Je vais vous raconter une des plus belles soirées sexuelles qu'il m'est arrivée de vivre. J'ai 50 ans, je m'appelle Marie, je suis blonde et plutôt jolie d'après ce que dit mon mari et mes différents partenaires

Je travaille dans une agence immobilière dont j’ai la responsabilité. Je vis depuis une petite dizaine d’année avec mon homme Louis qui, malheureusement, et souvent en déplacements professionnels. Là, depuis la semaine dernière il est sur Toulouse. C'est mon homme, il est charmant, grand et très beau. Il m’a initié au libertinage. Nous avons une sexualité encore très active. On entretient notre libido par des jeux coquins, des sextoys et autres textos très suggestifs.

En absence de mon homme, et avec son accord, j’avais envie ne m’éclater sexuellement ce samedi soir.

Après recherche sur ce site, après discussion, je me suis arrêtée sur un partenaire charmant et courtois.

Après discussion, il me propose un restaurant un peu particulier à la Frontière Belge. Un restaurant libertin (Je ne savais même pas que cela existait). Il avait réservé une table. Il me dit de m’habiller de façon chic et sexy pour cette soirée.

J'avais mis ma robe blanche, style Maryline. Elle était un peu osée, mais en cet fin de week-end, il ne faisait pas froid et mon mari adore cette robe. Elle était très décolletée et présentait un dos nu, mais j'avais mis ma veste par-dessus. Ça restait soft.
Évidemment sans sous-vêtement, je n’aime pas en porter.

Je suis enfin prête.

Mon partenaire arrive au point de rendez-vous, pile à l’heure. Pendant la route, mon partenaire n'arrête pas de me caresser les fesses en passant sa main sous ma robe tout en conduisant. C'est à la fois très sensuel, mais un peu gênant, car je crains toujours que quelqu'un découvre que je ne porte pas de sous-vêtements.

A l’arrivée, mon partenaire de jeux me prend dans ses bras et m'embrasse fougueusement. Il me caresse le cul en soulevant ma robe. Je suis excitée, mais toujours à l'affût d'être surprise à moitié nue. Heureusement, nous sommes un peu en retrait de l’entrée et dans l'obscurité. Je sens son sexe qui grossit contre mon ventre et ses mains qui malaxent mes fesses rebondies me procurent un doux plaisir.

Nos langues se mêlent et mon excitation monte très rapidement. J'ai le cul à l'air quand on entend des pas derrière nous. Je réajuste ma robe rapidement quand un monsieur d'une quarantaine d'années, très élégant, nous dépasse en me souriant.
« Tu crois qu'il a vu mes fesses ? »
« Sûrement, vu sa position. Ça va le faire fantasmer pour contenter bobonne ce soir. »

Je regarde l'homme qui s'éloigne. Il est très grand, svelte avec une belle allure, pas le genre à retrouver bobonne le soir.
« Bon on va manger »

Arrivé devant le restaurant, je vois le monsieur qui regarde le menu devant l'entrée. Mon Dieu, j'ai honte. J'ose à peine le regarder. On rentre. Il y a beaucoup de monde, très guindé et plutôt âgé. Avec ma robe Marilyn, je fais un peu tache. On nous installe à une table un peu isolée, c'est parfait.

Par contre, je laisse mon partenaire s'asseoir dos à la salle. Je préfère être contre le mur. On commande une bouteille de champagne quand le monsieur de tout à l'heure s'installe à la table juste devant moi. Il me sourit encore. Décidément.
« Il y a le monsieur de tout à l'heure qui vient de s'asseoir en face de moi. C'est gênant. Vient-on change de place. »

Je lui tourne le dos, c'est mieux. On boit notre champagne, je suis plus détendue. On passe la commande et je me ressers une coupe. L'alcool commence à faire son effet, j'oublie l'épisode du monsieur regardant mes fesses et j'ose enlever ma veste. Je me retrouve avec mon dos nu et mon décolleté 95 B.

J'observe quelques regards de vieux libidineux, mais je m'en contrefiche.

« Ton amoureux transi ouvre de grands yeux en regardant dans ta direction. Tu lui fais un drôle d'effet »
« Eh ben, tant mieux pour lui, si ça peut lui faire plaisir de me mater. Par contre, je vais aller aux toilettes avant qu'ils nous servent l'entrée. »

Je me lève pour aller aux toilettes et je traverse la salle avec mes hauts talons bruyants, mon décolleté plongeant et ma robe moulante. Ça provoque quelques regards interloqués. De plus, mon inconnu ne me quitte pas des yeux en souriant. Il est très bel homme.

