Maeva est une jeune femme de 36 ans, 20 ans de moins que moi à l'époque de notre rencontre. Je l'ai rencontrée sur un site, elle cherchait des hommes plus âgés et pratiquant le bdsm.
Avec elle, les discussions étaient compliquées, elle répondait aux messages, m'appelait en visio et elle se branlait sous mes ordres, et puis silence radio pendant des semaines.
J'avais fini par la rencontrer une fois chez elle, mais je avais pas pu me laisser aller à mes envies et aux siennes car elle craignait que ses proprios, qui habitaient au-dessus, entendent des cris et mes claques. Bon j'avais réussi à lui en administrer quelques unes, et à l'enculer car elle adorait ça, mais rien d'extraordinaire.
Elle coupe la communication puis me recontacte trois ou quatre mois plus tard, en janvier 2020.
Je lui propose que nous allions à l'hôtel pour mieux nous connaître et d'y passer la nuit car je peux sous prétexte pro découcher de chez moi.
Banco, date et lieu convenus.
Je lui dis d'arriver en premier, de se préparer complètement car je compte bien profiter de son cul généreux et accueillant. Robe noire un peu décolletée, pas de soutif ni de string, épilée partout, pas de maquillage. Bien compris ? Oui monsieur.
Tu m'appelles quand tu es prête.
Le jour dit, je suis sur le parking et attends. A 14h30, mon téléphone sonne c'est son numéro.
- je suis prête monsieur. Chambre 118,premier étage.
- j'arrive.
Je monte les escaliers avec ma valise où j'ai quelques surprises pour elle.
J'entre dans la chambre, elle se tient debout, un peu intimidée, le sein gauche sorti de la robe comme je lui ai demandé. Je m'approche d'elle en souriant et lui flanque une gifle sur la joue.
- je t'avais dit de ne pas me regarder. Baisse les yeux.
Elle s'exécute.
Je précise que tout ce que je lui ai fait était convenu avec elle. Elle m'avait donné ses interdits (uro scato marques), open bar pour tout le reste.
Nouvelle gifle : je n'ai rien entendu ?
- pardon monsieur
- bien.
Je pose ma valise, vais me faire un café que je déguste lentement en fumant une clope. Je l'ignore complètement, elle reste debout et attend en se dandinant sur chaque pied à tour de rôle. Bon ne la faisons pas languir plus longtemps.
Je me lève et ouvre ma valise, elle a un regard de côté, inquiète et intriguée à la fois.
Je sors mon cartable avec mon attirail que j'étale sur le lit : menottes, collier, laisse, bâillon, badine, cordes, canne de dressage, des plugs et des godes.
J'ouvre sa bouche et y mets un petit plug.
- mouille le bien. Elle acquiesce. Je vois sa langue rouler sur le plug.
Je lui passe les menottes aux poignets et aux chevilles, des menottes capitonnées où l'on peut attacher des cordes par un œillet.
J'ai choisi cet hôtel pour ses chambres du premier avec des poutres apparentes. Je prends une corde que je lance par dessus une poutre. J'attache un bout à la poignée de la fenêtre. Je joins les menottes par l'œilleton et passe l'autre bout par l'œillet. Je tire, ses bras s'élèvent, je tire jusqu'à ce qu'ils soient tendus. Elle est quasiment sur la pointe des pieds. Je prends le plug dans sa bouche. J'écarte ses fesses et l'y introduis. Je la bâillonne avec le bâillon boule.
- prête ?
Elle gargouille un oui.
Notre code : orange quand elle a mal mais qu'elle veut juste un petit break avant de continuer, rouge quand elle veut que ça cesse. Je lui demande de les dire pour entendre si c'est intelligible. OK.
Je prends la canne de dressage et fouette l'air. J'aime ce bruit. Je la pose à ses pieds et remonte sa robe jusqu'aux aisselles. J'adore son gros cul ses seins assez gros sans être lourds. Je frotte ma canne sur sa vulve. Lentement puis plus vigoureusement. Ell ...

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