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Une Belle Histoire 2/2

Publié par : vannessa le 08/08/2018

Jonathan m'encercla de ses bras musclés et déposa doucement sa joue contre la mienne avec timidité, comme s'il eût peur que je ne repousse un contact si chaleureux. Pour ma part, je ne m'étais jamais senti aussi bien de toute ma vie. Lorsque j'étais avec Jonathan, j'avais l'impression de retrouver un équilibre, d'être aimé et protégé. Mon coeur battait très fort et je
regardai ainsi toute la cassette dans les bras de mon premier ami.

Mais quand l'écran devint bleu à fin de la vidéo, un spectacle d'un autre genre s'offrait déjà à mes yeux :
Jonathan avait une formidable érection qui enflait l'entrejambes de son jean usé Voyant que je m'en étais rendu compte, il plia une jambe pour tenter de me dissimuler son trouble, ce qui ne
fit qu'attiser mon propre désir.
Je me relevai alors, et, à genoux sur le lit devant Jonathan encore allongé, je déposa une main sur sa jambe qu'il allongea de nouveau, devinant mon geste. Il me regarda avec beaucoup de
douceur lorsque je lui caressai son énorme paquet comprimé par son jean. Puis, ma main se faisant plus téméraire, je remontai sur son ventre , relevant son t-shirt. Ses abdominaux sous
mes doigts fluets semblaient frémir d'excitation, et je m'attardai à explorer ce pays vallonné avant d'y déposer un baiser. Jonathan haleta de désir comme pour marquer la fin du suspense et, toujours plus audacieux, je défis un à un les boutons de son jean, dévoilant petit à petit son
énorme sexe dressé.

Je fus à nouveau surpris par la taille de son membre qui s'exhibait sans vergogne et dans toute sa majesté.
Monté sur une base large de laquelle pendaient deux couilles généreuses, sa verge s'élançait fièrement dans une courbe bien dessinée, bandée comme un arc, à la conquête du plaisir
qu'attendait de recevoir un gland épais et violacé. J'avais besoin de mes deux mains pour le branler tant elle était épaisse. Ne le faisant pas languir plus longtemps je l'entourai de mes lèvres avant de le sucer avec une gourmandise non feinte.
Jonathan gémît de plaisir et l'extase qui se lisait sur son visage me fit accélérer le mouvement tandis que mes mains lui arrachaient littéralement son jean.

Enfin nu, Jonathan n'avait pas bougé. Dans son silence, il exprimait sa passivité et sa soumission et je sus qu'enfin il était tout à moi. Je m'approchai de son visage, nos yeux se
croisèrent un moment dans un regard de connivence et d'amour, puis nos lèvres se mêlèrent l'une à l'autre dans un profond baiser. Nous nous embrassions avec toute la fougue des
nouveaux amants, quand Jonathan me retira mon T-shirt d'un geste calculé et passa sa main caressante sur mon dos et sur mon torse, ses doigts jouant avec le bout de mes seins, une
nouvelle partition sur la musique de nos amours. Jonathan était comme je l'avais imaginé, dans son mélange subtil de force et de fragilité, de virilité et de douceur et j'en tombai éperdument amoureux.

Par aisance, je le laissai ouvrir lui aussi mon pantalon et me mettre nu avant de retourner m'occuper de sa verge avec un art consommé de la fellation. Mais déjà, les jambes de Jonathan
se repliaient vers son torse dégageant son anus et le proposant à mes soins avec le plus grand naturel. Je pris une seconde pour me délecter de la vision de ce superbe étalon, les 4 fers en
l'air, musclé, soumis qui m'invitais dans une provocante posture à pénétrer son intimité la plus discrète. Je crus rêver un instant, car l'image du Jonathan passif que j'avais sous les yeux, contrastait avec celle du jeune homme entreprenant et sûr de lui que je lui avais toujours connu. Il n'en était pas moins beau et désirable au contraire, il m'apparut plus émouvant et
plus excitant encore dans la façon qu'il avait de se donner.

Je parcourus d'abord le tour de son anus de ma langue, tandis que mes mains au creux de ses genoux le maintenaient dans la bonne position. Jonathan haleta de plaisir et le jeu devint plus
précis. En effet, ma langue, en parfaite exploratrice visitait maintenant toute la profondeur de son mystère que je pénétrai ensuite d'un doigt, puis deux, comme je m'étais imaginé le faire
dans mes nuits les plus agitées.
-Défonce-moi? supplia-t-il. Jonathan n'en pouvait plus de désir, sa queue était tendue au maximum et son trou, avide d'être rempli, se dilatait et se contractait dans l'appel désespéré de
son contraire.
Charitable de nature, j'abrégeai les affres du désir enduré par mon beau mâle en lui enfonçant d'un seul coup mon sexe dans le cul. J'étais moi même au dernier seuil de l'excitation, mais
j'avais pris soin de ne pas laisser Jonathan me toucher pour ne pas hâter ma jouissance et terminer trop vite l'exploration de son cratère anal.
Dans notre effort, mes couilles venaie ...

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