La goulue, je l'appelle désormais comme çà à cause de sa voracité pour la bite, et aussi parce qu'elle a la jambe légère . . . et ce n'est pas pour du french cancan, croyez moi. Des cancans il y en a à son encontre, mais çà lui est totalement indifférent. Après l'agréable surprise qu'elle m'avait offerte précédemment et dont j'ai fait récemment le récit, nous avions convenu de nous revoir pour essayer de nouvelles positions afin de varier les plaisirs. Elle avait fixé le prochain programme, soixante-neuf et sodomie. Cette fois elle m'entraina donc directement dans sa chambre. Après moult embrassades et mots doux, caresses furtives, glissements de fermetures éclairs et vêtements tombant à terre, nous nous retrouvions nus allongés sur son lit. La chaleur de nos deux corps nous incitait à nous frotter l'un à l'autre, peau contre peau, à de nouveaux baisers plus profonds, ceux où les lèvres restent collés l'une à l'autre, parfois se mordillent, puis laissent passer nos langues pour quelques circonvolutions tout en échangeant nos salives. Des baisers goulus en quelque sorte, et pour çà elle savait y faire. Nos mains s'aventuraient tout naturellement vers les endroits les plus sensibles, il m'était agréable de sentir ses doigts entourer ma queue et la branler avec douceur pour la mettre en condition, tout comme cela devait lui être de sentir mes mains caresser sa petite chatte et mes doigts titiller son clitoris, voire glisser quelques phalanges au-delà de son entrée intime. Après ses mises en conditions, il fallait changer de positions pour passer à des choses plus sérieuses. Je profitais de l'occasion pour téter ses gros seins si appétissants, sucer ses petits mamelons durcis par le plaisir, et lui faire mille bisous tout en continuant à palper ses mamelles dont il était difficile de se défaire. Elle n'était pas en reste pour explorer mon corps et me faire mille mignardises et autres papouilles. Enfin installés tête-bêche comme il le fallait, grimpée sur moi elle plongea sa tête sans tarder entre mes cuisses pour prendre goulument ma pine dressée et raidie dans sa bouche baveuse et gourmande. Je sentais ses lèvres glisser tout au long de ma tige qui grossissait à chacune de ses aspirations. Elle en profitait pour glisser ses doigts dans le trou voisin qui lui était offert à l'occasion. J'avais déjà eu l'expérience d'être pris par des hommes et cela m'avait été agréable, mais ses doigts en mouvement dans mon cul valait bien des queues, c'est qu'elle savait y faire la garce. Je ne connaissais pas sa vie, mais elle n'a certainement pas joué les vierges effarouchées bien souvent, et si les relations qu'elle avait entretenues avec les hommes avaient été sujets à bien des réflexions outrées, sinon à bien des jalousies, je profitais maintenant de son expérience acquise, et je n'avais vraime ...

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