— Clara, c’est tellement bon de faire l’amour…
— Tu n’as pas idée!Et plus tu le feras, plus ce sera bon.
— J’ai bien l’intention de rattraper mon retard… Et j’ai très envie de remettre ça, là, qu’est-ce que t’en penses ?
— Oh oui, avec plaisir!Dès que tu bandes bien, on y va.
— Tu veux bien m’y aider ? demanda-t-il avec malice.
J’étais d’accord, mais pas tout de suite : sa verge était encore au repos, il avait besoin de recharger.
J’aurais pu lui demander de m’attaquer la vulve à nouveau, mais le moyen le plus doux et le plus enivrant restait les baisers et les caresses ; je le pris donc dans mes bras et l’embrassai dans la nuque à mon tour, en poussant de longs soupirs par le nez. Les mains de Clément effleuraient mon dos et descendirent jusqu’aux reins puis au fesses qu’il se mit à pétrir assez fermement. J’allai lui chercher une main pour la mettre entre mes cuisses, et il me caressa le pubis et les lèvres pendant que nous croisions nos langues dans nos bouches. Peu après, son sexe recommençait à se dresser et je pouvais le sentir contre ma cuisse ; ma main droite allait délicatement l’effleurer et le prendre.
— C’est meilleur de se faire masturber par une fille… soupira Clément.
— Tu veux un truc encore meilleur ?
Avant qu’il n’ait eu le temps de répondre quoi que ce soit, je lui demandai de s’installer à califourchon sur moi. Il ne lui fallut pas plus longtemps pour comprendre ce qui allait lui arriver… Sa bite était presque raide, je lui offris une petite gâterie pour gonfler tout ça, puis l’invitai à cracher sur ma poitrine. J’avais pour ma part salivé dans ma main afin d’humidifier toute la verge. Son sexe et mes seins étaient suffisamment lubrifiés et je compressais mes nichons, tandis que Clément fit lentement glisser sa queue dans le sillon. Ah ça, les garçons ils aimaient bien !
Mon nouvel amant avait encore quelques difficultés à prendre son temps. Parfois je devais le rappeler à l’ordre, mais d’autres fois il le faisait seul. Un immense sourire en regardant ou ses yeux ou son gland, c’était bon d’avoir sa verge dure me caresser la peau. J’avais tiré la langue pour essayer de toucher son sexe, et Clément ayant compris il avança au point de se retirer de mon emprise mammaire. Emportée dans mon élan, je lui suçai donc la bite avec toujours autant de délice.
Le jeune homme prit une initiative et commença doucement à onduler du bassin ; j’arrêtai de bouger la tête pour le laisser confortablement se faire plaisir. Il prenait bien confiance, c’était chouette ! Progressivement, il augmentait la vitesse en faisant attention à ne pas me l’enfoncer dans la gorge. Ayant envie d’être de nouveau maîtresse de la fellation sans avoir à dire un mot, je me remis à le masturber avec deux doigts joints et des va-et-vient de la tête. Encore une fois, j’allai lui lécher et lui embrasser les testicules, que je n’avais pas beaucoup chéris ce soir contrairement à d’habitude.
— Ça va ? Tu tiens ?
— Oui. Mais je voudrais te re-pénétrer, maintenant…
— D’accord… mais lèche-moi encore un peu, d’abord.
Sans se faire prier, Clément se retrouva la tête entre mes jambes écartées. Il m’embrassait et me léchait la vulve avec plus de délicatesse que la première fois, tout en me caressant les cuisses ou le ventre ; j’aimais beaucoup ça ! Ses baisers n’étaient pas que sur mes lèvres : il pensait aussi à mes aines, l’intérieur de mes cuisses et de temps en temps mon pubis. Après le rapport sexuel, les pipes et la branlette, j’étais déjà pas mal excitée, donc il n’eut pas beaucoup à faire pour m’entendre dire avoir envie de sa bite.
— Bon maintenant, c’est à toi de bouger !
Je m’étais directement positionnée à quatre pattes. Mon partenaire alla chercher un préservatif et repassa derrière moi, ce qui me faisait attendre. Je l’entendais déchirer la pochette, puis le silence ; c’était très excitant de ne pas savoir quand il allait arriver !
Seulement quelques secondes après, ses mains me caressaient les fesses. Je sentis dans le matelas l’approche de mon partenaire. Une main glissait tout le long de ma fente en s’enfonçant légèrement : j’en déduis très vite qu’il cherchait l’entrée ! Puis son gland arriva et Clément enfonça doucement mais sûrement toute sa queue dans mes entrailles. Bien que toujours plaisante, l’entrée ne fut pas excellente : elle avait manqué de fluidité.
— Hé, Clément… T’as mouillé ta queue avant ?
— Non, le préservatif était déjà lubrifié…
— Conseil d’amie : lubrifie toujours ta queue au moment de pénétrer la première fois, même avec un préso.
— Ah, OK. Désolé, j’y penserai les prochaines fois.
— Pas de souci.
Il resta ainsi immobile quelques secondes avant de sortir et de rentrer. Il y allait sans précipitation, ayant compris que ça ne servait à rien de se secouer fort dès le début d’un rapport. Je lui fis la remarque de ce bon usage du mouvement fluide et tranquille.
