Préliminaires
Elle le voulait. Ca faisait un moment qu’elle avait envie de le lui proposer. Mais il fallait qu’il soit d’accord... Enfin... il fallait qu’il accepte de soumettre à un jeu dont elle ne dévoilerait les règles qu’au fur et à mesure...
Alors Anne a sorti le grand jeu. Il le fallait, parce qu’elle allait lui proposer, peut-être lui imposer un scénario qu’il pourrait ne pas aimer tout de suite.
Elle a pris un bain aux huiles essentiel d’amande douce. Elle y a passé du temps. Il faut dire qu’elle a de quoi faire sur le rebord de sa baignoire. De quoi poser une coupe de champagne, et puis quelques jouets qu’il convient de ne sortir que pour certaines occasions. Elle était tellement excitée à l’idée du scénario qu’elle allait lui proposer qu’il lui fallait d’abord se détendre. Musique douce, jazz cool. Ses pensées s’apaisaient. Elle avait bien toujours cette idée en tête, et d’ailleurs le scénario se précisait. Mais il n’y avait plus l’urgence qui énerve plutôt que d’exciter.
Alors elle commença à caresser son corps. Son ventre d’abord. Au rythme de sa respiration. Lente et profonde. Puis ses seins, qu’elle regardait dans la glace. Encore très ronds et très fermes. Elle était fière de sa poitrine généreuse et tonique, elle qui avait plus de cinquante ans, mais ne voulait pas abdiquer. Elle ne s’était d’ailleurs jamais sentie aussi avide des sensations excitantes de la séduction qui pouvaient mener au sexe, ou peut-être pas. Parce que l’important était l’excitation du désir. Même s’il ne s’assouvissait que plus tard.
Elle sentit la pointe de ses seins gonfler sous ses doigts. Et une vibration se faufila tout le long de son ventre juqu’à son lisse pubis. Ses doigts auraient bien eu envie de suivre, mais elle voulait garder le contrôle et ne rien brusquer. Et puis surtout elle avait envie d’essayer son nouveau jouet. Ca se présentait sous la forme d’un tryptique. Deux pinces encadrant une sorte de petite bouche.
En attendant, elle se caressait voluptueusement, les jambes légèrement écartées pour laisser ses mains glisser à l’intérieur de ses cuisses. Peu à peu, elles se rapprochaient de sa vulve lisse. Elle y glissa un doigt, qu’elle enfonça à peine. Elle remontait vers son clitoris, puis redescendait, l’ayant à peine frôlé.
...Frissons...
Ca devenait vraiment difficile de résister. Elle abandonne ce va et vient pour caresser ses petites lèvres, puis elle les prit entre ses doigts, et les étira doucement.
Le moment était venu de se saisir de son nouveau jouet. D’abord les pinces, sur ses lèvres. Hmm, juste ce qu’il faut de douleur ... puis il fallait placer la sorte de ventouse sur le clitoris. Elle savait qu’elle n’aurait aucun mal à le prendre entre ses doigts pour y ajuster la ventouse. Elle était très heureuse de ça aussi... son bouton de plaisir n’était pas difficile à trouver...
Voilà, elle était déjà vibrante de plaisir. Il ne lui restait qu’à prendre les commandes... Vibrations, intensité du pincement, succion.... Il fallait tout essayer pour trouver comment faire monter petit à petit le plaisir... arrêter avant que ... laisser retomber un peu, se retenir puis reprendre un peu plus intensément. Jusqu’au moment où il n’était plus possible de résister. Elle avait le contrôle... totalement. Alors elle augmenta juste un peu, une dernière fois, l’intensité de la succion. Et... elle laissa échapper un cri rauque et puissant en même temps que son corps se cambra sous l’effet d’une onde de plaisir qu’elle imagina comme un feu rougeoyant.
Préparation
Elle retomba essouflée... épuisée, comblée, et prête à recommencer. Mais non, non, pas tout de suite. Elle voulait garder son excitation, et se préparer.
Son mari allait arriver.
Elle s’habilla... le plus légèrement possible. Ses fesses rondes se couvrirent (mais si peu...) de dentelle fine. Ses seins aussi. Et bien mis en valeur. Elle enfila une robe courte qui laissaient voir ses cuisses élancées qu’aucun voile ne couvrait. Jambes nues et talons hauts. Et décolleté vertigineux offert par la coupe croisée de sa robe et qui laissait largement deviner la dentelle rouge de son soutien gorge.. Juste fermée par une fermeture éclair qu’il semblait tellement facile de descendre. Ah, et puis je ne vous ai pas dit, la coupe du soutien gorge dégage juste la pointe de ses tétons. Et si elle se penche un peu, la robe ne cache plus grand chose.
Elle prend son sac, le garnit d’une huile de massage et de quelques préservatifs. Elle descend l’escalier quand il ouvre la porte, et reste bouche bée devant le spectacle qui s’offre à lui. Enfin... s’offre est bien mal choisi. Certes elle se penche vers lui et il ne peut ignorer la poitrine à peine voilée. Certes, elle l’embrasse voluptueusement. Mais c’est bien la seule concession qu’elle fait.
