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un couple ouvert (Chap 5)

Publié par : naturiste92 le 05/11/2018

Hugo se souvenait très bien de sa toute première rencontre avec Lucie. Ça s’était mal passé : provocations, non-dits, une relation malsaine. Mais après s’être pris une gueulante de la part de sa copine, le jeune homme s’était excusé. Bientôt trois ans plus tard, elle le chevauchait pour la énième fois.

Dans un sourire rayonnant et un essoufflement sensuel, la jeune femme accro à la luxure battait une cadence vive qui secouait un peu la fermeté de son bonnet garni. Ce soir-là, son très cher amoureux était de sortie avec des amis et, profitant ainsi de la liberté de son lit, Lucie avait décidé d’inviter le partenaire de sa meilleure amie pour une partie de jambes en l’air qu’ils n’avaient pas eue depuis longtemps. Et quelle partie ! C’était un lâcher-prise exceptionnel : ils faisaient preuve d’une violence tendre, une bestialité érotique.

Mais surtout, pour la première fois ensemble, ils faisaient l’amour sans avoir mis de préservatif. Une grande nouveauté pour Hugo qui, pendant quatre ans de vie sexuelle, ne s’en était jamais passé. Lucie avait pris cette décision importante en ayant demandé leurs avis à Ethan et Clara, respectivement son copain et sa meilleure amie ; aucun n’y vit d’inconvénient.

Pour Lucie, la capote était obligatoire et non-négociable pour ses partenaires occasionnels ; seuls ses amoureux avaient, une fois les tests effectués, le privilège de coucher « à nu ». Hugo, c’était différent. Elle l’appréciait beaucoup, et il était le sex-friend avec lequel elle avait eu le plus de rapports et sur le plus long terme. Elle savait qu’il était sérieux, qu’il n’avait fait l’amour qu’avec Clara avant elle et qu’il avait toujours mis des préservatifs. Que même si Clara avait sucé un autre garçon, ce dernier ne présentait pas de risque étant donné qu’il était puceau jusqu’au soir où elle est allée chez lui. Hugo n’avait pas de maladies, Lucie prenait rigoureusement sa pilule, elle décida donc de lui offrir ce privilège aussi doux qu’exceptionnel. Autant dire qu’elle en profitait bien volontiers aussi.

Ses lèvres claquaient régulièrement sur le pubis lisse et doux du jeune homme, qui maintenait une épilation totale d’abord pour faire plaisir à sa copine qui détestait les poils, puis au fil du temps par envie personnelle, car il aimait bien ainsi. Lucie n’y voyait pas d’inconvénient, elle était très ouverte d’esprit et laissait les gens avoir leur pilosité, sauf celles qui n’étaient pas entretenues et qui manquaient de grâce. En ce qui la concernait, elle s’épilait aussi intégralement depuis plusieurs années. De fait, les claquements étaient particulièrement sonores.

La jeune femme passa à un rythme plus doux pour se reposer ; elle soufflait beaucoup par la bouche. Posée sur son partenaire en personne forte, les mains en appui sur la poitrine et toujours victime du plaisir que lui procurait cette verge en elle, Lucie se mordit la lèvre inférieure avec un sourire et continuait de souffler bruyamment du nez. Les langoureuses ondulations de son bassin faisaient bouger tout son corps de manière fluide et d’une élégance excitante. Tous ces éléments rendaient cette reine du sexe particulièrement belle.

— Ah!Oh oui Lucie…Lu…cie !Putain, qu’est-ce que ça glisse !

— Hmmm !c’est que je suis contente d’être avec toi, chéri…

« Chéri » était un surnom que la demoiselle donnait parfois à certains de ses amis-amants, pour qui elle éprouvait beaucoup d’affection. Ce n’était pas un lapsus révélateur sur de possibles sentiments cachés, et Hugo le savait pertinemment. En retour, il lui arrivait souvent de l’appeler « ma belle » alors qu’elle n’avait jamais été considérée comme sa petite amie.

La ravissante brune avait recommencé sa vive chevauchée en ne manquant pas de râler tout son plaisir, butant vigoureusement contre le bassin de son partenaire et, par conséquent, enfonçant la verge bien profondément en elle.

— Alors ? T’aimes ça, sans capote !
— Oh ouais ! souffla-t-elle en s’arrêtant. Elle est douce, ta queue. Et puis putain, j’ai trop envie de sentir ton sperme dans ma chatte !
— OK, je vais t’en donner plein !

Et en partageant à la fois un regard complice et sauvage, la demoiselle dominante depuis de longues minutes reprit sa cadence délicieuse. Ils s’appréciaient beaucoup mutuellement et cela se voyait dans leur façon de baiser, leur connaissance sexuelle réciproque les rendait très entreprenants et confiants.

