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Un dimanche en 2008

Publié par : francinne le 10/09/2017

Il y a bientôt 10 ans…
Un dimanche soir ordinaire… Le beau mec rencontré samedi est reparti cet après-midi…Nous avons baisé non-stop durant 10 heures. Quel phénomène ! Jamais auparavant je ne m’était faite limé le cul de façon aussi magistrale par un seul gars. Une jolie bite fine et longue, idéale pour combler mon petit trou.
Hélas son emploi de chauffeur l’oblige à reprendre la route dès ce soir mais nul doute qu’il reviendra la semaine prochaine.
En attendant je suis toute seule et malgré les jouissances successives, je reste sexuellement inassouvie.
Aller Francinne, assures !
J’ai entendu parlé d’un petit parking pas loin où l’on peut facilement faire des rencontres passagères.
Je vais m’habiller très pute afin d’attirer les curieux.
Maquillage outrancier, string ouvert, l’incontournable porte-jarretelles, des bas coutures, une minijupe à volants et un top dentelle à frou-frou laissant apercevoir un push-up fleuri.
Ne sachant combien de temps je devrais attendre, délaissant les talons aiguilles, j’optai pour des salomées dorées à talon plus raisonnables.
Me voila prête ! En avant !
Au premier abord, l’endroit n’a rien de plaisant. Deux ou trois tables en bois sur un carré de pelouse, un petit chemin jonché de détritus qui s’enfonce dans la forêt.
Après avoir garée ma voiture à coté du chemin, j’allais à proximité de la route lorsqu’un poids lourd rentra sur le parking et vint se mettre devant celle ci.
Tu prends combien ?
Le chauffeur, la quarantaine, les biceps en avant, le torse viril, n’était pas mal foutu.
Rien ! C’est pour le plaisir ! Mais attention, j’ai une petite surprise !
Relevant ma jupe, j’exhibai mon clito déjà dur sortant du string.
Waoh, un travelo ! Je vais pouvoir me peter une petite rondelle !
Aller, grimpes, tu vas rencontrer la bite à Bebert !
D’un pas hésitant, je rentrai dans la cabine. Le dénommé Bebert avait déjà sorti son engin de son jean et se masturbait frénétiquement.
Alors salope, elle te plait ?
Juste comme je les aime ! Assez longue, fine avec un beau gland proéminent
Je titillai le méat puis englouti le braquemart en flattant les couilles du bout de la langue.
Elle est bonne. J’adore l’odeur de male en rut qu’elle dégage.
Après quelques aller retour, je proposai à Bebert de m’emmancher.
Attends petite salope, on va se mettre à l’aise.
Il enleva son jean puis tirant une couverture de la minuscule couchette m’indiqua la table la plus proche du camion.
Là bas on sera bien !
Il étendit la couverture sur la table et je m’accoudai sur celle-ci en relevant bien haut le cul.
Il releva ma jupe, écarta les ficelles de mon string et me pénétra d’un coup.
Comme je m’étais copieusement vaseliné le trou avant de venir, il n’eut aucun mal à aller jusqu’au bout.
Vas y bourres moi à fond ; je veux sentir tes couilles contre mon cul !
Me saisissant par les hanches, il poussait à chaque fois un peu plus fort. Je roulai du cul pour le sentir le mieux possible.
Putain, t’es vraiment la reine des salopes ! Et dire que ma bonne femme veut pas que je la tronche par derrière !
Il saisit ma bite et imprima un mouvement de va et vient qui me fit bientôt cracher la purée.
Eh ben, t’es expéditive toi !
Alors qu’une ultime goutte sortait, nous entendîmes un camion qui entrait sur le parking. Prise au dépourvue, je tentai de le repousser mais il me rassura :
T’en fait pas, je le connais, c’est Gilou ! On s’est déjà tapé des putes ensemble !
J’entendis la portière du camion claquer puis un sifflement admiratif.
Eh bien Bebert, on se refuse rien ! A peine parti de chez toi et tu t’en fait déjà une ! Et par derrière en plus !
Salut Gilou ! Ben oui j’ai pas pu résister ! Si je te disais que c’est gratos en plus ! Et t’as pas tout vu. C’est du spécial en plus ! Tiens penches toi et regardes !
Ben merde ! Un travelo ! J’en ai jamais baisé !
Passes de l’autre coté de la table. Je suis sur que Mademoiselle te refusera pas une petite gâterie.
Gilou enleva son pantalon et vint me mettre sous le nez un chibre de taille respectable. Je le branlai deux trois fois puis me l’enfonçai dans le gosier. J’aimais bien le gros gland noueux qui me frappait la luette.
T’as vu Bebert, elle me fait une gorge profonde la salope ! Faudrait pas que ça dure 10 minutes sinon je lui décharge dans la gueule recta !
Fais pas le con, faut en profiter à fond ! Tiens, on va changer de place si tu veux ?
Ok. Moi aussi je veux goûter sa pastille !
Ils se déconnectèrent et me couchant sur le dos, Gilou enfonça son gros dard en moi tandis que Bebert me forçai les lèvres.
Putai ...

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Mots-clés : En partie vraie, Trav, A plusieurs