“Je sors ce soir. Toi, tu restes ici. Tu vas être très sage. Moi, je m’offre une soirée où je me laisserai porter par mes désirs. Il y aura de la sensualité, mais pas seulement. Si j’en ai envie, j’ouvrirai mes cuisses à qui me le demandera, ou peut-être serais-je très sélective. Je ne sais pas encore. Ni même si je ne me donnerai qu’à un seul homme ou si plusieurs devront épuiser mon corps. Tu ne sauras rien. Pas tout de suite en tous cas... à moins que... Je ne te dis rien, mais surveille quand même tes messages.
En disant cela, elle se colle à lui. Il peut sentir son parfum capiteux et sa main si douce glissée dans la fermeture de son pantalon pour caresser son membre qui s’était rapidement montré à la hauteur.
Lui plantant un dernier baiser, et une petite caresse, elle le laissa excité et pantois en fermant la porte derrière elle sans un regard.
Il entendait ses talons haut claquer sur le bitume, l’esprit en feu et dans un total désarroi pourtant très excitant. Il fallait qu’il garde près de lui son smartphone...
Attente
Elle gare son élégant cabriolet sur le parking du Papillon Bleu. Près d’un groupe d’habitué(e)s. Elle descend en écartant bien les jambes et en se penchant en avant sans aucune pudeur. Sa cambrure se dessine sous sa robe moulante et l’on devine sans peine la rondeur de ses fesses et la fente au milieu. Pour qui est placé de l’autre côté de la voiture, la voir fermer sa porte à clé est un vrai bonheur ... Peste soit des modernes cross over dont on descend quasiment debout, et vive les petites sportives basses qui obligent les dames à se pencher pour verrouiller la porte !
Tout ça pour dire qu’elle a offert son magnifique décolleté à peine voilée à quelques yeux qui ne se sont pas détournés.
Une fois dans le club, elle prend un peu de temps pour s’installer dans un siège confortable près du bar. Elle regarde et se sait regardée. Mais elle veut prendre le temps et garder le contrôle. Elle a envie de choisir, au moins pour l’instant.
Elle connaît bien la jolie barmaid et commence à bavarder avec elle. Ca lui permet aussi de temporiser. De faire monter tranquillement le désir. Quelques mots et ses yeux rencontrent ceux d’Elodie qui règne à cette heure sur le bar. Une jolie jeune femme aux longs cheveux sombre et aux douces rondeurs élancées. Autrement dit une brune pulpeuse et charnelle à souhait. Elle ne cache rien de ses formes généreuses. Beauté naturelle et fraiche. Rien de sophistiqué. Presque le contraire de pas mal des adeptes du lieu qui cultivent une élégance parfois trop étudiée, trompeuse. Anne sent son regard vaciller. La belle Elodie la trouble c’est indéniable. Mais Elodie résiste. Elle veut garder ses distances, ou le contrôle avec les clients. Et Anne aussi veut garder le contrôle, au moins encore un peu. Parce qu’une idée lui est venu... du fond de son désir... une idée, une envie jusque là enfouie.
Elodie déshabille littéralement Anne du regard. Ce qui n’est pas très compliqué en fait. La belle a croisé ses jambes nues très haut et est juste assez penchée sur son tabouret bar pour que nul ne risque de passer à côté d’elle sans remarquer son généreux décolleté. Elodie lui offre un sourire. Anne l’attire à elle et la regarde droit dans les yeux un court instant en n’osant pas céder à l’irrésistible envie de l’embrasser qui la surprend et la trouble.
Ainsi le dialogue entre les deux femmes va juste frôler la coquinerie, et Anne obtient quelques informations sur qui est là, qui est à éviter, qui peut éveiller sa curiosité.
Et puis finalement, elle se dit qu’Elodie pourrait bien l’aider. Elle ne va pas tarder à faire une pause. John arrive justement pour la remplacer.
Anne l’attend tranquillement en sirotant son verre, mais l’excitation monte à mesure qu’elle imagine le scénario qu’elle va mettre en place. Elle va avoir besoin d’Elodie. Et de quelques hommes qu’elle va choisir à sa façon. Mais d’abord ... elle veut tout connaître... Et ça va aussi faire partie du plan qu’elle est en train d’ébaucher.
Elodie sort du bar, s’approche. Elle n’a pas froid aux yeux, et ne craint pas de provoquer une femme qui pourrait être sa mère. Simplement parce que tout cela n’est qu’un jeu. Mais Anne l’impressionne quand même. Elle est un peu plus grande qu’elle. Elégante, raffinée, mais simple en même temps... Et naturellement sensuelle.
Anne l’attire vers elle, et lui murmure à l’oreille quelques mots qui la troublent bien plus qu’elle ne l’aurait imaginé. Anne lui demande tout simplement de l’initier, dans un endroit très intime, aux plaisirs saphiques.
Encore assez lucide, elle n’oublie pas d’envoyer un SMS à son homme pour lui dir ...
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