Cette histoire remonte à mes premières années de jeune adulte dévergondé. Je sortais fréquemment dans ce bar à cocktail, un lieu privé où l'on ne vient pas pour rencontrer, mais bien accompagné pour s'isoler dans l'une des alcôves chaleureuses. Mais bon, ce soir je suis célib, et la barmen me réconforte : je ne suis pas seul.
Une quadra (j'avais 22 ans) sirote un punch californien, la maîtresse des lieux nous présente et je l'accompagne.
Elle est élégante, très cultivée, un regard rieur et des formes généreuse sous la soie de sa robe. Elle m'apprend que son amant du soir lui a posé un lapin, je lui soutient alors que je n'aurais jamais osé plaquer une si belle femme.
"Voudriez-vous prendre sa place? Attention jeune homme : il faudra être à la hauteur!"
Quand on est jeune, on est fou. Et son corps s'est dangereusement rapproché du mien, son parfum m'envahit, sa main frôle la mienne, et je me colle au bar pour qu'on ne voit pas que je bande comme un cerf!
j'accepte le défi, et elle m'embarque. Nous n'allons pas loin, la dame a un pied à terre dans le quartier. Un studio très bien meublé, discret, et je remarque tout de suite l'épaisseur de la porte d'entrée : il est insonorisé!
Nous ne parlons plus, je ne pense qu'à son merveilleux cul que son manteau m'a caché, mais que les escaliers ont sublimé lorsqu'elle l'a agité sous mes yeux. Elle m'embrasse, je la caresse, mes doigts se délectent de sa peau humide sous la soie et les dentelles. Elle se déshabille, et je découvre qu'elle n'a pas de soutifs, un string et porte jarretelle.
Elle a des seins lourds, mais ferme. Et à poil, elle ne fait pas son age! Ses hanches sont larges, ses fesses rondes et fermes. Elle défait ma braguette avec aisance et n'a pas besoin de beaucoup d'efforts pour me faire bander comme jamais.
Elle m'embrasse en m'aspirant les lèvres et la langue, me mordillant en miaulant comme une petite chatte. Elle se régale de mes caresses plus précises entre ses cuisses. Elle est une femme mûre habité par une adolescente nymphomane!
Puis elle s'assoit sur le lit grande taille à barreaux de fer, mais je n'ai d'yeux que pour sa chatte, recouverte d'un duvet humide.
"Elle vous plait?"
J'oublie ce que je bafouille, je me jette sur ses lèvres gorgées de jus. Elle me guide en roulant des hanches, je plonge ma langue, aspire son nectar, suce ses lèvres, son clitoris. Je lui dévore la chatte et elle prend son pied en m'arrachant les cheveux!
Puis elle me relève, reprend son souffle et m'ordonne de m'allonger. Elle m'enfile une capote et sans attendre, place mon gland à l'entrée de son antre brulant. Elle se caresse le clito avec, je me cambre pour la pénétrer tant je n'en peut plus, mais elle me sermonne, me met une petite gifle puis se laisse enfin glisser sur mon chibre qui ne débande pas.
Je suis au paradis. Sa chatte est douce, profonde. Elle s'empale jusqu'au bout, je sens son clito pointer contre mon bas ventre, son jus inonder mes couilles. Elle danse sur moi et je malaxe ses seins.
Elle m'incite à pincer ses tétons.
"Plus fort! Oui, comme ça jeune homme. Léchez les! Aspirez bien mes tétons, vous allez me faire jouir, petit salaud!"
J'obéis, mais suis tellement excité que je suis au bord de l'orgasme. Elle le sent, et se retire, saisit ma queue, et me branle doucement, jusqu'à ce que mon foutre monte.
Alors, elle resser ...

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