Bien au fond du cul de J.M. j'avais le pubis collé à son postérieur tandis que je triturais ses tétons ultrasensibles. J.M. m'encourageait à continuer et gémissait. Il commença à bouger son bassin et à donner des petits mouvements de va-et-vient pour masser ma bite calée dans son fondement. Chacun de ses mouvements me procurait un peu plus de plaisir. J.M. avait visiblement une certaine pratique de la chose et se débrouillait divinement bien. Il amplifiait de plus en plus ses mouvements et je commençais de mon côté à le suivre et à faire aussi des allées et venues dans son cul bien ouvert. Je faisais des efforts pour ne pas jouir trop vite, mais avec un tel traitement, je n'allais pas tenir bien longtemps. J.M. de son côté gémissait et grognait plus je triturais ses tétons en lançant de "oh putain que c'est bon" ou "tu me baises bien", "prend bien mon cul de salope, j'aime ça". Au passage, nous étions passés du vouvoiement au tutoiement sans la moindre difficulté. J.M. accélérait et tremblait de plaisir de temps en temps. Quand il sentait que j'étais proche de la jouissance, il bloquait un peu avant de reprendre. Après quelques minutes, impossible de tenir davantage, c'est J.M. qui jouit en premier et je le suivis quelques secondes plus tard. Je déculais tandis que J.M. se retournait pour m'embrasser encore à pleine bouche en murmurant un merci. J'avais pris moi aussi un super pied.
Le temps de reprendre nos esprits, il me demanda ce qui m'amenait et tout d'un coup je me rappelais du problème de l'eau. Il m'assura que ce n'était rien, qu'il avait fait quelques travaux et sans doute oublié d'ouvrir l'eau après. Il m'assura qu'il allait faire le nécessaire mais qu'avant, peut-être qu'une douche nous ferait du bien à tous les deux.
J.M. me proposa d'utiliser sa propre douche et je le suivis à l'étage où se trouvait la salle de bain agrémenté d'une belle grande douche à l'italienne. Il sortit une serviette et ouvrit l'eau, régla la température et nous y sommes rentrés ensemble. Nous avons commencé à nous savonner mutuellement et à nous caresser à nouveau, à nous embrasser goulûment et bien sûr à rebander rapidement. Sous une pluie tiède, J.M. se pencha pour prendre en bouche ma queue raide et l'enfourner jusqu'au fond de la gorge. Il savait y faire, le bougre. Sa bouche était aussi bonne que son cul et recommençait à me donner du plaisir. Le coquin en profitait pour glisser un doigt dans mon cul, puis rapidement un deuxième, non sans me procurer des sensations intenses de bien-être. Décidément, je n'en attendais pas autant de mon week-end qui allait sans doute être bien moins calme que prévu. Avant que je ne jouisse de nouveau, J.M. arrêta la douche , me tendit la serviette et me murmura qu'on pouvait peut-être continuer vers sa chambre. Je ne pouvais tout de même pas refuser une telle invitation du maître de maison. Une fois séchés, il m'amena dans sa chambre qui était juste à côté. Là, ce fut une belle surprise car il y avait sur la commode, un belle collection de godes, de plugs de toutes tailles et de couleurs différentes. Comme je les regardais en souriant, J.M. me dit qu'il aimait beaucoup de faire plaisir quand il était seul mais aussi avec des amis. Il me demanda si je voulais les essayer avec lui. Bien sûr que je veux. Il me dit d'en choisir quatre ou cinq et de le rejoindre sur le lit avec. J'ai à peine le temps de les prendre qu'il est déjà sur le lit à quatre pattes, le cul tourné vers moi avec à côté de lui du lubrifiant.
Mais sa rosette me fait tellement envie que j'ai d'abord envie d'y fourrer ma langue. J'écarte bien ses fesses légèrement poilues et enfonce mon visage dedans. Il sent bon le gel douche et ma langue pénètre rapidement dedans et je joue un petit moment avec son anus et ça plait à J.M. Il en redemande. "oui vas-y, mets ta langue bien au fond, suce moi mon petit trou".

Au bout d'un petit moment, je prends un premier gode, noir, pas trop gros et je mets un peu de gel dessus, je le graisse bien et commence à pointer le bout sur son trou pour le titiller un peu. J.M. s'impatiente et demande "Tom, vas-y mets le moi, enfonce ...

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