Lucie avait beau être la seule à bouger, elle ne s’en lassait nullement et n’était pas esseulée dans ces ébats : Hugo continuait de l’observer, de laisser pousser ses râles pour l’encourager, de la tenir par les cuisses, par les hanches ou par la taille. Ces deux individus qui partageaient leur affection et leur amitié avec autant de ferveur pouvaient passer auprès de qui ne les connaissait pas pour deux jeunes amoureux encore pleins de passion.

Elle claquait bruyamment son bassin contre celui de son partenaire tout en prenant appui sur son torse à la fois viril et très bien épilé. Le sexe parfaitement rigide se faisait caresser vigoureusement par la chair brûlante et trempée qui n’attendait plus qu’à se voir maculée d’un abondant remerciement.

La jeune femme se calma un instant pour reprendre son souffle.Contractant son vagin, elle enserrait la verge dans de très douces et longues ondulations en maintenant un regard de lionne.Elle se pencha calmement contre lui, compressant ses seins, pour chuchoter à son oreille un «J’adore ça…» dont le ton ne pouvait laisser même le plus rigoureux asexuel indifférent. Dans un langoureux baiser, Hugo étreignit son amie en entamant à son tour quelques mouvements, pour la première fois de la soirée.

Mais ça ne suffisait pas à Lucie. Elle était insatiable. C’est ce qu’elle lui avait dit en entrant dans la chambre : elle voulait du cul, et pas de romantisme. Cela étant plus fort que lui, Hugo avait mis bien trop de douceur dans son bassin alors que sa partenaire réclamait de la vigueur. Elle reprit donc les rênes en regardant le jeune homme avec amitié, le dos droit, les mains sur le torse. Elle donnait des coups le long de cette bite de pierre en ne retenant aucun râle au volume aussi fort que la simulation était faible.

Ils baisaient depuis longtemps sans avoir envie de s’arrêter ; Lucie noyait la verge en elle comme il ne lui arrivait que rarement. Hugo lui prenait un sein de temps en temps, et elle lui tenait un instant la main en signe de reconnaissance. La folie sexuelle était déchaînée, au point de bientôt procurer un fabuleux orgasme à la perverse cavalière dont la peau frémit en de milliers de petits picots ; et cela n’était que ce que pouvait sentir Hugo. Il entendait également sa respiration interrompue avant de laisser place à un râle profond et intense.

Lucie s’était arrêtée pour reprendre un peu ses esprits avant de repartir au galop. Puis enfin, malgré une longue résistance face au plaisir décuplé du manque de préservatif, Hugo lui annonça qu’il allait jouir. Après des secondes que l’on pouvait compter sur une main, le sperme jaillit en une dizaine de puissants jets que Lucie ressentit entièrement dans sa chair devenue très sensible.

La baise folle était terminée mais le jeune homme se voyait toujours chevauché. Et la tête dans les nuages, quelques dernières contractions incontrôlées sur certains muscles. Immobile sur sa verge encore droite, Lucie partagea un regard d’amitié illuminé de bonheur et d’intérêt sexuel. Ils se donnaient de longues caresses, elle sur le torse et le visage, lui sur les cuisses, la taille et les bras. L’amante faisait souvent des courtes contractions vaginales, offrant un petit plaisir à son partenaire, puis avec l’œil coquin elle se leva légèrement, pour ne laisser que le gland en elle. Hugo ressentit bientôt une caresse visqueuse et vit de quoi il s’agissait : elle faisait couler le sperme le long de la verge. Il y en avait effectivement beaucoup et, devant cette situation, les deux amants échangèrent un rire amical. Lucie enfonça de nouveau un peu le sexe en elle tout en continuant de faire couler la semence, puis Hugo commença sa détumescence.

Se retirant, Lucie prit un paquet de mouchoirs sur sa table de nuit et se nettoya d’abord la vulve avant de s’occuper de celui qui était à ses côtés. Quand ils furent moins sales, elle s’allongea vers Hugo pour discuter un peu sur l’oreiller.

— C’était super, dit-elle.Ça faisait longtemps qu’on s’était pas fait une bonne baise tous les deux.
— C’est vrai.Ça fait du bien. Et sans capote, la vache !
— Ha ha ! T’as plutôt bien tenu le coup, d’ailleurs. Ça m’a surprise. Agréablement, ça va sans dire. En tout cas j’ai adoré, c’était trop bon.
— On s’est lâchés à un point, j’ai du mal à y croire.
— Et sinon, sexuellement… ça va, vous ?
— Bah écoute, avec Clara c’est super, on fait l’amour souvent. Tu le sais sûr ...

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