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Un désir glissant II

Publié par : Shaari34 le 15/03/2018

Ce midi, j’avais envie de Valérie ; maintenant, je désire Valérie et Christophe, Christophe et Valérie ! Une femme et un homme !


Que vais-je inventer auprès de ma femme pour la laisser seule cet après-midi. Je décide de lui mentir le moins possible (si on peut dire !) ! À onze heures, je lui annonce que je vais devoir appeler Christophe pour un problème de travail. Je gagne mon bureau, compose un numéro et entame une conversation fictive. Après avoir raccroché, je vais l’avertir de la nécessité d’aller chez Christophe pour boucler un dossier important. Elle est un peu surprise, déçue de devoir restée seule. Ouf ! C’est fait !


J’ai eu bien du mal à dormir la nuit dernière. Cette main sur mon sexe, cette langue dans ma bouche, cette queue dans ma main, c’était à un homme. Ma morale réprouve de tels agissements. Les pédés, les homos, beurk ! Et pourtant, j’ai vécu un merveilleux moment. Je me suis branlé deux fois en pensant que c’était Christophe qui le faisait. Deux fois, j’ai joui en pensant à cet homme. Honte, interdit, plaisir, obsédé, les mots n’ont pas manqué dans ma nuit. Les uns m’accablaient, les autres me défendaient. Finalement, au matin, c’est le plaisir qui avait gagné. La morale va devoir fermer les yeux. Je suis bien décidé à assouvir cette envie que j’ai, de connaître le plaisir physique avec un autre homme. Et Valérie ? Quand j’ai joui, dans mon fantasme, elle partageait nos jeux : le plaisir vécu avec l’un n’empêche pas l’envie de l’autre.


14 heures. Je range ma voiture sur la petite place qui jouxte la maison de Christophe et Valérie. Une dernière fois, je pense à ce qui va arriver. Je sais maintenant que je le veux. Je bande déjà alors que je sonne.


Il s’écarte pour me laisser entrer. Il est vêtu d’un peignoir bleu marine et affiche un regard qui me ravit.


— Viens à la douche, me dit-il, nous allons reprendre là où nous en étions !

Sa voix m’a troublé, de par son manque d’assurance. Je ne suis pas le seul à être ému !


Nous entrons dans la salle de bain. Il ôte son peignoir. Je me déshabille.

Il est là à deux pas de moi et il bande, il bande merveilleusement. Tout en enlevant mon slip, je fixe ce sexe qui, je le sais déjà, va me combler tout à l’heure. Je le rejoins dans la cabine de douche ; dans un premier temps, nous nous touchons le moins possible, nous enduisant de gel douche jusqu’à ce que, sous l’effet de l’eau, nous soyons comme huilés par cet « onguent ». Nos mains passent alors à l’action pendant que nos yeux se parlent (et se comprennent). Fous de désir, nous reprenons ce baiser que nous avions échangé au gymnase. Mais très vite, nos corps réclament plus que ces caresses. Vite rincés, nous nous essuyons l’un l’autre, en évitant de nous attarder sur nos sexes, comme si nous voulions garder cette étape pour le lit où nous allons nous ébattre.


Christophe me guide vers sa chambre. Il me demande de m’allonger, ce que je fais avec plaisir. Mon regard lui dit ce que je n’ose lui avouer : « Viens, prends-moi ! »


Il se couche près de moi, sur le côté. Il se penche sur moi. Je sens son sexe qui touche ma cuisse. Comme il est dur ! Je vois sa bouche s’entrouvrir, sa langue s’avancer vers moi. J’ouvre la bouche et ferme les yeux pour mieux être en communion avec lui. Sa main droite commence une douce caresse le long de mon corps. Il passe autour de mon sexe mais n’y touche pas. J’ai beau gémir à ce moment-là et me cambrer pour l’inviter à le faire mais il s’y refuse. Il est maintenant sur moi. Nos langues n’en finissent pas de jouer une danse endiablée et il fait frotter son membre contre le mien. Combien de temps cela dure ? Une éternité de plaisir, à coup sûr !


Il se lève et va chercher un petit pot qu’il pose sur le lit. Au lieu de me rejoindre, il reste au pied du lit. Je le vois s’accroupir et lentement monter vers mon sexe. Je repense au moment furtif connu au gymnase. Mon sexe est près d’éclater. Il sait ce que la bouche de Christophe va lui faire. Lentement, Christophe remonte jusqu’à ma bite qu’il engloutit. Quand sa bouche se dégage, c’est pour me fixer dans les yeux. Je n’ai pas besoin de lui dire que je raffole de ce qu’il me fait. Il entre, il sort, il me lèche, du gland jusqu’au sommet des couilles. Il se redresse légèrement, me sourit et place ses mains sous mes fesses. Il se penche à nouveau.


Sa langue explore un chemin que personne, pas même ma femme, n’a emprunté : il lèche mes couilles et se faufile entre mes fesses qu’il écarte le plus qu’il peut. Il est en train maintenant de jouer avec mon cul. Oui, sa langue tourne autour de mon trou, essaie de s’y introduire, revient sur ses pas pour mieux recommencer. Je gémis de plaisir et lui crie de continuer. Il revient près de moi, le pot à la main. Il l’ouvre et le pose sur le lit. Tout en me bécotant le visage, il me murmure :


— C’est ta première fois ! Je ne veux pas te rater ! Ouvre-toi, n’aie pas peur ! Je vais te préparer pour que tu t’offres à moi et que tu jouisses comme jamais !