— Oh mais tu sais… C’est parce que je profite, aussi !
— T’as raison !
— Ahhh, c’est si bon… soupira-t-il.
Son sexe continuait d’aller et venir en prenant un peu de confiance et de vitesse. Ses mains agrippaient mes fesses et me les caressaient tout en continuant de bouger, il fit même passer des doigts sur mon clitoris, ce qui me provoqua une petite décharge dans le ventre. Clément prenait toujours son temps avec sa verge et l’arrêta même un instant dans mon vagin pour continuer de me chatouiller les lèvres. Rien à dire : mes soupirs suffisaient à eux-mêmes et il le comprit bien assez tôt.
Le beau mâle reprit les frottements de sa queue en me tenant délicatement par les hanches. Parfois ses doigts étaient pris de légères contractions sous l’effet du plaisir. Clément se laissa guider par l’audace et engagea des coups de reins plus forts ; hmm ! j’aimais cette assurance. Il commençait à savoir écouter, et même s’il avait encore tendance à passer les étapes un peu trop vite, ce jeune homme va devenir un très bon baiseur.
Son énergie le faisait taper contre mes fesses dans un bruit assez fort mais toujours agréable à entendre… et à ressentir, aussi ! Je ne poussais plus de soupirs, mais des râles énergiques et des sifflements entre les dents. La queue bien raide ne faiblissait pas et le frottement continu me remontait parfois jusque dans la gorge. Mon vagin était ravi : je continuais de mouiller pendant que Clément me pénétrait dans un rythme régulier. Lui aussi soufflait beaucoup, nous lâchions de temps en temps des gros mots tant le plaisir était là pour tous les deux.
— Aaanhhh ! Clément… Appuie un peu… sur mes lombaires ! Humm ! Plus fort… Voilà ! Reste appuyé, c’est bon !
Quand j’étais prise dans le dos, j’aimais beaucoup que mon partenaire presse sa main entre mes reins. Ca m’apportait une sensation de bien-être, de tendresse. Le jeune homme continuait de taper vigoureusement contre mon cul puis s’arrêta pour reprendre son souffle.
— Oh putain ! Oufff ! Clara… Ha ha ! C’est trop bon !
— Comment elle va, ta queue ?
— Tu peux le sentir, elle va très bien !
— OK, tu tires quand tu veux.
— Je vais te faire profiter un peu, quand même. Ça va ?
— T’inquiète, c'est bien! Vas-y, baise! J’en veux encore !
Il reprit les va-et-vient à même allure. Même si j’avais beaucoup de plaisir, je n’approchais pas de l’orgasme ; mon partenaire faisait toujours quelques petites erreurs, comme se secouer trop vite, trop fort, faire des variations de cadences trop importantes…
Je ne sais pas ce qui lui a pris, mais Clément a balancé une très forte claque de la main sur mes fesses.
— Aïe !!! Hé… ! Stop, là ! Je te préviens, plus JAMAIS ça !
— Ah ?! Euh… Ah… Désolé…
— On n’est pas dans un porno, OK ?
— Non, je pensais pas… Enfin pas mal de filles me l’ont dit, vous aimez bien la fessée dans le feu de l’action…
— Oui ben pas de généralité, tu veux ? Moi j’ai horreur de ça. Tu me tapes le cul autant que tu veux avec ton bassin, y’a pas de problème, mais pas avec ta main !
— Pardon, Clara.
— Bon, ça va. Faudrait pas que tu débandes.
Clément continua donc la pénétration avec un peu plus de calme, en me caressant les fesses là où il avait frappé. Cependant le frottement de nos sexes eut rapidement raison de ce refroidissement et nous étions bientôt retournés dans l’esprit que nous avions précédemment. Mon partenaire donnait de petits coups rapides qui tapaient doucement, puis varia quelques secondes sur quelque chose de plus long, calme et profond. C’était très bon à recevoir, et dommage que Clément n’en profita pas davantage car il était passé à des coups de bite à même rythme, bien au fond mais bien plus énergiques, qui claquaient fort contre mes fesses. Encore une fois, ça manquait d’adresse, mais le jeune homme semblait prendre son pied donc je ne dis rien ; c’était sa nuit à lui.
Le garçon me faisait toujours l’amour avec force quand il se laissa porter par des râles, et rapidement sa queue fut prise de plusieurs spasmes. Il s’était enfoncé de tout son sexe, fermement collé contre mes fesses, à souffler et râler tout ce qu’il pouvait. J’étais satisfaite de l’avoir fait éjaculer trois fois ce soir. J’en souriais, les yeux fermés, en soupirant profondément. Je n’avais pas bougé, mais cette baise à quatre pattes, énergique, m’avait un peu essoufflée !
Je sentais la verge de mon partenaire quitter doucement mon vagin pendant qu’il me caressait les fesses et la vulve. Il vint même les embrasser ! Une fois qu’il eut enlevé sa tête, je me laissai tomber de tout mon long sur le matelas avant de me retourner en souriant. Clément venait de r ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur