Après l’obtention de mon diplôme, M. Gantz me proposa un CDI en tant qu’aide comptable. Le salaire n’était pas Top, mais j’acceptais volontiers, car un CDI ça ne se refuse pas. Par ailleurs, je connaissais déjà la boite pour y avoir travaillé ponctuellement.
C’est d’ailleurs lors d’une de ces missions que mon patron avait découvert mon péché mignon : les pieds d’homme en chaussettes de nylon noir. Le jour de cette découverte, il en avait profité, mais nous n’en avions plus reparlé.
M Gantz vivait dans le même lotissement que mes parents. Il fréquentait la même salle de sport que mon père et quand celui-ci lui avait dit que j’avais enfin décroché mon diplôme, M. Gantz avait répondu qu’il avait justement besoin d’un comptable et qu’ayant été très satisfait de moi, c’est avec plaisir qu’il me prendrait dans son équipe.
Lors de mon premier jour de travail, M. Gantz avait fait allusion à nos petites aventures passées. Mais depuis, plus rien.
En fait, nous nous rencontrions rarement. Moi toujours plongé dans les comptes, lui papillonnant entre les clients, les employés et les divers partenaires de la boite.
Un soir, alors que je m’apprêtais à quitter le bureau, M. Gantz entre dans ma pièce « J’ai un petit service à vous demander. Mais ce n’est pas pour le bureau, c’est personnel ».
« Oui M. Gantz ? »
« C’est à propos de M. Nicolas. »
« M. Nicolas ? » M. Nicolas était le régisseur du lotissement où nous habitions.
« Oui, tu sais(Gantz me tutoie dans certaines circonstances) pour son fils, sa petite amie l’a quitté. »
« Oui, papa me l’a dit. Corine a quitté Victor. Ça doit faire six mois non ? »
« Un peu plus. Victor ne s’en remet pas et M. Nicolas se fait du souci pour lui…….Alors, nous avons pensé qu’une petite soirée entre hommes lui ferait du bien… »
« Oui, vous avez surement raison. »
« Si tu venais, toi qui as le même âge, ça serait bien.»
Victor avait cinq ans de plus que moi, mais, à l’époque, je ne me formalisais pas encore sur ce type d’erreur.
« M. Gantz, je connais à peine Victor et, du peu que je sais, nous ne partageons pas les mêmes goûts. Vous jugez ma présence utile, mais j’ai peur de vous décevoir, ainsi que M. Nicolas. »
« Nous décevoir ? Mais pas du tout. M. Nicolas et moi sommes bien placés pour t’apprécier. Très bien placés. J’aimerais compter sur toi. C’est demain soir, chez moi à 20h.
« Entendu M. Gantz, 20h chez vous. J’espère que je pourrai me rendre utile. »
« J’en suis certain. »
Lors du dîner familial, mon père me présenta que M. Nicolas était vraiment inquiet pour son fils, que M. Gantz ne tarissait pas d’éloge sur moi et que tout le monde était certain que ma présence serait bénéfique à Victor.
« Mais papa, tu sais que Victor n’aime que le Foot, sa moto et sa Corine. Qu’est-ce que tu veux que je lui dise ? Nous n’avons rien en commun. »
« Mais si, mais si, vous avez le même âge (encore !), tu trouveras bien. De toute façon, il faut que tu y aille. Je compte sur toi pour ne pas décevoir M. Gantz et M. Nicolas ».
Ma mère conclue « Tout ce que tu risques c’est de t’ennuyer. »
Le lendemain soir, en sonnant à la porte de M . Gantz, j’espère un bon petit dîner.
Je déchante vite. M. Gantz m’introduit dans le salon, M. Nicolas et son fils sont déjà installés chacun dans un fauteuil. Sur le sol, des boites de pizzas et des canettes de bière. L’écran de télévision est allumé sur une série américaine.
M. Gantz me fait asseoir dans un fauteuil et prend celui qui reste. Je me dis qu’au moins, je ne passerai pas la soirée assis par terre, comme une certaine autre fois (qui ne fut pas si désagréable en fait).
