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Une jolie veuve (4eme partie )

Publié par : voyeurcoquin le 17/09/2024
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Il est presque midi lorsque les deux amants refont surface. Ils s'étaient profondément endormis, terrassés par leurs exploits amoureux. Victoria confuse de sa conduite regarde Romain en coin. Celui-ci se rend compte de sa gêne, l'enlace, puis, tout en la bécotant, lui susurre des paroles rassurantes.

- Vous êtes extraordinaire ma chère Victoria, jamais je n'aurais imaginé les qualités charnelles dont vous avez fait preuve, vous êtes certainement la femme avec qui j'ai eu le plus de plaisir à faire l'amour de toute mon existence. Je n'en reviens pas de vos dispositions. Quel temps perdu, vous vous rendez compte ! J'espère seulement que je ne vous ai pas trop fait souffrir, mais quel cul vous avez ! Rien que d'y penser je rebande déjà, si, si vérifiez.

Victoria, blottie dans les bras de son amant fait descendre sa main le long de son corps et prend la verge dans ses doigts. Celle-ci augmente peu à peu de volume dans sa main, alors, s'enhardissant, elle imprime au sexe un va-et-vient masturbatoire qui la fait encore grossir. Reconnaissante des gentilles paroles de Romain, elle se laisse glisser le long du corps masculin, puis prenant la verge entre ses lèvres, elle titille le gland avec sa langue, cherchant même à l’entrer dans le méat entrouvert. Enfin elle aspire la verge tout en donnant des coups de langue en même temps. Elle triture doucement les bourses pour ne pas lui faire mal, et, curieuse, elle agite un doigt autour de la rosace du cul de l'homme. Celui-ci se tortille de plaisir. Étonnée de le voir prendre du plaisir à cet attouchement effronté, la quinquagénaire dirige son index vers l'accès de l'anus, l'aventurant dans le conduit anal. Romain pousse de petits gémissements, mais ne proteste pas. La verge a pris encore plus d'ampleur dans la bouche de Victoria. Excitée par cette situation, elle suce avec encore plus d'ardeur la verge qu'elle a enfournée dans sa bouche, furetant avec son doigt le postérieur de son amant qui apparemment prend beaucoup de plaisir à la fellation et à l'intromission du doigt qui sonde son anus.


D'un seul coup, sa verge explose au fond de son gosier. Victoria tenant fermement la tige entre ses doigts, déglutit et avale toute la semence projetée au fond de sa gorge. Elle est heureuse de rendre à Romain tout le plaisir qu'il lui a procuré. Le sperme dégouline à présent de ses lèvres alors qu'elle lèche la liqueur poisseuse qui sort du méat qu'elle presse délicieusement avec ses lèvres. Elle y trouve elle aussi son bonheur, découvrant qu'il est agréable de pouvoir jouir du plaisir qu'elle donne à cet instant à son amant.


Deux heures plus tard, après s'être légèrement restauré avec Victoria, Romain se retire. Il lui promet de lui téléphoner et de la revoir bientôt, mais actuellement il a une semaine assez chargée, ne pouvant s’engager dans les jours qui viennent. D'ailleurs il a un rendez-vous avec un journaliste en fin d'après-midi et il faut qu'il passe à son appartement pour se changer et surtout récupérer. Il se sent fourbu, car jamais il n'a fait l'amour avec une cavale de cette sorte. Les jeunes femmes n'ont pas la moitié du tempérament dont a fait preuve cette femme mûre. Il est vrai qu'elle ne fait pas du tout son âge physiquement, car à part ses volumes, elle n'est pas flasque et a très peu de rides, et puis sexuellement elle a tout d'une jeune vierge et a des ardeurs très juvéniles. De surcroît, intellectuellement, elle est très intelligente et a beaucoup de sensibilité artistique. Romain songe qu'il la gardera comme maîtresse le plus longtemps qu'il le pourra, souhaitant même la partager avec des amis.


De son côté, Victoria se retrouve seule et pense à tout ce qui vient de lui arriver depuis à peine vingt-quatre heures. Elle réalise qu'elle est amoureuse de ce garçon, comment faire autrement après ce qu'il lui a fait découvrir. Mais, réalise-t-elle, c'est sans espoir, la différence d'âge est trop grande. Il est vrai que leur entente physique est incroyable, il a indéniablement pris beaucoup de plaisir, elle l'a bien vu encore dernièrement, lorsqu’elle l'a masturbé avec ses doigts, ses lèvres et sa langue, il a laissé éclater sa jouissance devant elle sans se retenir.


