Après un repas bien arrosé chez des amis (du moins pour ma femme, moi je conduis), nous sommes sur le chemin du retour. J’aperçois à une centaine de mètres un auto-stoppeur, la trentaine, bel allure.
De gros nuages et la pluie commençant à tomber, je me laisse attendrir, je me gare et le laisse monter à l’arrière.
Il me remercie, puis la conversation s’engage, ma femme, ayant bien bu, comme d’habitude, somnole. Il m’explique qu’il doit rentrer lui. Ça tombe bien, il habite près de chez nous à Ambarès.
En jetant un œil dans le rétro, j’aperçois mon passager les yeux fixés sur les jambes de ma femme.
Celle ci endormie a sa jupe porte feuille, entrouverte, bien relevée plus qu’à mi cuisse laissant en imaginer plus.
Hum ça me chatouille le bas ventre ; j’aime !

….

IL s’en rend compte et confus s’excuse
« désolé »
Je lui réponds tout bas avec un sourire entendu
« pas de soucis au contraire j’aime bien quant on la mate… je suis plutôt partageur … profitez en... y a pas de mal à se faire du bien»
Du coup il ne se gène plus pour la regarder et ôtant sa ceinture de sécurité, assis au milieu, il se penche même pour admirer le paysage. Je devine qu’il en voudrait plus.
Au bout d’un moment alors que nous approchons de chez lui, il se lance
« ça vous direz de boire un verre chez moi pour vous remercier ? »
« pourquoi pas, bien que ma femme ai déjà eu sa dose d’alcool ! »
Elle ne réagit pas donc elle s’était bien endormie. J’en profite pour lui murmurer
« Ce serait peut être le moment d’en voir plus … perso j’aimerais bien ... moi »
Il semble surpris mais je vois à son regard que le fait d’avoir le loisir « d’en voir plus » l’intéresse. Même si ma femme n’est plus toute jeune, elle a encore de beaux restes.
Arrivés devant chez lui, je réveille Marie.
Elle est surprise, mais sans commentaire, nous suit et nous entrons chez lui.
Nous nous installons dans le salon.
Elle, encore à moitié endormie, s’assoit sur le clic clac qu’il lui présente et de nouveau sa jupe, déjà assez courte, remonte pour notre plus grand plaisir, sans compter qu’elle est maintenant bien entrouverte laissant deviner son petit triangle.
« whisky pour tout le monde ?»
Comme prévu Marie ne refuse pas, bien au contraire, elle est même la première à vider son verre.
Peu à peu la conversation vire vers la polissonnerie.
Aidée par l’alcool ma femme, pas du tout choquée, s’anime un peu.
Seb s’assoit alors à coté d’elle.
Un deuxième verre et elle commence à avoir chaud et déboutonne le haut de son chemisier.
Sa jambe est toute proche de celle de Seb. Il en profite pour mettre la sienne tout contre.
Marie ne réagit pas et le laisse se coller à elle. Bon signe.
La discussion est maintenant franchement orientée vers le libertinage mais à cause de l’alcool absorbé, Marie a un peu de mal à suivre bien qu’à voir son regard espiègle, le sujet semble vraiment l’intéressé .
Après avoir jeté un œil dans ma direction Seb se décide.
Il pose une main sur le genou de ma femme.
Pas de réaction.
« hum tu as de jolies jambes et c’est doux, tu permets que je les caresse ? »
Pour toute réponse Marie, les yeux plissés, pousse un léger soupir.
Sans plus attendre Seb remonte lentement sa main le long de sa jambe et petit à petit elle disparaît sous sa jupe qui s’ouvre encore davantage.
Moi je me mets à bander. De nouveau un regard vers moi. Je lève mon pouce en signe d’approbation.
Sa main remue à présent sous la jupe portefeuille en partie bien ouverte.
Vu le gémissement, la bouche entrouverte et la tête en arrière de ma femme,  il doit avoir atteint le minou !
Il me jette un regard cette fois éclatant et vainqueur.
Plus de doute possible et ma femme qui se laisse trifouiller sans broncher !
La main toujours sous la jupe, il se penche sur elle, et elle ne lui résiste pas bien au contraire elle lui offre ses lèvres. Cette salope a envie c’est clair !
Et dire que, humilié, j’observe la scène tout excité acceptant sans retenue d’être bientôt cocufié !
Seb pose alors la main de ma femme sur sa braguette.
« oh ! C’est dur » bafouille-t-elle
« tu veux la voir ma belle ? »
« ououi »ânonne-t-elle 
Aussitôt, après un rapide coup d’œil lubrique vers moi, il fait glisser sa fermeture éclair et sort sa belle bite de jeune mâle.
Elle jaillit de son pantalon, droite et raide avec un beau gland luisant.
Il enferme de suite la main de ma femme sur sa grosse bite et commence un mouvement lent de masturbation.
Lâchant la main de Marie, qui le branle à présent seule, sa main repart sous la jupe à la recherche de la chatte de ma femme.
Après un petit moment, je l’entends lui murmurer à l’oreille
« ta culotte me gène tu veux bien l’enlever ? »
Bien qu’elle ai quelques difficultés à s ...

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