Au début de nos aventures libertines, je n’avais probablement pas mesuré les risques que pouvait entraîner ce genre d’activité à leur juste niveau, et, de plus en plus attirée par le sexe, j’échangeais sur le net avant de me rendre parfois à des rendez-vous seule, sans mon mari.
Dans ces cas là, il s’arrangeait pour venir à proximité de l’endroit où j’avais rendez vous afin de surveiller, autant que faire se peut, le bon déroulement des opérations. Il rechignait à me laisser seule, mais nous étions convenus que je devais m’assurer par moi-même que cette activité me plaisait à moi-même et que je n’y participais pas seulement pour faire plaisir à mon mari.
J’échangeais ainsi avec un homme retraité de 68 ans, Fausto, voyageant beaucoup sur son bateau, sa vie étant partagée entre le nord de la région lyonnaise et ses voyages. Un visage émacié, buriné, peu de cheveux, pas très grand, mince... pas l'homme que l'on remarque vraiment, mais il savait m'exciter, au grand malheur de ma culotte...
Je jouais avec lui par mails, la fréquence de nos échanges étaient de plus en plus fréquente.
Après quelques mois de correspondances, il voulait me voir.
Il devait repartir en voyage sur son bateau et ne devait pas revenir avant plusieurs mois et j'ai donc finalement accepté de le rencontrer.
Nous avions rendez-vous dans un café de Villeurbanne vers 21 h. Je gare ma voiture devant. Il arrive juste à ce moment, à pied et nous commençons à parler alors que je sors de ma voiture et la ferme.
- Je viens d’arriver et n’ai pas trouvé de place. Viens dans ma voiture, le temps d’en trouver une, si tu veux bien.
Vu son âge et son look, je ne pense pas risquer grand-chose. Et mon mari est assis dans le café : il doit me guetter. Nous prenons la voiture de Fausto, stationnée en double file au moment où une voiture de police arrive manifestement pour verbaliser les stationnements gênants.
Il démarre, mais au lieu de rester dans le coin, il rentre dans le parc de Miribel. Je suis un peu étonnée, mais il se met à me parler et je ne me rends pas compte qu'il a l'air de chercher quelque chose, je pense à une place, mais il s'arrête à la hauteur d'un chemin qui s'enfonce dans le bois et le prend...
Il roule une centaine de mètres, et quand il s’arrête, je me retourne et constate qu'on ne nous voit plus de la route. Il éteint toutes ses lumières et se penche sur moi pour m’embrasser.
Je n'avais pas vraiment envie de l'embrasser, me laisser caresser à la limite. Il me coince contre la portière et tente de déboutonner le haut de ma robe, je suis bloquée, il est rapide, quand je bloque une main l'autre se place entre mes cuisses... Là, il résiste et y reste, ses doigts sont déjà en train de frotter ma chatte à travers ma culotte. Dans cette voiture, dans la pénombre, l'ambiance est assez propice, mais je me débats, je suis en colère.
Je ne suis pas de taille à résister. Il est bien conservé et est bien sûr beaucoup plus fort que moi : la pratique du bateau lui donne l’habitude de se battre avec les éléments !
De guerre lasse je le laisse me caresser par dessus la culotte, mais bien que je tienne cette main, il la passe sous ma culotte et doit sentir que je mouille déjà...
Il entre ses doigts dans ma vulve et me fait du bien. Je me laisse aller le dos contre la portière, et le laisse faire. Il ouvre totalement ma robe boutonnée, remonte mon soutien- gorge au dessus de mes gros seins, les faisant jaillir... Il me les suce tout en me branlant... C'est tellement bon ! Il s'y prend bien, le salaud ! Puis il ouvre sa braguette et sort son sexe bandé, recule son siège, et passe sa main derrière ma tête pour la diriger sous le volant et me rentre sa queue dans la bouche.
Là encore, je ne peux résister. En ai-je d’ailleurs vraiment envie?...
Je suis complètement de biais. Pour plus de confort, je me mets à quatre pattes, les genoux sur le siège passager, Fausto en profite pour relever ma robe par derrière, le dos nu il peut passer sur le coté pour caresser mes seins qui pendent dans cette position. Il descend ma culotte jusqu'aux genoux, et plus à l'aise ainsi, il peut glisser sa main sur mes fesses, entre mes cuisses... Mais je réalise en même temps que, de ce fait, je dois avoir les fesses nues devant la fenêtre passager...
Il me fouille de ses doigts, devant, derrière... Je suis hyper excitée, le vieux vice lard sait y faire !