Quant à elle, elle n'en revient encore pas. Après tout ce qu'il lui a fait subir en si peu de temps, elle ne peut se cacher qu'elle a aimé ces ébats aussi inqualifiables que délectables, même, ou peut être à cause de la souffrance qu'elle a subie avec un certain alanguissement. Serait-elle masochiste ? Non ! Le bonheur d'être caressée, léchée et pénétrée dans son vagin a été certainement le plus fort. Malgré la douleur ressentie, elle est certaine que la sodomisation qu'elle redoutait tant va lui procurer une autre jouissance, plus diffuse sans doute, mais très perverse. Et puis ces petites tortures qu'elle a endurées, cette fessée, ces morsures sur les seins et dans le cou, la violence avec laquelle il s'est introduit dans son derrière, tout cela lui donne encore maintenant les frissons d'une intense volupté.


Elle serre les cuisses, ressentant une douce chaleur envahir son ventre de femme. Comme elle est étendue dans la baignoire où elle a fait couler un bain assez chaud avec des sels parfumés, sa main se dirige vers son intimité où elle se frotte l'entrejambe avec une savonnette. Avec un brin de perversité, elle la fait glisser sur le capuchon du clitoris, ce qui la fait frissonner, puis, écartant les grandes lèvres de l’autre main, elle la fait pénétrer à l'intérieur de la vulve, la poussant le plus loin possible. Elle a un bref orgasme, mais elle veut encore jouir, aussi, retirant la savonnette, elle introduit une bouteille ronde en plastique contenant du shampooing qu'elle fait aller et venir pour retrouver les sensations de la verge qui lui a donné tant de plaisir. Elle pistonne ainsi longuement la chatte jusqu'à l'épuisement complet de ses sens.


Vers la fin de l'après-midi, Victoria téléphone à sa meilleure amie Maty, qui en fait, s'appelle Martine. C'est une jolie femme de quarante-quatre ans, elle est petite mais bien faite, un peu ronde, les cheveux blond roux et la peau naturellement brune et mate avec des yeux bleu-vert magnifiques, ses seins bien ronds ne sont que rarement supportés par un soutien-gorge. Elle est représentante à son compte pour de grandes marques de parfum et elle voyage beaucoup. Mariée à un homme de quarante-huit ans qui se prénomme Hubert, elle a une vie très libre ce qui lui permet de raconter souvent à Victoria quelques aventures vécues lors de ses nombreux voyages. Celle-ci d'ailleurs, soupçonne son amie d'avoir participé avec son mari à des parties fines. Les deux amies décident de se retrouver le lendemain pour déjeuner dans un restaurant près des Champs Elysée.


Le jour suivant Victoria achève de se préparer pour déjeuner avec son amie. Elle a choisi de porter une robe bleue en crêpe assez décolletée, permettant ainsi à ses seins plantureux d'être mis en valeur. Sa silhouette n'est pas désagréable à regarder malgré ses rondeurs. Ses jambes gainées de nylon sont très appétissantes sous la jupe en corolle qui lui arrive juste un peu au-dessous du genou. Elle retrouve Maty au restaurant où, après avoir choisi leur menu, elles se font leurs confidences habituelles.


Cette fois, Victoria a beaucoup de choses à raconter à son amie. Après l'apéritif et quelques verres de vin, elle ne peut cacher son aventure de la veille et de l'avant-veille. D'abord pudique, elle parle de la rencontre de Romain et de leur aventure amoureuse sans trop de précision, puis devant l'insistance de Maty, elle se laisse aller à plus de confidences et, toute rougissante, elle confie tout ce qu'elle a découvert : les caresses linguales de son intimité, sa surprise d'avoir pu avaler le sperme de son partenaire et après quelques réticences, elle confesse surtout son plaisir de s'être fait sodomiser. Maty n'en revient pas d'apprendre que son amie, si pudique et qui n'a plus fait l'amour depuis si longtemps, ait eu sur le tard la révélation de sa sexualité. Elle en est très heureuse pour elle et elle la félicite.


Toute rougissante, Victoria lui confie également, que se retrouvant dans sa baignoire, elle n'a pu s'empêcher de se masturber, d'abord avec une savonnette, ensuite avec une bouteille de shampooing qu'elle s'est introduite dans le vagin. Confuse, elle demande à Maty dont elle connaît les exploits amoureux, si elle ne pourrait pas lui acheter un vibromasseur dans un sex-shop, car elle n'ose pas aller dans cet endroit. Maty, tout en riant, lui annonce que son mari Hubert lui en rapporte de tous les coins du monde lorsqu'il voyage et qu'elle en possède une bonne cinquantaine chez elle. Aussi elle propose à Victoria de lui en faire choisir un ou deux en passant à son domicile après le repas.

Les deux femmes s’en vont bras dessus, bras dessous, en remontant les Champs Elysée pour rejoindre le domicile de Maty qui se trouve en haut de l'avenue Marceau. Les deux amies une fois arrivées s'installent dans le salon et Maty rapporte à Victoria trois boites formant écrin, contenant un grand nombre d'olisbos. Il y en a en plastique dur ou souple, en bois, en ivoire et même un ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Hétéro, Branle, Fellation, Sodomie, Pénétration vaginale, Quadra, Mûrs