honneur.
Un moment après, nous arrivons dans une petite auberge de campagne. La salle est vide. M. Gantz et le propriétaire semble être des amis de longue date.
Quand Maître Pinasse arrive, portant son beau prince de Galles, M. Gantz et moi sommes déjà installés, tournant le dos à la salle. Maître Pinasse s’assied en face de nous.
Rien à dire sur le repas : coquilles Saint Jacques, magret de canard, baba au rhum en final. Le tout arrosé d’un bon bordeaux.
La conversation, à laquelle je ne participe quasiment pas, tourne autour des dossiers en cours. Elle s’interrompt un instant quand une superbe blonde traverse la salle. La femme est tout en rouge. Rouge la minirobe moulante, rouges les chaussures à talon aiguille, rouges les collants, rouge la monture des lunettes et, bien entendu, rouges les lèvres. Pour couronner le tout, ses cheveux blonds forment une crinière qui lui arrive au bas du dos.
Au moment où la créature en rouge nous dépasse, il me semble que son visage me rappelle quelqu’un. Peut être Lucie, une des employés de la cantine. Comme elle s’installe au fond de la salle, je ne la vois plus. Mais je remarque que Maître Pinasse, qui fait face à sa table, lui jette pas mal de coups d’œil.
Nous venons de terminer le dessert quand M. Gantz se tourne vers moi « Il est temps que vous appeliez l’expert-comptable. Je veux que le problème soit réglé aujourd’hui » Il me tend une enveloppe. « Je vous ai préparé l’argumentaire. Je compte sur vous pour que vous le suiviez à la lettre. Vous allez dans la pièce du fond et vous prenez votre temps. »
Je me lève de table sans rien comprendre à ce qu’il se passe. Je suis en relation quotidienne avec l’expert-comptable et nous n’avons aucun problème ! De plus, d’ordinaire, le patron ne s’intéresse pas à la comptabilité.
Dans la pièce du fond, j’ouvre l’enveloppe et découvre un billet ainsi rédigé :
1 – Vous allez dans les toilettes des dames, cabine condamnée
2 – Vous mettez la perruque, les lunettes, le rouge à lèvres et la robe
3 – Vous attendez et vous faites ce que vous avez affaire
4 – Quand vous avez fini vous ramenez tout le matériel Y COMPRIS LE PRESERVATIF QUE VOUS DEVEZ OBLIGATOIREMENTN UTILISER.
JE COMPTE SUR VOUS
La cabine des toilettes des dames signalée par un écriteau « CONDAMNEE » n’a pas de lumière. Je suis obligé de laisser la porte entrebâillée pour me déshabiller, enfiler la robe, mettre la perruque et les lunettes. Je tire ce matériel, ainsi qu’un préservatif, d’un sachet en plastique posé sur le lavabo.
Je fini de me mettre le rouge à lèvres quand j’entends des talons hauts approcher. Par l’entrebâillement de la porte, j’aperçois de dos la femme en rouge. Elle s’immobilise devant les cabines. Sur ma droite, un rayon de lumière semble sortir de la cloison. Je n’y prête pas attention, trop angoissé par la présence de cette femme. Je referme et verrouille ma porte tout doucement. Au bout d’un moment qui me semble interminable, j’entends le bruit de talons hauts qui s’éloignent.
Soulagé, je m’intéresse au rayon de lumière qui vient de ma droite.
Il s’agit d’un trou d’une dizaine de centimètre pratiqué dans la cloison. En me penchant, je vois à travers l’orifice une main qui tient un prépuce effilé d’où surgit un jet d’urine. Sous la bite, une paire de couilles qui prennent le frais. Le pantalon est en prince de Galle. Maître Pinasse !
Maître Pinasse secoue sa queue pour l’égoutter. Puis, au lieu de la ranger, il la garde à la main et se tourne face au trou. Je me recule. La bite, longue et fine, est molle. Maître Pinasse l’agite de droite à gauche, tandis que ses couilles ballotent. A voix basse, il demande : « Tu veux que je vienne ma chérie ? ».
Je ne réponds pas.
De l’autre côté du trou, le grand nez de Maître pinasse remplace sa bite. Je me recule encore. Je vois ses lèvres susurrer « Tu ne veux pas que je te rejoigne ? »
Je ne réponds pas.
De l’autre côté du trou, le grand nez de Maître Pinasse est remplacé par sa bite. Il demande : « Tu es toujours là ? J’ai vu tes lèvres »
Je ne réponds toujours pas.
Alors, la bite et les couilles franchissent le trou, mettant fin au rayon de lumière.
M’agenouillant, je prends la bite entre mes doigts. Elle commence à durcir. Je tire sur le prépuce pour la décalotter. Dans le noir, je ne vois pas le gland. Mais quand je le prends entre mes lèvres, je sens qu’il est charnu. Tandis qu’il gonfle dans ma bouche, je passe ma langue sur le méat pour bien le déguster. Ce gland a un léger gout de pisse, mais le parfum qui domine est celui du sperme. A croire que Maître Pinasse vient de se masturber.
L’avocat semble apprécier : « Mange-moi bien le gland ma chérie. Oui avec ta langue c’est bon ma gourmande. » J’aimerais renifler ses pieds, me griser de leur odeur et les lécher. Mais dans la situation présente, c’est exclu. D’ailleurs, Maître Pinasse a d’autres préoccupations : « Suce-moi maintenant. Prend la bien dans ta bouche. ».
La verge est à présent bien dure. Pour l’enfoncer dans ma gorge, je pousse ma tête vers la cloison.
La voix de maître Pinasse se fait rauque « Oui c’est bon. Suce-moi bien. Et caresse-moi les couilles. »
Je m’exécute avec difficulté, car ma tête venant heurter la cloison, je n’arrive pas à prendre toute la longueur de la verge dans ma gorge.
Cependant, Maître Pinasse est satisfait : « Oui, c’est bon ! Branle-moi en même temps. Oui, comme ça, plus vite. ». J’ai l’impression qu’il ne va pas tarder à jouir.
Je me rappelle tout à coup que M. Gantz m’a demandé d’utiliser le préservatif. J’interromps donc ma fellation, pour enfiler la capote sur la verge.
Maître Pinasse a son interprétation : « Tu veux me donner ta chatte ? ».
Que faire ? Me retournant je prends la queue dans une main pour la diriger vers m ...

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