Je m'active sur sa bite... Il apprécie, s'arrêtant souvent de me caresser la chatte et le cul pour mieux se laisser aller sur le dossier et profiter pleinement de ma langue sur sa pine...
Tout à mon affaire, je sens soudainement de l'air frais sur mes fesses. Je veux relever la tête mais il me la maintient sur sa queue.
Je sursaute. Des mains me touchent les fesses, les cuisses, des hommes parlent entre eux, et je comprends que Fausto a ouvert la fenêtre à des voyeurs qui devaient être là à regarder depuis un moment. Mes fesses sont à la fenêtre et son esprit pervers n'a pas manqué de profiter de la situation.
Il continue à me maintenir, tirant même un peu plus ma robe que j'ai maintenant sur la tête, les voyeurs ont tout mon corps jusqu'au cou à leur disposition... Je ne sais pas combien ils sont mais je sens pas mal de mains qui me tripotent, les seins pendants dans le vide, les cuisses, le ventre, et bien sûr ma chatte et les fesses...
Je mouille de plus en plus, Fausto bouge tout seul dans ma bouche à coup de reins...
Je n'ai plus le courage de m'occuper de sa bite... trop occupée à ressentir le plaisir d'être ainsi vue, fouillée, tripoté par tous ces mâles. Heureusement mon visage est sous la robe, je ne pourrais les regarder et ils ne pourront me reconnaître...
Fausto est au bout et se laisse aller dans ma bouche. Je pensais pas qu'il y serait resté, mais l'excitation de la situation, pour lui qui regardait ce que l'on me fait, a du être trop forte pour avoir le temps de sortir...
Surprise, je m'étrangle, et je pars en quinte de toux, je suis obligée de me relever et de sortir la tête de la robe, rouge écarlate, assise sur le siège passager, j'essaie de reprendre mes esprits tout en regardant autour de moi... la robe ouverte, les seins sous le soutien- gorge, la culotte sur les cuisses....
Un silence étonnant règne quelques secondes, le temps qu'ils me regardent. J'en vois trois qui sème matent, et un autre qui arrive et s'informe auprès des autres de la situation. Ils doivent se relayer les infos par SMS quand il se passe quelque chose, parce que je vois aussitôt deux autres mecs qui arrivent sortant de l'obscurité, d'une autre direction, devant la voiture...
Très inquiète, je m'affaire à essayer de boutonner ma robe, mais un pan est coincé sous mes fesses.
Je suis en train de les soulever quand ma portière s'ouvre d'un coup...
Je tourne la tête, l'un des voyeurs m'attrape le bras droit, m'empêchant de fermer ma robe. Aidé d'un autre, ils me sortent de la voiture. Je vois six hommes, le premier me tient par la taille sous la robe pendant que son complice tire la robe en arrière et l'enlève, puis vient le tour de mon soutien-gorge, ma culotte reste coincée aux genoux.
Aussitôt, celui qui me tient par la taille glisse ses doigts dans ma chatte déjà mouillée, ces mains que j'ai eu tort de laisser me tripoter par la fenêtre, mais la situation était tellement excitante que je ne pouvais rien faire, laissant encore une fois mon corps prendre le dessus sur ma raison.
Je ne sais pas quoi faire, j'ai été trahie par ce salaud de Fausto qui voulait jouer avec moi, et regarder d'autres le faire.
Je n'ai pas le temps de m’interroger sur ce qu'il va se passer. L’homme me retourne, me pousse contre la voiture et me fait allonger sur le siège passager. Il tire mes jambes dans le vide de telle sorte que mes fesses soient juste au bord du siège, offrant au choix, mes fesses et ma chatte à la portière. Ma culotte est tombée aussi, dernier rempart, symbolique depuis longtemps. Le 4x4 est haut, et ainsi positionnée, je suis à la bonne hauteur pour eux.
Ma tête est de nouveau près du volant, sur la cuisse de Fausto. Il ne fait rien et regarde.
Tout cela a été très vite, une ou deux minutes, pour que je me retrouve à disposition. Justement je sens une verge à l'entrée de ma chatte.
On me pénètre sans douceur, mais en fait j'accueille cette queue avec plaisir, car tout cela m'a bien excitée, et j'avais besoin de sentir cela. Mais je ne manifeste pas de satisfaction, et je suis quand même inquiète de la suite.
- Vas-y Gino, la dame n’attend que ça, que tu lui foutes ta pine dans la moule ! Son sexe s’entrouvre rien qu’en pensant à la grosse enfilade qu’il va prendre. Vas lui mettre ton zob ...
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