Lorsque je sortis du bassin, une chaleur brûlante monta à mes joues. L’eau ruisselait sur ma peau, mais ce n’était pas le froid qui me faisait frissonner. Mon maillot, trempé, moulait chaque contour de mon corps… et exposait sans la moindre discrétion l’effet qu’il avait sur moi.
Je baissai brièvement les yeux, priant pour que personne ne remarque l’évidence de mon trouble, mais c’était peine perdue. Le tissu, devenu traître sous l’eau, collait outrageusement à mon entrejambe, trahissant l’intensité du désir qui m’avait saisi au contact de son corps contre le mien. Pire encore, par transparence, mon gland proéminent se dessinait distinctement sous la fine couche de tissu, rendant la situation absolument indécente.
Je sentis un regard brûlant sur moi avant même d’oser relever la tête.
Lui.
Toujours aussi sûr de lui, il s’était appuyé contre le rebord, une serviette sur les épaules, et m’observait avec cet air amusé qui me rendait fou. Son regard glissa lentement vers mon maillot, une étincelle de satisfaction brillant dans ses yeux sombres.
Je déglutis, cherchant une échappatoire, mais il se redressa, s’éloignant d’un pas mesuré vers les vestiaires. Juste avant de disparaître dans le couloir, il tourna la tête et me lança un regard qui me fit oublier toute retenue.
Je n’avais plus le choix.
Chaque pas résonnait sur le carrelage humide alors que je franchissais la porte des vestiaires, le cœur battant à tout rompre…
L’air tiède me frappa aussitôt, chargé d’une humidité qui collait à la peau. Mes pieds nus glissaient presque sur le sol tandis que je suivais son ombre, mon souffle court, mes sens en alerte. Il ne s’arrêta qu’une fois arrivé devant une cabine, poussant la porte du bout des doigts avant de me jeter un dernier regard, une invitation silencieuse mais sans équivoque.
Je n’hésitai qu’une fraction de seconde avant de le rejoindre, refermant la porte derrière moi dans un claquement sourd qui résonna comme un point de non-retour. L’espace était étroit, presque étouffant, l’odeur du chlore et du savon mêlée à la chaleur de nos corps encore humides.
Il se tenait là, tout proche, sa serviette à demi-défaite sur ses épaules, laissant entrevoir la courbe de ses clavicules et les gouttes d’eau qui glissaient le long de sa peau. Son regard accrocha le mien, brûlant d’une intensité qui me fit oublier l’embarras de ma propre nudité sous mon maillot trempé.
Sans un mot, il tendit une serviette, ses doigts frôlant les miens. Un simple contact, et pourtant, une décharge parcourut mon échine. Je déglutis difficilement, serrant le tissu entre mes mains comme un ancrage, alors que l’air entre nous s’alourdissait d’une tension presque insoutenable.
« Tu devrais te sécher… » murmura-t-il, sa voix rauque résonnant tout contre moi.
Mais nous savions tous les deux que c’était la dernière chose à laquelle je pensais.
Ses doigts glissèrent le long de mes hanches, effleurant ma peau humide avant d’agripper le bord de mon maillot. Mon souffle se suspendit lorsqu’il le descendit lentement, libérant mon corps de l’étreinte du tissu trempé. L’air tiède des vestiaires caressa ma peau nue, mais ce n’était rien comparé à la chaleur qui émanait de lui.
Je relevai les yeux vers lui, cherchant une quelconque hésitation dans son regard, mais il n’y avait que cette assurance déconcertante, ce calme troublant qui me rendait fou. D’un geste mesuré, il laissa tomber mon maillot détrempé au sol avant de s’emparer de mes poignets et de les guider vers sa propre taille.
Mon cœur battait à tout rompre alors que mes doigts rencontrèrent l’élastique de son slip de bain. Je sentis ses muscles se contracter sous mes paumes tandis que je le lui retirais, dévoilant son corps au fur et à mesure. L’eau ruisselait encore sur nous, mais à cet instant, c’était une tout autre chaleur qui nous enveloppait.
Nous étions là, nus, vulnérables et pourtant terriblement conscients de l’intensité du moment. La cabine exiguë semblait rétrécir encore, forçant nos corps à se frôler, à s’effleurer, attisant cette tension déjà insoutenable.
Il attrapa une serviette et, sans un mot, commença à me sécher, ses gestes lents et précis, effleurant ma peau avec une douceur troublante. Je fermai les yeux un instant, savourant chaque contact, chaque frisson qui parcourait mon échine sous ses attentions.
Lorsqu’il atteignit mon bas-ventre, je sentis ses mouvements ralentir. Nos souffles s’étaient faits plus courts, plus pressants. Mon sexe, tendu et palpitant, se dressait sous ses doigts, trahissant l’intensité du désir qui vibrait en moi. Il tenta de me sécher avec délicatesse, passant le tissu chaud sur ma peau, mais chaque effleurement ne faisait qu’attiser l’incendie déjà bien trop ardent entre nous.
Je retins un frisson en le regardant, mais il avait déjà remarqué l’effet qu’il me faisait. Ses lèvres s’étirèrent en un sourire à peine dissimulé tandis qu’il persistait, effleurant mon intimité d’un geste faussement appliqué. Pourtant, c’était vain. Mon sexe, gonflé d’un désir irrépressible, réagissait à chacun de ses mouvements, trahissant mon état avec une indécence que je ne pouvais plus ignorer.
Il s’arrêta un instant, sa main toujours posée sur moi à travers le tissu. Nos regards se croisèrent, et dans le sien, une lueur de défi s'alluma.
« Pas sûr que ce soit très efficace, » murmura-t-il, sa voix empreinte d’un amusement provocateur.
Sa serviette glissa lentement de ses doigts, tombant au sol dans un silence assourdissant. À cet instant, plus rien ne comptait hormis la chaleur brûlante qui pulsait entre nous.
Un silence lourd s'installa entre nous, seulement troublé par nos souffles entrecoupés. Il s'était agenouillé devant moi, son regard brûlant planté dans le mien, et je sentis un frisson me parcourir avant même que ses lèvres ne frôlent ma peau.
D'abord un effleurement, à peine une caresse, mais suffisant pour faire vaciller mes dernières résistances. Ses gestes étaient lents, précis, presque étudiés, comme s'il savourait chaque réaction qu'il déclenchait en moi. Mon corps, tendu sous l'effet du désir, trahissait l'effet qu'il me faisait, et il en jouait, prenant tout son temps, laissant sa chaleur m'envahir peu à peu.
Je fermai les yeux un instant, laissant ma tête basculer en arrière, submergé par les sensations qui s'intensifiaient. L’air tiède de la cabine, le contact de sa peau contre la mienne, la moiteur de l’instant… tout se fondait en une délicieuse torture.
Et lorsqu’il resserra doucement son emprise sur moi, je sus que je ne pourrais plus lutter. Plus question de se sécher ou de retrouver notre calme. Il avait décidé de me faire perdre tout contrôle… et je n’avais aucune intention de l’en empêcher.
Le temps sembla se distordre alors que nos corps s’épousaient, que nos peaux glissantes se retrouvaient dans un ballet d’ombres et de soupirs. L’air chaud et moite de la cabine se mêlait à nos souffles courts, saturé de cette attente insou ...
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