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une aventure a Chalon

Publié par : sallynympho le 29/09/2025
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A Chalon-sur-Saône, en début d’après-midi, la chaleur de septembre caressait ma peau intégralement épilée, et je sentais déjà cette excitation familière me parcourir. J’avais enfilé une minuscule jupe en vinyle noir, si courte qu’elle effleurait à peine le haut de mes fesses galbées, avec un petit top rouge en résille qui laissait mes faux seins énormes, bonnet E, respirer et attirer les regards. Mes escarpins à talons aiguilles de 12 cm claquaient sur les pavés du centre-ville, et je pouvais sentir les yeux des hommes se coller sur mes jambes, sur mes hanches étroites, sur ma poitrine opulente.
C’était toujours la même sensation en public : ce frisson délicieux d’exhibition. Je marchais, j’assumais, et chaque regard devenait un préliminaire silencieux. Mes longs cheveux roux flamboyants ondulaient dans mon dos, se balançant comme une invitation. Je suis une salope assumée, une nymphomane, et je ne vis que pour ça : être désirée, être prise, être offerte aux mâles virils.
Je me suis dirigée vers les quais de Saône, là où les couples et les familles se promènent. Mais moi, je n’étais pas venue pour la balade. Je m’assis sur un banc, croisai et décroisai lentement mes jambes gainées de bas fins, laissant mes cuisses apparentes. Un groupe de trois ouvriers en pause s’arrêta à quelques mètres. Leurs regards ne me lâchèrent pas. Je les fixai avec mes yeux verts, les mordant du regard, et je savais déjà que le jeu commençait.
Je me penchai légèrement en avant, ajustant ma jupe si courte qu’ils pouvaient deviner la forme de mon string en vinyle brillant. Mon cœur battait vite, mais ce n’était pas de la peur. Non, c’était l’excitation pure, celle qui brûle dans mon ventre à chaque fois que je m’exhibe. Un des hommes s’approcha, grand, brun, viril, avec les mains encore salies par la poussière du chantier. Son regard ne cherchait pas à se cacher.
— Salut, ma belle… Tu cherches quelque chose ?
Je lui souris avec insolence.
— Peut-être… ou peut-être que c’est toi qui cherches…
Il rit, nerveux, et ses deux collègues se rapprochèrent. Je savais que je les avais déjà ferrés. Je jouai avec une grande créole qui pendait à mon oreille, comme pour leur dire : « Je suis à vous, osez. » Et ils osèrent. Le premier posa sa main sur ma cuisse nue. J’écartai un peu les jambes, comme une offrande silencieuse. La chaleur de sa paume contre ma peau me fit frissonner.
On s’éloigna des regards, derrière un bâtiment en briques près des entrepôts désaffectés. Là, je devins ce que j’aime être : une chienne offerte. Ma poitrine généreuse fut vite mise à nu, mes seins en silicone pressés dans leurs mains avides. Mes lèvres peintes d’un rouge brillant s’ouvrirent autour de leurs sexes bandés. Je suçais, goulue, avalant avec passion, sentant leur odeur masculine, leur sueur. Mon maquillage sophistiqué devait déjà baver, mais je m’en foutais : j’étais dans mon élément.
Ils me prirent tour à tour, contre le mur, me soulevant presque du sol à cause de mes talons. Je me cambrais, je gémissais fort, sans retenue. Je voulais que toute la rue entende que j’étais en train de jouir, que j’étais la salope rousse flamboyante qui s’offrait sans honte à des inconnus. Mes fesses galbées claquaient sous leurs assauts, mes bijoux intimes tintaient à chaque mouvement. J’étais entièrement possédée, mon corps vibrant de plaisir pur.
Après cette première décharge de luxure, je remis ma jupe, lissai mes cheveux ondulés, et repartis comm ...

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