Y à des jours comme cela où la vie vous entraine dans une tempête d'événements sans que vous rendez compte, d'humeur joueuse ma complice A. m'avais convaincu d'aller danser. Elle a l'art et a la manière de d'obtenir ce qu'elle désire de moi car je suis en confiance avec elle. Et voilà que nos corps se déhanches sur le "dancefloor" d'un club, ce genre d'endroit où la liberté est permise et que notre complicité reste notre jardin secret. Les rythmes modernes latino nous mettes en transe sur la piste. Avec son sourire habituelle, A. me fait craquer, qu'il est plaisant de la dévisager sous les lumières bariolées de la boite de nuit. Son cou, sa gorge, son doux et tendre visage qui se balance en cadence. Se penchant à mon oreille, elle me dit que la soif se fait pressente et m'embrasse tendrement pour que ma galanterie se réveille. Pendant que le serveur débordé prends son temps, depuis le bar j'observe A. qui s'amuse au milieu de la piste avec une autre danseuse, dos à cette nouvelle amie, A. joue un corps à corps sensuel sur la musique. Les mains se frôlent, les courbes bougent dans des ondulations, l'amie porte ses lèvres aux petites oreilles de A., humm ces jolies petites oreilles avec lesquelles ma bouche aime jouer.
Cette lenteur dans le service me fait perdre le fil de mes pensées. Ces dernières lubriques et perverses s'imaginent en regardant les danseuses, A. dansant entre sa partenaire et moi. Des sourires complices entre ce trio de corps, les bras se mélangent ,se caressent. Le bruit enivre les sens, et les amis se retrouvent à marcher dans les noirs couloirs remplis d'ombres gémissantes. A la lumière de bougies artificielles une chambre s'ouvre sur cette expédition avec A. en première de cordée.
Dans la chambre au style baroque et aux fausses bougies, A. la joueuse ce laisse aller entre les mains des ces deux vampires suceurs de désirs. Les vêtements tombes comme sombres les feuilles d'automne. La nudité n'as point peur du froid, les gestes et les embrassades torrides embrument l'atmosphère étouffante. Pendant que j'embrasse goulument les seins rebondis de A. ,notre amante éphémère fait preuve du même appétit entre ces douces jambes. Les corps dansent de nouveaux et dans cette chorégraphie horizontale, A. comme chef d'orchestre bats la mesure de sa langue sur le sexe de la charmante maitresse. Elle me présente ses fesses, que j'embrasse de ma bouche et de mes mains. Fesses qui subissent les assauts répéter d'attouchement. Pendant que cette trinité concupiscente s'affaire à leurs plaisirs, des râles d'envies montent des rideaux et les tableaux ont les yeux qui bougent, e ...

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