D'habitude, le dimanche, nous sommes trois couples. En principe, chaque garçon a sa partenaire attitrée, mais nous ne sommes pas du tout sectaires. En fait chacun des six baise avec les cinq autres, sans distinction d'appartenance ou de sexe. Nous affectionnons beaucoup des balades en bateau, en général en direction d'une anse dans une petite île où nous pouvons vivre nus en toute liberté. Mais aujourd'hui, nos compagnes ont voulu faire une sortie entre filles et nous ne sommes que les trois garçons danss le bateau.
Peu importe. En fait, nous nous aimons tous les six et nous baisons aussi bien en hétéros qu'en homos. Cette journée serra donc exclusivement masculine. Dès la sortie du port, après quelques centaines de mètres par précaution, nous retirons les maillots. J'adore être nu, je ne me sens vraiment à l'aise que sans aucun vêtement sur moi. Patrice est à la barre, debout devant la roue. Jacques s'allonge sur un divan à l'arrière du bateau. J'aime sa bitte. Longue et fine, elle s'insinue toujours très bien dans ma gorge ou dans mon cul. Mais pour l'instant, elle est au repos.
Je m'assois à côté de Jacques et, doucement, comme si j'étais timide, j'approche ma main de ses cuisses. Je caresse légèrement et, lentement, je fais monter ma main jusqu'à ses couilles, Sans malaxer, je me contente d'effleurer la peau, Jacques écarte un peu ses jambes et je peux atteindre son périnée. Tout en douceur, j'y fais passer mes ongles, et je remonte vers les couilles. Sa queue a commencé à se tendre et je peux la parcourir jursqu'au gland que, toujours tout en douceur, je peux prendre en main.
Gourmand, je me penche et, sans aucune hésitation, j'ouvre grand ma bouche pour y recevoir cette queue que j'adore. Je me l'enfonce aussi profond que possible dans la gorge. Je sens parfaitement les giclées de sang qui la font grandir et se durcir. Jacques lève ses jambes. Je sais ce qu'il aime et je le satisfais : je lui insère un doigt dans l'anus pour aller masser sa prostate. Ca dure un petit moment, puis il rabaisse ses jambes. Il ne veut pas décharger tout de suite.
Je continue à sucer Jacques, mais Patrrick n'est pas loin. Tendant le bras, j'atteins une de ses cuisses. Il est un peu surpris, mais se prête volontiers à la caresse. Il se tourne un peu pour que je puisse facilement atteindre ses fesses. Je fais alors remonter ma main et j'immisce un doigt dans sa raie. Il se cambre et, de ses deux mains, il écarte bien ses fesses pour laisser apparaître son trou, J'y itroduis rapidement mon majeur que je fais aller et venir. Apparemment, il aime ça. Après quelques mouvements, j'ajoute mon index. Patrice lâche la barre et se penche en avant pour mieux profiter. Je m'enfonce aussi loin que possible.
Finalement, je lâche la belle bitte de Jaques. Ces exercices m'ont excité et je suis bien bandé. J'attrape sur le tableau de bord un tube de gel lubrifiant, je m'en enduis le sexe et, très fougueusement, j'encule Patrice. Jacques prend la barre dont nous pouvons, Patrice et moi, nous éloigner. Il s'appuie sur le divan, la croupe tendue, avec ma bitte dedans. J'accentue le va et vient. A travers ses jambes, Patrice me caresse les couilles. Je suis bien dedans, je m'enfonce au maximum et je me retire jusqu'à presque ressortir avant de m'enfoncer de nouveau avec force. A chaque fois, il gémit de plaisir. Il ne faut que quelques coups comme ça pour que je lâche ma première bordée de la journée, très abondante. Patrice se relève, se tourne vers moi et me roule une pelle magnifique avant de se baisser pour, de sa bouche, recueillir les dernières gouttes. Il n'y a pas de doute : parmi les cinq culs dont je dispose dans ma bande de copains et copines, c'est celui de Patrice que j'apprécie le plus.
Cela a laissé le temps s'écouler et nous approchons maintenant de l'île qui constitue notre destination. Nous passons auprès de l'anse que nous convoitons. Il y a un accord tacite entre tous les navigateurs de la région : un seul bateau à la fois dans cette anse. Comme il est tôt, il n'y a encore personne et Jacques maneuvre pour aller doucement échouer le bateau sur la plage. Je saute à l'avant et vais planter une ancre dans le sable. Nous savons que nous ne serons pas dérangés de la journée. D'ailleurs nos maillots restent dans le bateau alors que nous avons déchargé le matériel de plage, serviettes et parasols notamment.
Après avoir ouvert les protections solaires, je m'accroupis pour étendre une serviette. Je sens alors la main de Jacques sur mes fesses. Je m'immobilise aussitôt pour profiter au mieux de la caresse. Il parcourt chacune de mes fesses plusieurs fois, sans toucher au trou du milieu. Finalement, je sens un doigt qui s'approche, tourne autour une ou deux fois, puis commence à introduire une phalange. Il reste ainsi quelques instants. De son autre main, Jacques a saisi le tube de lubrifiant et il s'enduit le sexe. Il passe derrière moi et, très progressivement, il m'encule. Je sens son gland qui ouvre le passage, puis il va plus profond et c'est maintenant sa hampe qui chatouille mon anus, jusqu'à ce que ses couilles rejoignent les miennes. Que c'est bon ! Plusieurs gars m'ont déjà enculé dans ma vie, mais je n'ai jamais autant apprécié qu'avec Jacques. Sa bitte longue et fine s'introduit toujours en souplesses, sans provoquer aucune douleur. Si je pouvais, je la garderais en permanence dans mon cul. Pour l'instant, elle va et vient, doucement d'abord, puis de plus en plus vite. J'essaye de le faire ralentir afin que ça dure le plus longtemps possible. Il s'arrête, souffle un moment, et repart. Mais évidemment, les meilleures choses on tune fin. Il gémit fort, semblant jouir très intensément alors que je sens son jus s'écouler dans mes entrailles. Après un instant d'immobilité, il se retire doucement. Je sens son jus s'échapper de mon anus et couler le long de ma cuisse. Pour bien nettoyer tout ça, nous allons rejoindre Patrice qui nage devant la plage.
A nous voir baiser comme ça sur le sable, Patrice s'est excité et, en faisant la planche, il lance vers le ciel un mât orgueilleux. Je ne peux m'empêcher de nager vers lui pour aller le caresser, avec la ferme intention de prendre cette bitte en bouche. Patrice se redresse et commence par me rouler une pelle généreuse. Je lui caresse la bitte et lui malaxe mes fesses. Il ne veut pas que ça dure trop longtemps car mon cul est encore bien ouvert de la séance précé ...
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