Je devais faire un assez long trajet et je décidais de faire une étape dans une grande ville du centre de la France où je savais qu'il y avait un sauna, au nom japonisant, qui me permettrait de m'y reposer tout en espérant un bon moment de détente. Sur place il n'y avait pas grand monde, et dans le sauna proprement dit je n'y trouvais qu'une seule personne qui attira mon regard, regard que je fixais avec insistance vers sa partie intime, ce qui ne semblait pas le contrarier le moins du monde. En sortant de la salle je pris soin de bien prendre mon temps pour qu'il ait le loisir d'examiner mes courbes postérieures, au cas où celles-ci l'inspireraient. J'allais me reposer dans une cabine esseulée, en m'allongeant sur le ventre et en prenant soin de laisser la porte ouverte (au cas où). Quelques instants plus tard, je sentis une main caresser ma jambe avec douceur en remontant le long de mon mollet. D'instinct j'écartais mes jambes pour qu'il puisse continuer plus avant, ce qu'il fit en poursuivant le long de mon entrecuisse. Il s'attarda un moment sur la courbure de mes fesses, puis un doigt s'aventura dans mon sillon à la recherche de mon orifice. Je gémis de satisfaction histoire de l'encourager à poursuivre, il commença alors à me doigter doucement, puis de plus en plus en profondeur. Au travers de mes cils, et malgré l'obscurité relative, je m'aperçu qu'il était déjà bien en condition, et sans doute n'y tenant plus, il vint s'allonger sur mon dos. Me faire monter ainsi n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Cà me rappelait certaines nuits où mon partenaire du moment me queutait pendant mon sommeil, et c'était loin d'être désagréable. Sa queue, déjà bien dure, sut trouver le chemin pour atteindre mon orifice. Je tendis les fesses autant que je le pouvais pour qu'il me pénètre au plus profond de mon être, ce qu'il fit tout d'abord par petites étapes successives. Par la suite il ne tarda pas à me pilonner de plus belle, et moi de gémir de concert. Ma main alla vers l'arrière à la rencontre de ses zones érogènes pour le stimuler d'une part, et lui signifier ma satisfaction d'autre part. Je ne tardais pas à sentir son pénis vibrer en moi et un liquide chaud m'envahir intérieurement. Dans un souffle je lui demandais de rester encore un peu, histoire de profiter encore de sa queue pour un petit moment encore. Il continua à me donner quelques coups de temps à autres, afin de bien se vider les couilles qu'il avait eus bien pleines à ce que j'ai pu en juger. Puis il se retira lentement, me laissant malgré tout ainsi un peu sur ma faim.
Une fois qu'il fut parti, je me ret ...

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