Lorsque j'étais jeune j'aimais sortir de la région parisienne lors des vacances scolaires. Comme j'avais de la famille un peu partout en France, c'était facile de profiter de la province. Je vous passerai l'age que j'avais, mais je me trouvais dans le nord chez une tante qui habitait à environ 3 km du canal de l’Escaut Ma tante travaillait la journée et un matin j'ai pris son vélo un peu grand pour moi et direction le canal avec une cane à pêche. Le temps était maussade mais j'aimais de temps en temps cette activité. Je m'installe au bord du canal et commence à pécher. Au bout d'une heure le temps semblait viré à la pluie et comme d'habitude les poissons n'ont pas sauté dans ma bourriche lol. Je commençais à remballer mon matériel que la pluie de mets à tomber de plus en plus fort, ce qui fait que lorsque j'ai quitté les lieux j'étais déjà trempé. Aprés mes premier coups de « pédale » lol, comme pour me dire tu vas galérer le ciel s'est mis à l'orage. Le retour promettait d'être folklorique.

Je regrettais d'être sorti de chez ma tante, mais quand il faut y aller faut y aller. J'avais fait quelque centaines de mètre, quand j'ai remarqué une vieille maison isolée après le canal, avec un petit abris au dessus de la porte d'entrée. Je me suis mis en dessous pour m'abriter. J'étais trempé jusqu'au slip que j'avais pas car j'en porte depuis toujours très rarement. Cet abris je me souviens était psychologique car le vent qui venait de se lever, m'envoyait la pluie. Je fus surpris car la porte venait de s'ouvrir brusquement, j'ai même eu peur car j'étais contre. J'ai vu un homme d'un certain age, me demander ce que je faisais là. Je lui ai expliqué que mon calvaire avec la pluie l'orage et son ton s'est adouci et il m'a dit de rentrer. Quel plaisir de ne plus être la proie des éléments lolllllll. Il m'a dit de l'accompagné vers la salle de bain ou il m'a donné une serviette pour m'essuyer. J'en demandais pas tant. Il m'a dit que je pouvais me déshabiller pour mieux sécher C'est ce que j'ai fait à poil et hop (vous savez je suis pas pudique et ce depuis toujours). De toute façon il me était partit dans une autre pièce. Je suis sorti une fois sec avec la serviette autour de moi.

La maison semblait vieille et me souvient que l'intérieur disons le presque lugubre. Je faisais pas le difficile et me suis dirigé vers une pièce éclairé qui était le salon. Mon hôte était assis sur un fauteuil et m'a invité à prendre place. Il m'a proposé un chocolat qu'il est parti chercher. Quelques instants plus tard, avec la boisson il s'est assis à côté de moi en slip « kangourou » blanc. C'était un homme assez grand corpulent et ayant facilement la cinquantaine voir plus. J'ai été étonné de sa tenue et j'ai fait mine de la surprise. En moi même ça me dérange pas du tout. Mon regard était tout de même attiré par la bosse dans la slip, c'est normal je suis gay. On a discuté de chose et d'autres je lui ai expliqué un peu le détail de ma mésaventure. Voyant que je regardais son slip avec des yeux de merlans fris lolllllll. Il m'a demandait si j'avais déjà vu un « zizi d'homme ». J'ai répondu que non mais j'avais vu celui d'un copain de mon age et je l'avais touché. Bien sur j'ai menti, j'ai joué le jeux du puceau. Il s'est enhardi et m'a demandé si je voulais mettre ma main sur son slip, j'ai pas voulu au début et j'ai quand même posé ma main dessus. C'était chaud et le fait du contact de ma main à provoqué chez lui un gonflement. Il me caressait les jambes sous la serviette qui a fini par tombé et découvrir mon corps fin imberbe de l'époque. J'ai plus le souvenir des compliments mais la fréquence de ses caresses laissait supposer que je lui plaisais. Il m'a demandé en enlevant son slip si je voulais lui faire des bisous dessus. J'ai fait mine de faire non mais il m'a pris la tête et j'ai du coup fait des bisous en prenant garde de le faire gauchement. Il m'a alors dit de prendre son sexe dans ma bouche et j'ai commencé à sucer un peu maladroitement au début. Son se ...

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