Il y a bien longtemps (je devais avoir 20 ans à peine), j’avais terminé un long tour en VTT en Camargue sur une plage non loin d’Aigues-Mortes. Soleil de fin d’après-midi, mi-septembre, il faisait doux, il n’y avait pas grand monde. Je me suis assis dans le sable à côté de mon vélo, je regardais la mer au loin en buvant de petites gorgées de ma gourde. Je sentais un peu mes muscles, j’étais délicieusement bien.
Au bout d’un moment, je réalise que les quelques rares personnes autour de moi, dans les dunes, étaient nues, majoritairement des hommes autour de la quarantaine. Cela aiguise ma curiosité. Il m’arrive parfois de faire du nudisme – pas autant que maintenant –, j’aime le sentiment de liberté et l’excitation que cela provoque. J’aime aussi, comme tout le monde, mater les autres et je ne refuse pas des attouchements. J’avais découvert ma bisexualité vers 14-15 ans et l’assumais complètement.
Je n’ai donc pas hésité à me déshabiller. Nu, debout au soleil de septembre, cela m’a excité et j’ai commencé à bander. Je suis resté un moment debout, à scruter l’horizon, les dunes. Mon sexe était à moitié dressé, j’avais envie… Un autre homme se tenait à une cinquantaine de mètres de moi et guignait de temps à autre dans ma direction.
À sa silhouette, avec un petit ventre rond, je lui donne un peu plus de quarante ans. Il a l’air d’avoir un sexe assez épais, sur lequel je n’ai pas hésité à fixer mon regard. Ce qui fait durcir et dresser ma bite, que je ne cherche pas à dissimuler… Il a manifestement reçu le message car il commence à se toucher le sexe de façon ostensible. Du coup, je fais de même en me tournant vers lui. J’aime bien sa façon de se masturber, son rythme est plus rapide que le mien. Je m’avance vers lui et lui vers moi. Marcher dans le sable avec mon dard dressé augmente encore mon excitation.
Lorsque nous sommes l’un devant l’autre, chacun de nous prend spontanément la bite de l’autre en main. Sa queue est vraiment épaisse, plus courte que la mienne mais très grosse. Mes doigts glissent sur son gland, qui est déjà trempé, sur sa hampe et descendent sur ses couilles. Je lui excite les bourses avec les ongles, c’est une caresse que j’adore me faire et il a l’air d’apprécier aussi. Lui me branle vigoureusement et je dois le freiner car je sens ma semence monter.
Pour me soustraire à l’excitation de sa main, je m’agenouille dans le sable et approche mon visage de son gland. Un parfum sauvage, très sexe, enveloppe sa queue, un mélange musqué de sperme et de sel marin. J’approche mes lèvres de son gland énorme que j’ai presque de la peine à prendre en bouche. Ma langue s’amuse sur son frein tandis que mes lèvres vont et viennent sur le gland. Je glisse une main sous ses couilles, qui sont grosses et dures. Mes doigts se faufilent entre ses cuisses et se glissent dans sa raie, à la découverte de son anus. Sa raie est humide et mon index glisse sans peine dans l’onctuosité de son trou. Je sens sa bite se dresser lorsque mon doigt commence à bouger entre ses fesses.
Sa main sur mon front m’invite à interrompre ma pipe, il ne veut pas encore gicler. Je me relève doucement. Je me retourne pour coller ma raie contre son dard, j’ai envie de sentir sa taille, sa dureté et sa chaleur frotter contre mon trou. Il écarte mes fesses avec les mains, appuie sa queue en long dans ma raie et commence à bouger les hanches pour frotter sa bite contre mon trou… Je lui glisse à voix basse que ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur