Ce récit a été noté : 3.9 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
suite de la Crème Solaire

Publié par : eskiador11 le 13/08/2024

Mon visiteur de charme est resté un moment au fond de moi en bougeant doucement son manche encore très dur. Ma bite restait dressée et gonflée.

Puis il s’est retiré doucement, je me suis retourné pour un spectacle que j’adore : sa bite restait tendue avec une dose énorme de foutre blanc-beige pendouillant vulgairement au bout de la capote. Il avait giclé un max, le cochon. Je lui ai retiré la capote en lui caressant les couilles puis me suis agenouillé devant son gland, que j’ai soigneusement nettoyé avec la langue. Un parfum fort, âcre, salé…

Je me suis dirigé vers la rivière pour me rafraîchir, je m’accroupis dans l’eau pour me calmer la bite et me rafraîchir la raie et le trou. Je me retourne vers la berge et je ressors de l’eau, délicieusement frissonnant dans la chaleur du soleil. Le contraste chaud-froid me donne soudain envie de pisser, je sors de l’eau et me soulage sur les galets, face à mon enculeur de rêve… qui s’approche de moi et place sa pine sous mon jet en se massant les couilles. Très vite, il se lâche également et me pisse abondamment sur les cuisses et les pieds. Il est aussi cochon que moi, j’adore.

Je m’étends au soleil, sur le dos, cuisses ouvertes et je me touche doucement la bite. Je finis par somnoler agréablement. Lorsque je me réveille, je vois mon compagnon étendu à plat ventre, jambes ouvertes au soleil… Son cul rond m’excite et je sens ma bite durcir agréablement. Je m’agenouille derrière lui pour le mater. Son sillon sombre, ses couilles et son prépuce sont offerts au soleil. J’approche mon visage, il sent le mâle, un mélange de rut et de pisse, je glisse ma langue dans son sillon qui sent aussi sauvagement l’homme. Ma bite est totalement dure, ma langue s’insinue entre ses fesses et retrouve rapidement la douceur de son œillet, que je commence à lécher et aspirer sans ménagement.

Il se soulève légèrement pour libérer sa queue, trop à l’étroit pour bander sous ses cuisses.

Je le lèche de plus belle et je glisse une main vers son sceptre durci, dont le gland émerge trempé de son prépuce. Mes couilles sont pleines et dures, je me redresse pour prendre une capote et me la glisser rapidement sur la queue. Puis j’appuie doucement mon gland sur son trou, il pousse juste ce qu’il faut pour me laisser entrer… Sans peine, mon gland glisse dans l’onctuosité de son cul, je suis au bord de l’explosion. Je bouge très d ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Branle, Fellation, Sodomie, Quadra, Mûrs, Uro/Scato, Européen(s)