Un jeudi soir, il y a quelques années, j’ai eu très envie, je me suis donc rendu dans l’usine désaffectée du ramier. N’ayant pas de voiture je prends un bus de soirée qui me pose à l’arrêt tout proche sur le pont du Stadium et je rejoins l’usine à pied.
Il y a une petite vingtaine de voiture, ce qui me rassure, moins de risque de faire une mauvaise rencontre si on est nombreux. Je rejoins donc le bâtiment et entre.
Dans l’obscurité je distingue quelques silhouettes qui tournent, se frôlent, s’éloignent vers une nouvelle silhouette ou au contraire restent ensemble et après quelques caresses, l’un des deux type se met à genoux devant l’autre… bref ça drague et ça consomme !!!
Je me lance à mon tour, on y voit très peu, seules quelques lucarnes crasseuses permettent à la lumière de la lune d’éclairer le lieu. Je palpe de ci de là avant de trouver un gars qui semble avoir envie de moi et dont la bite, que je palpe à travers son jean, semble appétissante. Je ne vois rien de son visage, il sent le déodorant mais moi qui n’aime pas cette odeur d’habitude, là je trouve celui-ci plaisant. Il appuie sur ma nuque, je ne me le fait pas dire deux fois, je me retrouve à genoux et je déboutonne son jean. Sa bite m’explose en pleine figure, il n’a pas mis de sous vêtement. Je la saisie et la branle, puis je lèche son gland pour finir de le décalotter et je l’enfourne. Elle n’a pas de goût ou de saveur particulière, ce qui me déçoit un peu moi qui préfère les membres odorants mais elle est agréable à sucer et très vite ses râles discrets et les soubresauts de son ventre m’indiquent qu’il se régale. Moi aussi.
Je le suce ainsi environ 5 minutes avant qu’il ne me repousse, ne voulant pas jouir trop vite. Je me relève, le short déformé par une belle bosse que je masse de la main gauche, la droite étant repartie en quête d’une queue affamée.
Un type m’accoste, plonge sur ma bite, sentant la bosse il s’agenouille direct et baisse mon short, mon boxer, me prend en bouche et me suce. D’ordinaire je suis passif mais je ne dit pas non à une petite pipe de temps en temps et là je me laisse aller.
Il me suce bien et ses doigts qui titillent mon fondement ne jouent pas longtemps la comédie, il m’en colle deux direct. Il me fait mal au passage et je le repousse un peu. Il sort ses doigts, me reprend en bouche puis me remet un doigt, plus doucement cette fois ci. Je me laisse aller au plaisir. Sa langue est lourde, humide et un peu râpeuse mais ses lèvres pressent ma bite sur toute sa longueur dans une caresse délicieuse et son doigt, plus civilisé fait désormais un travail admirable en coulissant, ressortant presque puis forçant à nouveau le passage pour s’enfoncer en moi, je ne tarde pas à sentir mon bas ventre se contracter, mes couilles remontent une peu et mon anus se resserre puis dans un râle que j’essaie d’étouffer au maximum, un spasme remonte de mon ventre le long de ma bite et je décharge mon foutre dans sa bouche.
Il prend tout et lape même les dernières gouttes qui perlent sur mon méat, se relève et crache ma semence sur le sol, s’ ...
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