Ce récit a été noté : 3.8 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
Soirée sodo

Publié par : librefredy le 04/11/2021

C'est samedi soir. Nous sommes trois couples réunis dans l'appartement de Patrice et Genviève. Alain est là avec Michèle, ainsi que Béatrice et moi. Nous sommes trois couples échangistes. Je baise donc régulièrement avec chacune des trois filles, et mes deux copains font de même. Nous passons souvent des soirées ensemble en restant nus toute la soirée et la nuit. Mais cette soirée va être spéciale. Nous nous sommes mis d'accord quelques jours auparavant : le thème sera la sodomie. Les filles ont été facilement d'accord car elles ont déjà de la pratique avec des gars comme nous trois. Mais moi, j'ai mis du temps à donner mon accord car jamais personne n'est passé par là. J'ai obtenu la promesse que quiconque s'intéressera à mon anus devra le faire avec toutes les précautions nécessaires pour ne pas me faire mal.

Et voilà, nous sommes là tous les six, entièrement nus, assis dans le salon à boire une coupe de champagne, J'ai donc une coupe dans ma main droite, mais ma main gauche est coincée sous les fesses de Béatrice. Elle se tient assise comme si tout était normal, et moi je fais bouger mon majeur sur les bords de son petit trou. D'une main, elle écarte bien ses fesses afin de me laisser le passage. Je vois que Michèle est en train de sucer Patrice alors que Genviève, jambes largement écartées sur un fauteuil, se fait lécher par Alain. Il lui relève entièrement les jambes afin de lui lécher la raie du cul. Mais, du coup, Alain me tend son cul comme s'il voulait me l'offrir. Je ne résiste pas et je commence à caresser ses fesses. Il me regarde, un peu surpris, puis il recommence son travail. Alors je me balade le long de son cul, m'approchant de plus en plus du petit trou. Mais ce trou est de moins en moins petit, surtout quand j'y introduis un premier doigt. Il y a, un peu partout dans la pièce, des tubees de gel lubrifiant. J'en enduis ma main, puis je réattaque son cul, avec deux doigts cette fois.

Alain se cambre et écarte bien ses jambes. Je peux mettre un troisième doigt, avec lequel je fais du va et vient. On dirait qu'Alain prend du plaisir. Alors je cède à la tentation et, bite bien bandée, je l'encule. Je rentre d'abord juste un tout petit peu, puis progressivement, doucement, jusqu'à mes couilles. Arrivé là, je reste immobile. C'est lui qui se met à bouger. Il fait un lent va et vient, faisant pressque ressortir la bite pour ensuite la reprendre jusqu'au fond. Il va de plus en plus vite. D'une main, je cherche sa bite et je commence à le branler. Il est bandé à fond et je le sens prêt à éclater. Alors je prends l'initiative des mouvements, de plus en plus vite et le plus profond possible, jusqu'au moment où ma bordée part, violente et abondante, tout dans son cul. Lui aussi se lâche et il arrose abondamment mes doigts et la serviette sur laquelle il se trouvait.

Nous nous asseyons et reprenons notre souffle. Alain fait alors une chose à laquelle je ne m'attendais pas du tout : il me roule une pelle. D'abord surpris, je marque un temps pour réaliser puis, finalement, je me dis que pouquoi pas. Alors je m'abandonne totalement, et même fougueusement. Je me colle à lui et je caresse ses seins, comme s'il était une de nos trois copines. Cela dure une ou deux minutes, mais Béatrice nous sépare. Elle en veut aussi et c'est apparemment ma bouche qui l'intéresse. C'est elle qui se colle à moi. Elle prend ma main droit et se la colle sur un sein. Je la sens bien excitée déjà. De sa main droite, elle fouille entre mes cuisses, à la recherche de mon anus. Elle le trouve et, directement, elle y met un doigt. Je proteste un peu de sotre que, s'interrompant, elle va s'enduire les doigts de gel. Puis elle me fait mettre à quatre pattes sur le divan afin de lui tendre mon cul au mieux.

Elle agit avec douceur, prenant soin d'assouplir le sphincter au fur et à mesure. Elle introduit un deuxième doigt et elle écarte gentiment tout en faisant un lent va et vient. Je ne ressens aucune douleur. Au contraire, même, j'ai le sentiment d'aimer ça. Tout en me triturant, elle fait signe à Patrice. C'est un bon choix car il a une bite longue et fine. Les filles l'ont toujours préféré pour les sodomies car elle s'introduit sans problème. Il s'installe derrière moi et, sans attendre, il commence à m'enculer. C'est la toute première fois qu'une bite passe par là. Il le sait et il y va doucement.Il entre le gland et s'arrête un moment. Puis, très porgressivement, il fait entrer tout le reste, jusqu'à ses couilles. De nouveau il ne bouge plus pendant une vingtaine de secondes. Il commence alors un va et vient, très lent d'abord, et de plus en plus rapide. Je ne ressens toujours aucune douleur. J'en suis surpris. J'ignorais totalement qu'il était possible de prendre du plaisir dans l'anus. Ca remonte le long de mon buste jusque dans mon cou, une vague intense qui me déclenche une très rigide érection.

Patrice tient ma taille et s'agite de plus en plus vite, jusqu'au moment où il explose en moi. Je sens son jus m'envahir les entrailles et cela rend dix fois plus intense la vague de plaisir qui m'a envahi. Bon sang ! C'est la première fois que je me fais enculer et c'est fou le plaisir que j'y ai pris. Je ne croyais pas cela possible. Patrice se retire doucement et va s'asseoir dans un fauteuil pour reprendre son souffle. Je le rejoins et je fais alors une chose que je ne croyais pas possible : je lui roule une pelle. Il passe son bras autour de mes épaules et notre baiser se prolonge deux bonnes minutes. Je me relève et vais chercher une serviette car je dégouline un peu !

J'examine les alentours, comme si je reprenais mes esprits après un évanouissement. Alain est en trai d'enculer Béatrice. De leur coté, Michèle et Geneviève s'occupent en se faisant un 69, avec les langues dans les chattes et les doigts dans les anus. Après quelques instants, Alain pousse de profonds soupirs. Il est en train d'éjaculer dans le cul de Béatrice. Puis tout le monde se relève et nous nous asseyons dans les fauteuils du salon afin de récupérer nos souffles et nos ardeurs. Nous dégustons des sodas frais que Genviève a sortis de son frigo. Puis elle se lève, va ouvrir un buffet et en sort une série d'instruments. Elle en donne un à chacune des deux ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : En partie vraie, Gay, Bisexuel, Sodomie, Mûrs, A plusieurs