J’étais le seul employé de M. Gantz à disposer d’un bureau individuel. Je pensais que ce privilège était dû aux petits services extraprofessionnels que je lui rendais régulièrement. Petits services qui exigeaient un minimum d’intimité et de discrétion.
Aussi, quand M. Gantz vint installer en face de moi un nouvel employé, je me dis avec désappointement que le patron était lassé de nos petits jeux.
Le nouveau était un type dans la trentaine, grand, un peu corpulent. Un grand nez, des petits yeux bruns sous des lunettes de myope, des lèvres fines et des cheveux roux séparés sur le côté par une raie impeccable.
Le nouveau s’occupait de devis, moi de comptabilité. N’ayant rien à nous dire, nous échangions de temps à autre un regard par-dessus nos ordinateurs et les journées se déroulaient en silence.
Un jour, je remarque que mon vis-à-vis n’arrête pas de remuer ses jambes sous le bureau. Intrigué, je fais tomber un stylo à terre pour y regarder de plus près.
Quel spectacle ! Les jambes de mon collègue s’ouvrent et se referment à rythme lent, faisant apparaître puis disparaître un magnifique paquet enserré dans le pantalon de flanelle. Les deux grands pieds déchaussés caressent la moquette comme pour en éprouver le moelleux. Ces pieds sensuels sont voilés de chaussettes fines, qui laissent voir la chair par transparence. J’essaie de humer leur odeur sans y parvenir. Très excité, je fais semblant de chercher mon stylo pendant un bon moment.
Quand je fini par me redresser, je croise le regard du nouveau. Il a un sourire ironique, mais ne dit rien. Je me remets au travail avec difficulté car la vision des pieds continue de me troubler. Je m’imagine les embrasser, les renifler, les lécher. Ça m’excite trop pour que je puisse me concentrer sur les chiffres.
Sous le bureau, les jambes du nouveau continuent de s’agiter. Soudain, je sens un contact sur ma cheville. J’écarte mon pied, mais le contact revient. Je regarde mon collègue. Sa tête est dissimulée par son ordinateur. Je sens son pied caresser puis tapoter ma cheville. Je demeure figé. Le pied remonte le long de mon mollet. Je me plaque contre mon bureau afin de me rapprocher du pied fouineur. A présent, il est posé sur l’intérieur de ma cuisse sur laquelle il exerce de petites pressions, comme pour en éprouver la fermeté. Je résiste à l’envie de m’écarter du bureau pour pouvoir voir ce pied et en respirer l’odeur. J’ai l’impression que si je bouge, tout va s’arrêter.
A présent, les orteils sont sur ma braguette. Je bande. Ça me gêne horriblement. La tête de mon collègue est toujours dissimulée derrière son ordinateur. Il continue de taper sur son clavier comme si de rien n’était.
N’y tenant plus, je me jette sous le bureau, j’attrape le pied de mon collègue, j’y plaque mon nez et ma bouche. L’odeur qui s’exhale de la chaussette moite m’excite, je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Je lèche les orteils et la plante. J’y frotte mon museau comme une chatte en chaleur.
Mais le pied se retire brusquement et j’entends la voix de mon collègue me dire « Occupe-toi plutôt de ma queue »
Relevant la tête avec précaution pour ne pas me cogner au plateau du bureau, je vois que mon collègue a sorti ses bijoux d ...
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