Depuis quelques semaines je rends service à Marcel, un de mes proches voisins…
Marcel n’est pas du genre à avoir de la chance dans la vie : Sa femme qui était alitée depuis déjà deux ans vient d’entrer à l’hôpital, en « phase terminale » comme on dit pudiquement ! Ajoutez à cela qu’ils ont à leur charge un fils de trente-deux ans, Fabrice, un peu simple d’esprit, quasi obèse, qui évidement ne travaille pas et passe ses journées en robe de chambre à grignoter devant la télévision…
Un garçon plutôt gentil, mais qui s’emporte vite et peut devenir très violent s’il est contrarié. Depuis le temps que je le connais il ne me fait plus peur, heureusement d’ailleurs, car en ce moment je passe chez eux tous les jours pour leur préparer à manger et faire un peu de ménage. Marcel passe la majeure partie de son temps entre l’hôpital et son travail… Au delà du fait que je suis ravie de leur rendre service, ça me permet aussi de voir un peu de monde : En effet, mon mari qui dirige un gros chantier de construction dans l’est de la Chine n’est rentré que deux jours durant les six dernières semaines. Je commence à me sentir un peu seule à la maison…
Ce soir c’est le fils, toujours en robe de chambre ouverte sur un bermuda et un polo douteux, qui m’accueille avec un grand sourire et me fait la bise :
- Te voilà enfin Lola ! Il était temps, y’a plus rien à manger !
- Je viens pour ça justement, entre parenthèses ça te ferait du bien de jeûner un peu, hi hi hi !...
- T’es méchante, Lola !...
Je vaque rapidement à mes occupations, assis à la table de la cuisine il me regarde d’un air absent, un peu inquiétant. Vient l’heure de faire un peu de vaisselle, j’enfile des gants de protection et commence la plonge, après deux minutes Fabrice rompt le silence :
- T’es belle quand tu bouges Lola ! Ton cul ne remue pas, il danse sous ta petite jupe !
Sans me détourner je lui réponds assez sèchement :
- Fabrice ! Tu n’as rien d’autre à faire que de raconter des bêtises ?
- Ah ouais, si, si ! Maintenant que tu le dis…
J’entends sa chaise racler le carrelage, il va sans doute changer de pièce et filer devant la télé, ça me fera des vacances !
Soudain je sens une présence dans mon dos, son imposante carrure me colle à l’évier, impossible de bouger sous cette masse. Je me souviens alors des avertissements de son père : Ne surtout pas le contrarier car il peut devenir très violent … Je reste silencieuse, je ne tremble pas mais j’appréhende un peu … Ses grosses paluches entourent mon torse, il arrache plus qu’il ne défait les boutons de mon chemisier avant de le faire glisser sur mes épaules, les bonnets de mon soutien-gorge sont remontés sous mon menton.
Il souffle comme un phoque lorsqu’il enveloppe mes seins dont les tétons se tendent déjà. Il joue à faire rouler mes piercings entre ses doigts. Sur le bas de mon dos pèse une bosse imposante… Il mordille ma nuque, un frisson traverse tout mon corps, il me semble que ma chatte affamée fait un bulle en se contractant. Cette fois je me mets à trembler, mais pas de peur…
- Tu es belle Lola tu sens bon, j’aime tes seins, ils me font bander. Tu sais, Fabrice ne tient jamais de femme nue dans ses bras ! Dis, tu me laisses faire ???...
- Jure-moi seulement que tu ne seras pas violent…
- Si Lola ne cherche pas à se sauver, Fabrice sera doux comme un agneau…
- Que veux-tu de moi, Fabrice ? …
- Ôter cette maudite culotte qui cache ton beau cul ! Reste appuyée sur l’évier je m’en occupe …
Les deux mains accrochée à l’évier, je le laisse retrousser ma jupe à la taille. Ses doigts accrochent ma petite culotte qui git rapidement sur le carrelage. Avant même qu’il ne le demande, j’écarte les pieds pour lui faciliter l’accès à mon intimité. A genoux derrière moi, il hume et lèche mon entrecuisse, puis il se redresse et se colle à nouveau à moi. Cette fois c’est son membre déjà à nu qui s’écrase contre mon cul, une main vient devant fourrager dans ma toison pubienne…
- C’est là qu’« ils » fourrent leurs queues dans les films de cul, mais « elles » n’ont pas de poils…
- Moi je préfère garder les miens …
Un doigt boudiné force le passage entre mes lèvres suintantes, il fouille nerveusement ma vulve, et je dois bien reconnaitre que cet attouchement sommaire n’est pas pour me déplaire…
- C’est chaud !... C’est bien mouillé !... Ca veut dire que tu as envie de te faire baiser ???...
