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Une jolie veuve (3eme partie)

Publié par : voyeurcoquin le 10/09/2024
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Romain s'éveille avec une sensation bizarre, il n'est pas dans son lit alors que, dans son dos, il sent un corps nu plaqué tout contre lui. Il se retourne doucement et remarque qu'une lumière filtre légèrement à travers des doubles rideaux. Il reconnaît immédiatement la femme avec qui il vient de passer la nuit et d'un seul coup, ses souvenirs reviennent à la surface.


Quelle journée.... surtout quelle soirée ! Incroyable d'avoir copulé avec autant de désir cette femme, qui a certainement dépassé la cinquantaine, bien que d'après son allure générale on lui en donnerait à peine quarante, si ce n’est sa corpulence. Car pour ce qui est de la fermeté de sa peau, c'est étonnant, elle n'est absolument pas marquée et n'a subi aucune intervention de chirurgie esthétique ; tous ses membres sont fermes et bien proportionnés pour son gabarit. Elle a des seins qui sont lourds et imposant certes, mais ils sont très agréables à malaxer ; pour ses fesses c'est la même chose, elles sont dures et il a pu profiter de son excitation pour la fesser avec vigueur, quel pied !


Sa bouche est très agréable à embrasser et, bien que ce soit par « accident », elle a avalé tout son foutre après l'avoir pompé avec inexpérience certes, mais ce n'en a été que plus jouissif. Elle a des jambes et des cuisses superbes, fermes et douces à la fois, quant au sexe, il est presque juvénile tellement il est petit et étroit, Romain songe que sa verge a été à son affaire, plongée dans l'intérieur de cette chatte bien chaude et huilée par sa mouille abondante. Il n'y a que son cul qu'il n'a pas essayé, il est vrai que devant les inhibitions incroyables de cette femme qu'il vient à peine de découvrir, ce dernier doit certainement être vierge. Romain savoure déjà la façon dont il va le « dépuceler » et introduire son phallus, dans un anus certainement aussi étroit sinon plus, que la mignonne petite vulve d'adolescente qu'il a déjà envahi.


Tout en songeant aux ébats qui les ont réunis, il admire sans restriction ce corps qu'il sent contre lui. Elle dort toujours comme une bienheureuse. Lorsque, dans son sommeil, elle se retourne en lui présentant ses fesses en « chien de fusil », sa verge, durcit immédiatement aux souvenirs qui lui taraudent l'esprit ; il flatte la croupe qui est devant lui, laissant ses mains vagabonder entre les cuisses qui s'entrouvrent naturellement à ses attouchements. Il sent le vagin suinter déjà d'une mouille abondante. Ne perdant pas de temps, il présente sa queue devenue rigide au pertuis qui se dilate aussitôt, s'enfonçant d'un seul coup le plus loin possible, presque jusqu'à l’utérus, en la prenant en levrette, une des positions qu'il adore.


Victoria ne s'est pas encore réveillée, mais son corps ondule, sous les coups de boutoir que lui imprime l'homme qui la défonce. Celui-ci, agrippant ses seins, plaque ses mains sur les mamelons tout en pinçant les pointes entre ses doigts, puis il serre fortement les bouts durcis. Victoria qui a repris maintenant conscience, rugit de douleur car ses seins sont triturés atrocement, mais elle geint également du plaisir qu'elle ressent par la verge de son amant qu'elle sent jusqu'au plus profond de son vagin. La chevauchée est intense, les deux corps, intimement soudés l'un à l'autre, vibrent dans une véritable symbiose charnelle. La croupe de la quinquagénaire se projette au-devant des coups de verge qui la pilonnent sans cesse, jusqu'à ce que Romain explose en elle tout en lui mordant cruellement la nuque, comme le font les étalons avec les juments.


Après quelques instants de récupération, Victoria se dégage de la tige qui se retire lentement de sa chatte enflammée, se retourne amoureusement vers Romain, puis se frottant contre son torse, elle ne peut s'empêcher de lui faire quelques reproches.


- Pourquoi ne pas m'avoir réveillée, vous m'avez fait très mal Romain, mais je ne comprends pas très bien ce qui m'arrive, car en même temps, j'ai joui divinement. Hier vous m'avez fustigé les fesses, vous me faisiez souffrir et dans le même moment j'avais du plaisir par votre sexe qui s'agitait en moi. Ce matin mes seins et ma nuque sont douloureux, car vous m'avez torturé cruellement, mais aussi quel bonheur de vous sentir en moi. Oh ! Qu'allez vous faire de moi mon chéri ! Vous êtes brutal et si aimant. Jamais, on ne m'avait traitée de la sorte, je vais devenir votre esclave. C'est ce que vous voulez n'est ce pas ? Cela m'est égal, battez-moi si vous le voulez, mais aimez-moi aussi, je vous en supplie !


