Couché assez tard, je n’avais pas mis bien longtemps à m’endormir. Ce sommeil bercé de rêves tantôt érotiques, tantôt orgiaques, me réveillait plusieurs fois dans la nuit avec mon sexe dur comme du béton. Presque aussitôt je me rendormais pour un nouvel épisode lubrique.
Alors que mon imaginaire nocturne me berçait d’une douce fellation, je ressentais une excitation grandissante, différente et plus intense. Mon inconscient cherchait à découvrir l’actrice ou l’acteur de ce délice nocturne, rien n’y faisait. C’était un peu comme si le cadreur de ce rêve faisait très mal son job. Impossible de baisser la tête pour profiter de cette bouche gourmande.

Il me fallut plusieurs minutes pour émerger de ce rêve au cadrage tronqué. Mais alors que je revenais à la réalité, la sensation de cette bouche chaude continuait d’engloutir ma bite bien raide. Cachée par la couette, la bouche gourmande continuait son office. Maintenant réveillé j’allais découvrir la responsable de cet épisode matinal. Ma femme sans nulle surprise, vu que c’est elle qui partage mes nuits. C’est alors que le reste de mon cerveau s’éveilla… Ma femme est partie deux jours voire sa sœur en Allemagne, alors qui est là-dessous ?

Stupéfait mais très agréablement surpris, c’était ma belle-mère qui était à l’ouvrage. Continuant son labeur, je vis un léger sourire au coin de ses lèvres en voyant ma tête halluciné de la découvrir ainsi. J’avais si souvent eu l’envie de baiser avec elle, si souvent senti l’odeur douce de sa chatte dans une culotte « retrouvée » ici ou là, que je ne pus retenir la joie de la trouver ainsi nue dans mon lit. Je jouis quasi instantanément et je sentis les longues saccades de sperme sortir de moi pour inonder sa bouche.
Plus coquine que je ne le pensais, elle n’en perdit pas une goutte et avala tout avec délice, pour venir ensuite me rouler une pelle empreinte de ma semence qui embaumait son haleine.

-Surpris ? me dit-elle.
-Oui, mais une surprise attendue depuis bien longtemps, à tel point que je n’ai pu retenir ma joie.
- J’ai vu ça et ce n’était pas pour me déplaire. Mais remets-toi vite la fête continue, car ça fait 23 ans, depuis mon divorce, que je n’ai plus baisé. Et te voir te balader à poil devant moi m’excite depuis un bon moment. Je me caressais souvent en pensant à ta queue !

A peine avait-elle finit de parler que je me précipitais entre ses cuisses pour assouvir ce que j’attendais depuis si longtemps, à savoir gouter, lécher, déguster son intimité la plus profonde. J’avoue m’être vautré dans son entre-jambe comme si j’avais passé 3 jours dans le désert sans eau et que soudain tu te retrouves devant une piscine d’eau bien fraiche.
Je dévorais son clitoris, ma langue fouillant les moindres recoins de cette chatte humide et chaude en m’insérant au plus profond que je le pouvais. En fait je me délectais de toute cette partie de son corps, allant de son anus à son vagin. Même dans les rouleaux d’un carwash elle m’aurait pas eu un programme aussi complet, ma langu ...

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