C'était une nuit d'été étouffante à Paris, et la chaleur de la journée semblait persister dans l'air épais et moite. Les rues étaient désertes, sauf pour une poignée de noctambules cherchant à échapper à l'emprise implacable de la chaleur. Au fond d'une petite rue, la caserne des pompiers s'animait d'une effervescence particulière : c'était le soir du bal annuel des pompiers, un événement très attendu par tous les habitants du quartier.
À l'intérieur de la grande salle décorée de guirlandes lumineuses et de ballons rouges, les pompiers avaient troqué leurs uniformes pour des tenues plus décontractées, bien que tout aussi impressionnantes. Je me trouvais parmi eux, vêtu d'une chemise blanche et d'un pantalon noir, discutant avec mes amis et collègues. L'atmosphère était à la bonne humeur et aux rires.
C'est alors que je le vis entrer. Thomas, un pompier récemment transféré, fit son apparition. Grand et athlétique, ses yeux verts pétillaient d'une lueur malicieuse. Il portait une chemise légèrement déboutonnée, révélant un torse sculpté qui attirait les regards. Dès qu'il entra dans la pièce, nos regards se croisèrent, et une étincelle sembla passer entre nous.
Au fur et à mesure que la soirée avançait, nous nous rapprochions, riant et échangeant des anecdotes sur nos expériences en tant que pompiers. La tension palpable entre nous n'échappa pas aux autres convives, qui nous regardaient avec un sourire en coin. Vers minuit, alors que la musique devenait plus lente et sensuelle, je pris la main de Thomas et l'emmenai à l'extérieur, à l'abri des regards indiscrets.
Sous un ciel étoilé, nous nous retrouvâmes seuls dans le jardin de la caserne. La fraîcheur de la nuit contrastait agréablement avec la chaleur étouffante de la salle de bal. Les lumières des guirlandes créaient une ambiance magique. Je me tournai vers Thomas, les yeux brillants d'émotion.
"Tu sais, depuis que tu es arrivé, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à toi," murmurai-je, ma voix tremblante de désir.
Thomas, un sourire espiègle aux lèvres, s'approcha de moi, nos visages n'étant plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. "Moi aussi, Marc. Tu as ce je-ne-sais-quoi qui m'attire irrésistiblement."
Sans attendre, je pris son visage entre mes mains et nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser passionné, empli de désir et de tendresse. Ce premier contact était ...
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