- Victoria, la douleur et le plaisir c'est presque la même chose. Je ne veux pas que vous acceptiez cette souffrance que je vous inflige si vous n'en retirez pas du bonheur également. Je vais vous faire encore souffrir si je reste avec vous, aussi il vaut peut-être mieux que nous n'allions pas plus loin.


Victoria est affolée, elle ne veut pas que l'amant qui vient de la révéler la quitte. Elle vient de découvrir une jouissance physique qu'elle n'a jamais connue durant toute sa vie maritale, bien pauvre, sexuellement parlant. Oh ! Bien sûr, elle vient de subir des douleurs atroces alors que son amant lui promet de lui faire encore du mal, mais, dans son subconscient, elle soupçonne qu'elle en éprouve un besoin aussi méprisable qu'inavouable. Curieuse, et tout de même inquiète, elle voudrait pourtant bien savoir ce que Romain veut encore lui faire subir.


- J'accepterai Romain tout ce que vous voudrez, dites moi seulement ce que vous voulez me faire maintenant et je serai d'accord, je vous le promets.


Romain enlace la femme mûre et tout en la caressant il glisse une main entre ses fesses tout en lui susurrant.


- Je veux vous enculer ma belle, vous savez ce que cela veut dire n'est ce pas ? Je veux entrer mon pénis dans votre anus, le petit trou de votre cul est vierge, je suppose. Personne ne vous a jamais sodomisée n'est ce pas ?


- Oh ! Non, mon mari a essayé une seule fois et c'était horrible, après cela je n'ai plus jamais voulu qu'il essaie de me pénétrer dans mon petit endroit, car je suis certaine que cela doit faire horriblement mal. Mais vous pouvez mon chéri, si vous le voulez. Je veux bien sacrifier mon derrière à vos envies car je suis à vous mon amour. Oh ! Oh ! Non ! Non ! Ohhhhhh........


Pendant que Victoria se rendait aux raisons de son jeune amant, celui-ci, caressait doucement le tour de l’œillet encore vierge du cul de la matrone. Puis, au moment des « Oh ! » prononcés par la femme, il présente son majeur au bord de l'anus, qu'il a pris la précaution d'enduire de la mouille prise dans le vagin détrempé, tout en s'activant à écarter les chairs serrées pour pouvoir passer les anneaux étroits du sphincter. Victoria, malgré sa bonne volonté à offrir sa croupe aux agissements dégradants de son amant est tout de même très tendue, elle pleure en silence en se gardant bien d'émettre une plainte. Romain lui conseille gentiment de pousser comme pour aller à la selle, afin de faciliter l'introduction du doigt. D'un seul coup, celui-ci passe la frontière et se retrouve dans le conduit rectal de l’imposante femme. Romain pour la décontracter, introduit ses autres doigts dans son vagin, tout en massant délicatement le point G, imprimant à ses doigts un mouvement circulaire en frottant subtilement le fourreau rectal.


Bien que dans un état de prostration consternée, Victoria est bouleversée par ce qu'elle vient d'accepter, car elle sait qu'elle ne va tarder à souffrir atrocement. Pour le moment c'est seulement un doigt qui s'est infiltré dans son petit trou, mais tout à l'heure elle se doute que ce sera au tour de l'énorme verge de Romain de la transpercer. Comment pourra-t-elle s'introduire dans son derrière ? Elle est folle d'accepter cette épreuve douloureuse, bien que singulièrement, elle souhaite au fond d'elle même subir cette initiation, cela fait trop longtemps qu'elle en entend parler dans les revues, à la radio et à la télévision. Elle a aussi des amies, qui lui en ont parlé et qui tout en trouvant cela très différent du coït vaginal, ont, au bout d'un certain temps, pris du plaisir à se faire sodomiser ; d'ailleurs maintenant, elles réclament même cette pratique à leur mari ou à leurs amants.


Les mains de Romain font comme toujours leur effet diabolique, alors que les doigts dans son vagin et dans son anus lui procurent un violent orgasme qui la laisse toute pantelante. Romain s'arrache alors de ses bras et file hors de la chambre. Victoria en savourant le plaisir qui a encore envahi son corps s'en rend à peine compte. Il revient rapidement avec une crème à bronzer à base d'amande douce, c'est tout ce qu'il a trouvé pour enduire le cul de la femme et rendre sa première introduction moins pénible. Il sait qu'il va lui faire très mal la première fois, mais c'est la seule façon de commencer, après elle s'habituera et y prendra goût.


Il la fait mettre à genoux sur le lit et lui demande d'écarter ses cuisses et ses fesses en les tenant avec ses mains. Victoria, toute frémissante mais résignée, se plie aux ordres de son amant, exposant donc son derrière à la vue de c ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Branle, Fellation, Sodomie, Pénétration vaginale, Mûrs