De retour à table, mon partenaire est en train de discuter avec mon bel inconnu.

« Ma chérie, je te présente Mario, il est venu nous saluer, car il nous trouve charmants et voulait me féliciter d'avoir une partenaire aussi belle et sexy au milieu de tous ces coincés. De plus, il nous invite à boire un verre en discothèque après le dîner. C'est gentil »

« Ben, oui c'est sympa, mais je pense qu'on préfère être entre nous, c'est mon anniversaire et on veut en profiter »
« Tu voulais aller danser, c'est l'occasion. Si ça ne nous plaît pas, on s'en ira. On peut aller boire un verre ».
« On verra. Tiens le serveur arrive avec les entrées » Mario s'éclipse.
« Pourquoi tu as accepté, on voulait faire une soirée tous les deux »
« Il est sympa et très bel homme »
« Ce n’est pas le problème, il est effectivement bel homme, mais je n’ai pas envie de passer la soirée avec un inconnu, si mignon soit-il »
« Tu ne m'as dit que c'était un de tes fantasmes, un plan à trois »
« Le principe du fantasme, c'est que ça reste imaginaire »
« Bon on avisera, moi j'irai quand même bien boire un verre et danser »

La soirée se déroule sans autre problème et le repas était délicieux. Vers 22 h 30, on quitte le restaurant. La nuit est noire.

Direction la boite de nuit. La discothèque se trouve à 200 m. L'entrée est très discrète et fait plutôt penser à une entrée de club échangiste. On entre, la musique est forte et la clientèle plutôt âgée. Ça me rassure, je craignais d'être entourée d'adolescents boutonneux.

On s'assoit au fond de la salle, j'enlève ma veste, il fait très chaud malgré la climatisation. Puis je vais sur la piste. La musique est sympa, très rock. Mon partenaire me regarde danser quand je sens, derrière mon dos, un homme qui se rapproche. C'est Mario. Il me sourit et danse avec moi. Il est effectivement très grand et danse très bien. Mon compagnon de soirée se lève et vient me rejoindre. Lui et moi, on s'enlace, on s'embrasse.

Mario se joint à nous.
« Comme promis, je vous offre un verre. Champagne, ça vous va ? »
« Ça nous va »

Il se dirige vers le bar.
« J'ai vu qu'il te matait sur la piste et j'avais l'impression que ça te plaisait »
« Je dois reconnaître que ça m'a excitée. Il est vraiment très bel homme »
« Il te plaît, c'est ton genre. »
« C'est mon genre effectivement, mais je suis avec toi »
« Il ne s'agit pas d'amour, mais de sexe »

Mario revient avec une bouteille de champagne et nous sert chacun une coupe. L'alcool me fait du bien, le champagne est frais.
« Vous étiez très beaux tous les deux sur la piste, je vous envie, vous avez l'air « amoureux » et très attirés l'un par l'autre. »
« C'est vrai, j’essaye d'entretenir ma libido en essayant des choses nouvelles »
« Comme quoi par exemple ? »
« Ben, des trucs à trois par exemple »
« Arrêtez avec vos délires de macho. »
« C'était une blague, ne te fâche pas me dit mon partenaire. Allez trinquons à ton anniversaire. »

Je bois mon champagne et on se met à discuter tous les trois. L'ambiance est très chaleureuse et Mario est vraiment charmant. Je les allume en croisant les jambes pour que la naissance de mes fesses apparaisse. Mon partenaire m'embrasse en caressant mes cuisses. Je suis emportée par l'excitation et je me laisse faire, je suis très excitée. Il glisse sa main jusqu'à mon sexe et commence à me titiller le clitoris. Je gémis. Je regarde Mario qui comprend le message et vient s'asseoir à côté de moi. Je lui prends la main et la pose sur mon sein. Il caresse mon téton en m'embrassant dans le cou. Je suis complètement à la merci de ses deux hommes qui me font perdre la tête. Heureusement, la place qu'on occupe est plongée dans le noir et personne ne remarque notre danse érotique. Mario dénude mon sein gauche et lèche mon aréole. Je mouille de plus en plus alors que mon partenaire m'enfonce son majeur au plus profond de moi. Je suis en transe et je me retiens de gémir pour ne pas attirer l'attention, mais mo ...

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