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Tu seras un homme, jeune homme! 3/3

Publié par : hhelle le 15/09/2022

Que l'attente fut longue jusqu'au vendredi!
Comme convenu, je me suis préparé pour Madame X, me suis rasé intégralement mon intimité (c'est très étrange la première fois comme sensation).
Tout en pratiquant un lavement scrupuleux, je termine "Histoire d'O", que ma Maîtresse m'a conseillé. J'ai adoré, même si je ne peux m'empêcher de penser que pour le coup, O, c'est moi!
"Vous en êtes loin!" me dit Madame lorsque je lui en parle.
Elle m'a accueilli en robe fourreau noir et blanche, est soigneusement maquillée, mais je constate l'absence de bijoux, et de bas. Elle porte des escarpins pieds nus, ce que je trouve étrange, mais tellement excitant!
Nous parlons pendant une heure en dégustant un apéritif qu'elle a préparé elle même. Il est très copieux, pensait-elle me gaver?
J'ai beau aimer parler de littérature avec elle, plonger dans son décolleté sans me cacher pour la provoquer, elle ne réagit pas. Me suis-je fait des idées?
Finalement, elle devient d'un coup plus chaleureuse, et m'entraine vers la chambre. Ma queue palpite dans mon boxer : je ne me suis pas soulagé de la semaine, malgré les violentes montées de sèves chaque fois que je repensais à mon dressage. Même le souvenir des coups me faisaient bander!
"Déshabillez-vous!"
Je suis vite à poil, mais elle reste habillée en tenue de soirée, très bourge, ce qui devant ma nudité de "raideur" est déstabilisant. Je cherche les accessoires, mais au lieu de sortir la cravache, elle revêt un tablier et de gants de latex.
"J'espère pour vous que vous êtes propre, ou je vous expulse comme un chien!"
Elle m'installe comme un enfant sur le lit, à quatre pattes, et commence à inspecter froidement mon anatomie. Elle malaxe mes testicules, soutient ma tige enflée qui frémit sous ses caresses. Puis elle me lubrifie la raie, et me pénètre d'un doigt. Je ne sens rien qu'une douce chaleur, et un désir violent qui me fait frétiller la queue!
Elle rit, me traite de bon chien; je viens de passer l'inspection avec succès.
"A genoux maintenant!"
J'ai droit à un léger massage, avec la même huile parfumée qui m'avait transporté au 7° ciel. J'ai envie de la remercier, tant les sensations sont uniques pour moi, mais j'obéis à ses consignes et me tait. Enfin elle s'arrête, enlève ses gants et son tablier, s'allume une cigarette.
"Je vais vous demander une chose, et si vous refusez maintenant, je ne vous le reprocherai pas. Si, en revanche, vous abandonniez ensuite, il serait trop tard et le bannissement serait la moindre des punitions."
"Que dois-je faire, Madame?" je suis si excité que ma voix tremble.
"Un homme va venir. Il disposera de vous à sa guise. Vous êtes mon offrande pour lui. Obéissez, soyez bon pour lui, et vous serez récompensé."
Je ferais tout pour elle, mais ne m'attendais pas à ça! Pourtant la curiosité m'oblige à hocher la tête. Elle sourit, m'enfile une cagoule aux œillères cousue et un collier. La porte sonne, et elle m'abandonne à genoux, une laisse pendant sur mon chibre qui ramollit, un souvenir chaud entre les fesses.
J'entend qu'ils discutent ferme, qu'ils mangent et boivent. Elle hausse le ton, je pense qu'il s'agit de son amant de l'autre soir, et que son lapin lui est resté en travers de la gorge.
Elle ouvre la chambre, saisit la laisse et me force à me relever. Je suis présenté à son amant, nu, le corps luisant d'huile, mais surtout je suis aveugle.
La sensation est bizarre : mélange de peur et d'excitation. Mais la crainte d'être chassée à vie de cet appartement où j'ai pris tant de plaisir est la plus forte.
"Voilà, dit elle à son amant. Comme prévu, tu pourras soulager tes instincts. Mais pas avec moi, car je t'en veux toujours. Tu es un goujat, doublé d'un malhonnête. Prends ce cadeau, ou lors vas-t-en!"
Elle me caresse le dos, les fesses. Elle me fait bander comme jamais, mais c'est une main d'homme qui me saisit la queue.
"Jolie spécimen." dit-il avec morgue. "J'aurais préféré t'avoir toi. Sait-il sucer, au moins?"
Elle me met à genoux, j'ai le cœur qui défaille : je n'ai encore jamais vraiment sucé un homme. Pas le temps de réfléchir, sa queue m'envahit la bouche. Je n'ai pas grand chose à faire, en fait il me viole la gueule en grognant. Je sens son gland contre ma glotte, j'étouffe et sens ma salive couler abondamment quand il se retire. Je tente de le retenir, mais Madame saisit mon bras, et il recommence, sa queue plus gonflée encore.
Il aime ça, le dit à Madame. Moi je suis abasourdi après cinq bonnes minutes de récurage de gorge.
"Tu n'as pas menti, ma chérie. Ce n'est pas un minet de trottoir, mais un bon jeune mâle."
"Je ne me moque pas de mes invités, moi au moins!"
"Tu ne veux toujours pas me pardonner?"
"Et toi, tu ne veux pas être agréable?"
Il rit, me pousse les épaules. J'ai à peine le temps de reprendre mon souffle, j'ai la figure contre la moquette. J'entends son pantalon glisser, une bonne fessée sur mes fesses.
Puis, il s'installe derrière moi et sans attendre me force la rondelle. Son gland passe difficilement, mais il continue de pousser. Il m'encule à sec, et mon anus me brule horriblement. Il pousse encore, jusqu'à buter sur mes fesses. Je sens sa bite jusque dans la gorge, encore irritée.
"Oh, ma chérie. Son cul est vierge. Il est bien serré, bien ferme. Un bon cul de garçon."
"Profites en alors. Il est à toi!"
Il commence à me pilonner le fion, je retient mes cris. Mais quand il me lime à gra ...

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