Depuis la première fois (voir "Un nouveau vite au courant") ça se passait toujours de la même façon. En cas de besoin, Eric se reculait sur son fauteuil, sa tête disparaissant derrière l'écran de son micro ordinateur. Ses jambes s'agitaient sous le bureau. J'entendais le bruit sourd d'une chaussure tombant sur la moquette. Puis je sentais son pieds sur ma braguette, des frottements qui devenaient plus instants si je tardais à passer sous le bureau.
Sous le bureau, Eric me laissait m'exciter de son pied, mais très vite en venait au but "Suce maintenant"
Chaque fois, au moment de jouir, Eric maintenait de sa main ma tête enfoncée sur sa bite. Après s'être vidé, il me libérait, ma bouche pleine de son sperme.
Un jour, alors qu'Eric et moi sortons d'une réunion avec le patron, celui ci se tourne vers moi "Alors ? les histoires sans paroles d'Eric ? Elles vous plaisent ? Eric me raconte, vous savez."
Très gêné, je ne répond pas. Le patron poursuit "En tous cas, Eric apprécie, il vous met deux étoiles. Pour moi, vous en méritez trois. Il est plutôt sévère Eric". Ce dernier reste coi tout comme moi.
Le patron continue. "Pour nous départager, j'ai eu une idée : un troisième avis, qu'en pensez vous?"
>> Impossible de répondre. Eric rompt le silence "Monsieur Gantz, vous êtes le patron. Et le patron a toujours raison."
>> M Gantz est content. "Eric veut dire que j'ai raison pour le troisième avis".
>> C'est ainsi que je suis convoqué avec Eric le lendemain soir chez le patron.
> Quand nous entrons dans la pièce, M Gantz est debout devant son bureau et, sur l'un des fauteuils de visiteur, est installé Mambou, l'homme qui s'occupe du ménage.
> Le patron est jovial "Mambou accepte de nous départager. Ce sera sa première pipe par un homme.
> Mambou me regarde avec un sourire coupable.
> Le patron le rassure "Sort ta bite Mambou, il aime ça."
> Mambou extirpe sa verge de son bleu de travail tandis que je m'agenouille entre ses jambes. La grosse queue est noir d'ébène, sauf le gland, légèrement rosé. Elle repose sur les couilles rebondies, comme sur un douillet édredon.
> M'emparant délicatement de cette tige molle, je la porte à ma bouche.
> J'y active mes lèvres et ma langue, tout en caressant les couilles. La queue prend du volume, bientôt, elle devient si grosse que ma bouche ne peux plus la contenir toute entière.
> Le patron interroge Alors Mambou? Ça te plaît?" Mambou se tait. Sa respiration est haletante.
> Le patron s'adresse à moi "continue de le sucer et dégrafe ta ceinture."
> Je m' ...
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