Victor regarde fixement la télévision, les traits tirés, sans expression.
M. Gantz pousse vers lui l’unique pouf « Le pouf pour toi, Victor. Ce soir c’est ta soirée.».
Victor, sans quitter l’écran des yeux, allonge ses jambes sur le pouf. C’est un grand gaillard de 30 ans, aux cheveux blonds coupés très ras. Il porte un tee-shirt gris, un jean artificiellement usé et oh surprise ! Aux pieds, ce ne sont pas les habituelles Nike mais des richelieus de cuir. En plus, il porte des chaussettes de nylon noir !
Je suis troublé.
M. Gantz a remarqué mon émotion « Tu admires les chaussures de Victor. C’est un cadeau de son père. Victor les porte depuis deux jours, avec les mêmes chaussettes, pour bien les faire à son pied ».
M. Gantz croise les jambes. Il porte des mocassins, et comme Victor, des chaussettes de nylon noir !
Je me tourne vers M. Nicolas. Ses pieds déchaussés sont aussi gainés de nylon noir !
M. Gantz : « Si on se passait un porno ? Qu’est-ce que tu en dis Victor ? »
Pas de réponse de Victor.
M. Nicolas : « Oui, bonne idée. »
M. Gantz met en marche le lecteur de DVD. Sur l’écran, apparaît une blonde baisée par deux hommes superbement membrés.
Un ange passe. Victor regarde le film en grattant sa barbe de trois jours. Son visage demeure inexpressif.
M. Nicolas, se tournant vers moi : « Si tu faisais à Victor un de ces massages dont tu as le secret ? »
Victor grogne « Pas besoin de ça papa. »
M. Nicolas : « Mais si, tu verras, il est doué pour le massage des pieds. Ça va te détendre. ».
Victor reste muet.
M. Gantz intervient : « Ton père et moi on a essayé, ça fait vraiment du bien. » Puis ce tournant vers moi, « Vas-y ! Qu’est-ce que tu attends ? »
Je m’agenouille près du pouf. Les pieds croisés, Victor ne m’accorde pas un regard.
M. Gantz ôte un de ses mocassins. De la plante de son pied déchaussé, il me tapote le visage. L’odeur puissante me trouble. Comme j’aimerais pouvoir déguster ce pied ! Mais M. Gantz a un autre objectif. « Vas-y , Occupe-toi de Victor. »
M. Gantz et M. Nicolas déplacent leurs fauteuils de part et d’autre de celui de Victor, comme pour surveiller les opérations. Je défais les lacets des chaussures de Victor.
Quand j’ôte les richelieus, un fort parfum de pieds macérés dans le cuir me saute à la gorge. Mon excitation est immédiate. Les grands pieds moites de Victor m’attirent irrésistiblement.
Les chaussettes noires transparentes laissent entrevoir la chair de la plante des pieds. J’en approche mon visage pour les renifler. Je plaque mon nez à la naissance des orteils et inspire profondément. Quelle plaisir de sentir cette sueur odorante ! Dans un état second, je couvre ces pieds de baisers, j’y frotte mon visage, je les lèches.
M. Gantz s’adressant à Victor : « C’est pas mal, hein ? »
Je lève les yeux vers Victor. La braguette de son jean est tendue. Mais il fixe l’écran, le visage impassible.
Sur ma droite, M. Nicolas baisse son jogging à mi-cuisses pour caresser son paquet. Sur ma gauche, M. Gantz extrait sa queue de sa braguette, la décalotte, puis masse lentement le gland.
M. Gantz s’adresse à moi « Vas-y, passe aux choses sérieuses. » Puis à Victor « Victor, sois pas gêné, fait comme nous. ».
M. Nicolas « Oui fiston, prend tes aises s’est ta soirée. »
Je lèche les pieds de Victor au travers de ses chaussettes. Ils sont chauds et goûteux ! Ils m’excitent follement. J’entends un zip de fermeture éclair, ...
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