- Eh bien… On peut dire ça comme ça !…
- Alors Fabrice va te fourrer sa grosse bite dans la chatte !!!
Ce n’est pas très élégant, mais au moins ça a le mérite d’être clair !!!...
Pour faciliter l’introduction, je me penche en avant ! Son membre très tendu, tel un taureau derrière une vache, cherche maladroitement ma fente, et ce qui devait arriver arriva : Trop excité, il décharge entre mes fesses, par longues giclées, une grosse quantité de sperme qui glisse le long de mes cuisses pour former une petite flaque sur le sol. Il ne se démoralise pas pour autant, d’ailleurs sa queue est toujours aussi raide !!!
- Fabrice est habitué, ça le fait à chaque fois que je me branle, mais après ça dure longtemps ! Très longtemps ! Même plusieurs fois ! Aide-moi à trouver ton trou…
- Donne-moi ta verge, tu n’auras qu’à pousser quand je te le dirais…
Ma main passée entre mes cuisses, j’attrape son manche. Il est monté comme un âne, sa queue n’est pas particulièrement longue, mais très épaisse et veineuse ! Mes doigts ont du mal à en faire le tour ! Le gland ovale repousse mes lèvres, et bientôt les écarte. Tel un bélier impatient, il donne des coups de reins au hasard, ça frotte merveilleusement sur mon clitoris décapuchonné et durci, du coup je fais durer le plaisir car c’est visiblement le seul préliminaire auquel j’aurai droit…
- Alors ? Tu l’ouvres ton trou à bite ?
- Pousse un peu… HAAAAAAAOOOOOOOUUUUUUUUUU !!!... Du calme Fabrice, tu as dit que tu serais doux !...
- Excuse-moi Lola, c’est rentré d’un coup !
- Vas-y maintenant, fais bouger ta queue dans mon ventre…
Les mains ancrées sur mes hanches il me pilonne la chatte puissamment et rapidement, mes seins sont secoués en tous sens ! Après quelques minutes de ce traitement, je l’entends gémir, puis grogner comme un ours et de nouvelles fusées de foutre arrosent mon utérus. Ce n’est pas pour autant qu’il cesse ses coups de bite, quelle santé !!! Moi qui était au régime sec, me voilà gavée, et ce n’est sans doute pas fini !... En me pressant les nichons comme des citrons, il marmonne des mots incompréhensibles. Je jouis en un quart d’heure autant de fois qu’en deux mois…
Sa sueur dégouline de son ventre sur mes fesses, sa bave sur mon dos, son obésité ne l’empêche pas de se remuer pour me baiser, il me gratifie d’une troisième éjaculation toujours aussi abondante, sans arrêter de limer mon vagin qui ne va pas tarder à fumer. C’est une vraie machine à baiser ce mec ! Je n’ose pas lui dire d’arrêter par peur de l’irriter, mais je vais bientôt avoir des crampes dans les jambes, heureusement ses coups de queue me remontent constamment à hauteur de l’évier…
- Haaaaaaaa Fabrice va jouir… Je vais te péter la cramouille, salope !!!
- Vas-y, jouis mon petit Fabrice, remplis-moi la chatte, ta queue est trop bonne !
- Je te baiserai encore quand tu reviendras, c’est promis !!!… Hooooooooooo MERRRRDE, le vieux arrive, je me barre !!!...
Il sort de mon ventre aussi brutalement qu’il y est entré et je me vide instantanément sur le carrelage. Son père va entrer d’une seconde à l’autre mais je n’ai pas la force de bouger. Accrochée à l’évier, je tarde à reprendre mes esprits…
- LOLA ????? Mon dieu, oh Mon Dieu !... C’est « lui » qui a fait ça ??? Ce petit vicelard vous a violée ??? Dans quel état il vous a mis le salaud !!! Il va voir de quel bois je me chauffe, je vais le tuer !!!...
- Oui … Enfin NON !!!... NE LE PUNISSEZ PAS ! C’est moi qui ai voulu… J’étais trop en manque de sexe !...
- Vous ne pouvez pas rester ainsi, aussi dévêtue et souillée !
- Ça va aller Marcel, je vais rentrer chez moi…
- Mais vous ne tenez pas debout ! Venez, je vais vous aider à vous nettoyer…
Le père, bienveillant me soutient, m’entraine dans sa chambre et ouvre le lit :
- Allongez-vous, je vais chercher un gant de toilette et un peu d’eau…
- Vous êtes très gentil, Marcel…
Je n’ai pu m’empêcher de remarquer la bosse qui déforme son pantalon. Normal, le pauvre homme doit être depuis longtemps privé de sexe. Mon cœur de sainte Thérèse ne peut résister à cet appel muet. Lorsqu’il arrive avec une cuvette fumante et un gant de toilette, je ...
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