Le bout des doigts couverts de crème, il glisse sa main entre mes cuisses que j’ai bien écartées. Sa langue a repris possession de ma bouche alors que ses doigts virevoltent autour de mon cul. Un doigt s’y introduit, suivi d’un deuxième. À mon regret, sa main quitte mon cul ; c’était si bon ! Non, elle revient, chargée d’une nouvelle couche de crème et le jeu continue jusqu’à ce que je lâche sa bouche pour lui avouer :


— Je vais jouir comme ça, si tu continues !

Il arrête aussitôt ses soins et me tend le pot :


— Pour être sûr que tu n’aies pas mal, enduis aussi ma queue !

Il est sur ses genoux, face à moi, qui me suis redressé. Tout en couvrant sa bite de crème, je ne la perds pas des yeux, comme si je cherchais déjà le plaisir qu’elle va me donner. Lui aussi est tout près de jouir car rapidement, il me demande d’arrêter. Je repose le pot de crème et m’allonge complètement. Comme j’allais me mettre sur le ventre, il me dit de rester sur le dos : il veut voir le plaisir monter en moi. Il vient se placer sur moi. Ma respiration devient plus difficile !


Des mains, j’écarte mes fesses, il place sa bite à l’entrée de mon cul. Il se penche maintenant en avant pour que nos visages se frôlent :


— Place tes mains sur mes fesses ; c’est toi qui va guider ma bite ! me souffle-t-il.

Je demande du regard sa bouche et dès que sa langue me fouille, j’appuie sur ses fesses pour que son pieu pénètre mon cul. Sans à-coups, il se glisse en moi, au plus profond de moi. Il ne bouge plus ; je sens sa chaleur se mêler à la mienne ; seuls, par instants, des petits coups de bite troublent merveilleusement mon attente. Nos yeux se cherchent, se trouvent et ne se quittent plus. Il vient de reculer, lentement, doucement, pour que je sente au plus fort de moi, ce morceau de chair. Mes mains sur ses fesses commencent à lui imprimer un rythme lent mais ininterrompu de va-et-vient.


Soudain, il se retire entièrement :


— Mets-toi au bord du lit que nous jouissions ensemble.

Il prend le coussin du fauteuil qui décore la pièce, se met à genoux dessus. Quand il me pénètre une seconde fois, le plaisir me semble encore plus fort : je retrouve une chaleur qui déjà me manquait. Sa main droite prend ma bite et réitère les caresses prodiguées auparavant. Mais de sentir en plus, son sexe aller et venir dans mon cul qui jase de plaisir, je ne peux me retenir longtemps. Christophe me voit commencer à me tortiller. Il pressent l’explosion ; son regard change, ses yeux semblent vouloir sortir de leur orbite. Ensemble, nous crions notre bonheur. Mon jus gicle sur mon ventre pendant que le sien m’inonde le cul. Ai-je déjà connu jouissance aussi longue ? Il sort de mon cul et se jette littéralement sur moi, à la recherche de mes lèvres. Nous nous embrassons longuement collés l’un à l’autre. Nous ne parlons pas. Nos langues, nos mains sont plus expertes.


Christophe m’entraîne à nouveau dans la salle de bain pour une nouvelle douche, mais sans caresses. Puis, nous retournons sur le lit. Nous sommes allongés, côte à côte, ivres de bonheur.


Christophe se tourne vers moi et me glisse à l’oreille :


— J’aimerais que tu me suces !

Quelques jours auparavant, je ne me serais pas cru capable d’une pareille chose, mais, là, je n’hésite pas l’ombre d’une seconde. Je me retourne et me retrouve la tête à la hauteur de son sexe, mes pieds proches de sa tête. Je caresse d’abord lentement presque religieusement sa bite. Rien que de penser au plaisir qu’elle m’a donné, mon membre se redresse. Pour m’achever, Christophe vient de me saisir les jambes pour me positionner sur lui. Un 69, voilà ce que je suis en train de faire avec un homme, et pour mon plus grand plaisir !


Lequel jouit le premier ? Peu importe, mais il ne faut pas bien longtemps pour que nos bouches se retrouvent pleines du foutre de l’autre.


Cette ci, nous sommes K.O.


Un nouveau passage sous la douche et je me rhabille. Avec bien du mal, car Christophe, sans arrêt, essaie de placer ses mains dans mon slip ou sa langue dans ma bouche.

"


— Tu as aimé ?, me demande-t-il ?
— Quelle question ? Aurais-je pu jouir comme ça sans plaisir ?
— On recommencera ?
— J’y pense déjà !
— Je te présenterai des amis !
— …
— Être pris et sucé pendant que tu suces un quatrième, c’est un régal !
— …
— Tu ne veux pas ?
— …
— Tu regrettes ?
— Non !
— Alors, je t’appelle bientôt !

Il est près de 17 heures quand je reprends ma voiture. Je sais que ...

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