A la fin des entraînements, on se retrouvait toujours tous les mecs dans le vestiaire, pour se doucher et se changer. C’était un moment doublement pénible, parce que j’avais honte de me mettre nu devant les autres, me trouvant trop petit, trop maigre, pas assez musclé, surtout pas assez bien doté par la nature… et parce que j’avais peur que les autres remarques la façon dont je regardais à la dérobée leurs sexes, tous plus longs et épais que le mien, redoutant ce qu’ils pourraient penser de ma façon de faire. Celui qui attirait le plus mon regard, qui excitait chez moi le plus de jalousie, et un sentiment ambigu de fascination et de répulsion, c’était Simon.
Simon, c’était un peu mon extrême opposé, c’était le plus grand, le plus fort, la plus grande gueule, celui qui faisait toujours rire les autres… celui aussi qui avait la plus grosse. Et qui ne s’en cachait pas. Il exhibait même sans pudeur dans le vestiaire le long serpent de chair qui lui pendait entre les cuisses, l’attrapant à pleine main pour mimer une arme ou un micro ou le faisant tournoyer comme une pale d’hélicoptère. Il affichait toujours un détachement naturel, une désinvolture extrême, qui lui attiraient souvent des ennuis mais lui donnaient un charisme sans égal envers l’ensemble de notre groupe.
Tandis que tous se hâtaient de jeter leurs vêtements humides de sueur et de boue sur les bancs en bois qui faisaient le tour de la salle avant de se ruer sous la douche, je traînais délibérément à délasser mes chaussures et retirer mes habits de sport, retardant au maximum le moment de me joindre nu au groupe, et réussissant souvent à retarder mon entrée dans la douche collective jusqu’à ce que la plupart d’entre eux en fussent déjà sortis. La serviette étroitement ceinte autour de la taille, j’avançais le plus près possible du pommeau avant de la retirer, veillant à bien rester de dos. Quand j’avais à me retourner, une fois terminé, j’étais seul et pouvais tranquillement regagner la salle commune déjà quasi déserte, dans laquelle je me rhabillais à la hâte. De cette façon, j’évitais toute situation gênante.
Mais un jour, après m’être abondamment rincé sous l’eau chaude qui saturait l’espace de vapeur, en me retournant pour attraper ma serviette, j’eus la stupéfaction de me trouver nez à nez avec Simon qui était discrètement revenu pendant que je me lavais et se tenait derrière moi. Il se dressait d’un bloc entre moi et la porte, me dominant de la tête et des épaules qu’il avait presque deux fois plus large que les miennes. Surtout, sa main empoignait fermement son sexe, sur laquelle elle allait et venait lentement. Il bandait ferme, et sa queue déjà impressionnante au repos avait quasiment doublé de volume. Vaguement inquiet, je me demandais ce qu’il pouvait bien faire là. Lui m’a sourit, sans agressivité apparente, en me faisant remarquer que je reluquais souvent sa bite. Je ne savais pas quoi répondre… il a enchaîné en me demandant si je la trouvais belle. J’ai acquiescé de la tête, incapable d’articuler un mot. Alors il a continué à l’astiquer devant moi en se vantant un peu, que c’était clair que c’était lui qui avait la plus grosse, qu’elle était bien longue et aussi bien épaisse. Et que quand il jutait c’était une vraie fontaine. En la tenant à deux mains pour me prouver ses dimensions exceptionnelles, il l’a pointée vers moi en ajoutant que je devais la préférer comme ça, bien dure et bien gonflée. J’ai de nouveau hoché la tête.
Il a fait un pas dans ma direction, se collant presque à moi, et il a tendu le bras pour enfoncer le bouton de la douche. En m’expliquant qu’on était censé se doucher, que sinon ça allait faire louche, il a de nouveau pousser des hanches vers l’avant pour tendre son sexe dans ma direction. « Tu veux pas la toucher, tu vas voir comme elle est dure. » L’eau chaude ruisselait dans mon dos, éclaboussant son torse et atténuant le son de sa voix. Joignant le geste à la parole, il m’a délicatement saisi le poignet et a posé ma main sur sa verge raide, qui a frémi contre ma paume. Mes doigts se sont refermés autour de la tige de chair chaude et palpitante… C’était la première fois que je touchai un autre sexe que le mien, et celui-là était tellement plus gros que cela n’avait rien à voir. Je pouvais sentir ses pulsations contre ma peau, sa texture à la fois souple et rigide sous la pulpe de mes doigts. Sans même y penser, j’ai commencé à faire aller et venir ma main, en observant le gland rose turgescent qui gonflait un peu plus et se cabrait à chaque fois que mes doigts tiraient la peau en arrière. C’était comme de découvrir un nouvel instrument dont le maniement arrachait des gémissements rauques, entrecoupés d’inspirations profondes à Simon. Tout en relançant la douche, il s’est penché vers moi pour murmurer à mon oreille de continuer. J’ai poursuivi ma caresse dans les tourbillons de vapeur humide qui nous enveloppaient. J’avais moi-aussi le sexe dur maintenant, la sensation de sa queue sur ma peau m’excitait. Ma main gauche a rejoint la droite sur la bite, en enserrant presque toute la longueur que je pressais et faisais coulisser contre mes paumes, de plus en plus vite, accompagnant la respiration de plus en plus rapide et hachée de Simon, jusqu’à ce qu’un long jet gicle à l’extrémité du gland et vienne s’écraser sur mon ventre, suivi de quatre autres aussi puissants et abondants qui me couvrirent la peau de longues traînées de sperme blanchâtre et gluant, dont le ruissellement chaud me caressait agréablement. Sans un mot de plus, il est reparti s’habiller, pendant que je me savonnais abondamment pour retirer toute trace de son foutre.
Plusieurs séances se sont passées sans que rien ne vienne laisser penser ce qui c’était passé entre nous. A la peur, finalement sans fondement, qu’il raconte aux autres ce que je lui avais fait avait a succédé une certaine déception qu’il ne me considère pas mieux et continue comme auparavant à me tenir pour quantité négligeable. La seule différence était que maintenant, au moins, je me sentais libre de mater sa queue autant que je le voulais.
Plus d’un mois s’est passé, j’avais repris mes habitudes de douches solitaires, à l’abri des regards mesquins et moqueurs. Je me rinçais abondamment quand j’ai senti une main me frôler les fesses. Me retournant brusquement, je me suis trouvé face à Simon, sa queue bandée dressée devant lui, et sur laquelle mes doigts se sont immédiatement refermés. Cette fois, il s’enhardissait. Pendant que je le masturbais lentement, il se collait presqu ...
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