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Tournante en backroom (2/2)

Publié par : hungrycub59 le 23/08/2021

Tous les mecs dans la backroom savent qu’un mec est en train de se faire démonter : moi.

Même si le type m’a doigté un peu avant de me pénétrer, il l’a fait si brutalement, qu’il m’a privé du plaisir de sentir mon anus se dilater tout doucement autour d’un gros gland qui appuie, qui enfonce un peu ma rondelle dans le rectum avant qu’elle ne se détende et vienne délicatement le recouvrir ; puis sentir une bonne queue s’enfoncer de tout son long, ressentir son parcours, la pression mise au passage sur la prostate, jusqu’à ce qu’une touffe de poil vienne s’écraser sur mes fesses écartées…

Non, là j’ai eu droit à un de la douleur, une forme de brutalité que j’ai détestée lorsqu’il me l’a mise d’un coup en me retenant. Mais maintenant, je ressens cette belle queue très dure en moi. Et c’est tellement bon. J’en avais tellement envie, depuis si longtemps. Et le gars se lâche totalement, il me bourrine accroché à mes hanches.

La backroom sent alors, un mélange étrange et excitant de poppers et de transpiration.

***

Puis je l’entends à son souffle, à ses gémissements : il va jouir. Il me pilonne plus rapidement encore, sort un gémissement grave, puissant et très court, puis enlève sa main droite de mon bassin qu’il tenait fermement depuis le début, pour se masturber très rapidement. Et quelques secondes plus tard, je sens de longue giclées de foutre atterrir sur mes jambes, un peu sur mon cul et beaucoup par terre.
J’ai cessé de gémir. Ses gémissements puissants et au bruit des giclées qui tombent au sol résonnent dans la pièce, de même que quelques encourageaient des gars autours, qui émettent des petits « ouaissss », « vas-y… ».

Le mec respire comme s’il était en train de faire une crise cardiaque. Je me redresse un peu car j’avais les genoux fléchis depuis le début, mais le gars appuis sa main gauche toujours accroché à moi pour m’indiquer de ne pas bouger et il vient m’enfoncer une dernière fois sa queue gluante.
Il me donne quelques va et viens, quelques derniers petits coups de queue agréables… Il lâche mes hanches. Sa queue devenue mole qui finit par sortir toute seule de mon cul. Une petite tape sur la fesse en guise de remerciement et je ne verrais plus ce gars.

***
J’ai toujours le monsieur devant moi qui joue avec mes tétons et me caresse les seins. Je me retourne et me dirige vers mon sac, voulant essuyer le sperme que j’avais sur la jambe et les fesses, mais un autre monsieur est venu vers moi pour prendre le relais.

Là j’ai droit à une bonne queue également mais d’un calibre plus raisonnable que le précédent. Lui pour le coup se colle à moi. Il me caresse partout, y compris ma queue gluante de mouille et de mon sperme. Il n’arrête pas de me glisser à l’oreille des « C’est bon ca ?! » « T’aime ca, hein ?! » « Elle est bonne ma bite ?l ».
En guise de réponse je ne fais que gémir plus fort.

D’autres gars viennent autour de nous deux. Le gars derrière me fait bouger sur le côté. Je découvre son corps et son visage quelques fractions de seconde. Il doit avoir une trentaine d’année.
Il rentre à nouveau en moi. Il est assez vigoureux et bien chaud comme la braise. Contrairement à l’autre ces mouvements sont moins brutaux. Une autre forme de plaisir tout aussi exaltant.
Il adore me retirer sa queue et me la ré enfoncer totalement de tout son long. J’arrive à le faire ralentir pour sniffer du poppers ; on finit par se gazer tous les deux tout au long de ce coït. Et à chaque respiration il en devient de plus en plus chaud et vulgaire : « T’aime la bite hein ? Saloooope ! » « T’aime ca hein, te faire baiser en tournante ?! » « Tu la sens bien ma grosse bite ? Tu la sens bien ptite pute ! »…

Et moi devenu ultra bouillant et le popers… Je l’encourage et le lui réponds : « vas-y défonce moi », « J’adore ta grosse queue, elle est trop bonne », « t’aime mon cul ? hein, tu l’aime mon cul ? Tu vas jouir dedans ?! » « je veux ton jus »…

Bon inutile de vous dire que ça a attiré du monde, que le mec et moi étions défoncés au poppers et en moins de 5 minutes et qu’il m’a inondé le cul après de puissants râles et de très jouissifs coups de bite.

En se retirant il m’a fait un petit bisou sur la joue en me disant « merci mon beau ».

***

Encore une fois, je m’imagine aller faire une petite toilette mais autour, ça patientait. Je me retourne et je reconnais à la chevelure et au polo, le petit jeune qui s’avance vers moi. Je me retourne alors pour lui présenter mon cul plein de sperme, pour voir ce qu’il allait faire.
Vous me croirez ou pas, il est venu, comme le 1er gars, m’enfoncer sa bite directement. Et lui aussi sans capote. Il m’a fait mal, même si elle n’était pas énorme.
Sa queue est longue et fine. Elle baigne dans le foutre que les précédents m’ont déposé.

Très surpris de l’attitude de ce petit jeune qui appui sur le bas de mon dos avec ses mains pour que je me cambre. Je resserre volontairement mon rectum car le petit jeune patauge dans le sperme mais en moins d’une dizaine de vas-et-viens, sans un bruit, sans gémissement, je sens qu’il m’inonde le cul à son tour, avec quelques coups de bite qui deviennent très agréables. Lui aussi en se retirant, fait couler une grosse flaque de jus au sol.
Il range sa bite dans son short et ke le vois alors s’enfuir, il n’y a pas d’autre mots, s’enfuir de la back room à toute allure.

****

Bon, là je ne pouvais plus me rhabiller sans me nettoyer. Entre le sperme du 1er qui a coulé partout sur mes jambes, mon cul inondé, mes fesses collantes…
Même si des mains me touchent un peu partout, personne ne semble vouloir utiliser mes fesses une dernière fois, je me dit alors qu’il est l’heure de rentrer, que j’ai eu vraiment pas mal de bonne sensation et beaucoup de plaisir. Mais un gars semble bien décider à me sucer.
Il s’était déjà bien approché de moi pendant que le 2ème m’avait baisé. IL est resté là lorsque le petit jeune s’est soulagé en moi, et maintenant il me suce.

J’ai la bite toute molle, dégoulinante. Mes couilles me font encore mal suite à la sodo agressive et j’ai l’anus qui tente de se fermer. J’arrête de sniffer, mais suis encore défoncé au poppers.
...

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