En ce temps là j’étais travesti

Depuis quelques temps comme j’aime ça, je suis accrochée pour réaliser un scenario.
Bien sur comme d’habitude ; beaucoup de paroles peu d’actes. Bien que certains soit assez précis rien ne se réalise.
Pourtant un soir je suis contactée par un jeune homme qui, après un bon moment de discussion, me propose d’en réaliser un le lendemain en fin de matinée :
Le scenario du dépanneur (déjà proposé par un gars qui a disparu de la circulation sans donné suite).
Aussi le lendemain je suis particulièrement excitée lorsque je me gare sur le parking prévu pour notre rencontre. Celui ci est juste en bordure d’une route assez fréquentée et d’où l’on peut voir le camping car cela ajoute du piment à cette rencontre.
Évidement je suis habillée en petite salope ; Perruque blonde, minijupe, string, bas résilles et chemisier bien ouvert.
Comme entendu j’envoie mon appel au secours au « dépanneur » du coin et je l’attends derrière mon volant.

«Je n’arrive plus à démarrer je suis en camping car sur le parking de la poste... »

Bien sûr, très rapidement arrive le dépanneur qui se gare tout près de mon camping car.
En salopette et tout sourire il se dirige vers moi.
Je n’ai pas le temps de descendre que déjà le beau gosse ouvre la porte de la cabine.
Et bien entendu, moi, j’en profite pour pivoter vers lui et ce sont mes jambes que j’ouvre. Il a ainsi une vue direct sur l’intérieur de mes jambes bien dévoilées.
« Alors on a des soucis, ne vous inquiétez pas je vais m’occuper de vous ... »
me lance-t-il en lorgnant sans discrétion mon entrejambes et mon string bien visible.
« merci, je n’y connais rien en mécanique »
« pour commencer ouvrez le capot » (grand sourire en reluquant le haut de mes cuisses)
«  heu en fait je ne sais pas comment faire... »
« il faut tirer la manette qui doit se trouver sous le tableau de bord »

Me penchant exagérément, quasiment couchée, une jambe légèrement levée, je cherche la dite manette bien trop à droite. De ce fait mon mécano a une vue imprenable sur le haut de mes jambes bien écartées et à hauteur de ses yeux.

Cherchant du mauvais coté, je ne la trouve évidement pas. Mon dépanneur doit donc monter et se pencher lui aussi pour découvrir le levier tout en me frôlant et me couvrant presque. Une douce chaleur m’envahit.
La sécurité Enfin libérée, il peut ouvrir le capot.
Après un court instant il me demande de faire démarrer le camping car et le moteur ronronne de suite.
« C’est ok je vais vous faire la facture, je peux monter ? »

Passant à l’arrière, j’ouvre et attends mon dépanneur juste en face de la porte ( il y a 2 marches) continuant de montrer « discrètement » le haut de mes jambes gainées de bas résilles et mon string à peine caché par ma très courte minijupe, et ça ne le laisse pas insensible.
Après avoir rempli très rapidement son papier il me le montre.
Pour le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle est salée cette facture !

« je ne peux pas payer une telle somme ! »
« on peut toujours trouver un moyen de s’arranger … »

Je lui tourne le dos, un léger frottement contre ma fesse et je sens la dureté de sa bite.
« Vous ne me laissez pas indifférent. Alors … Il suffit que je dise à mon patron que je ne vous ai pas trouvé … qu’est ce que TU en penses … »
Je ne bouge pas et laisse sa main me frôler la jambe et remonter lentement jusqu’à mon string.
« tu me fais bander, tu es du genre salope non ? … pose ta main sur ma bite !»

Sans attendre, s’emparant de ma main et la guidant, il la plaque contre sa bite gonflée à mort.
« oh !... hummm ! Je n’aurai pas à payer alors ? »
« c’est moi qui vais te payer et en liquide » (rire)
« Bon, je m’offre à vous, vous pouvez me faire ce que vous voulez … en échange je ne payerai rien on est bien d’accord ? »
« ça marche ma belle il faut simplement que je prévienne mon boss. »
Sur ce, il sort un instant et téléphone.
Pendant ce temps j’en profite pour me préparer...Rentrant il lance
« alors ma petite salope, approche toi que je caresse tes belles fesses »
Joignant les gestes à la parole, il promène ses mains sur tout mon corps et s’arrête sur mes fesses puis, très rapidement il fait descendre mon string sur mes pieds.
« Attends j’enlève ma salopette tu pourras ainsi mieux t’occuper de ma bite ... Les salopes de ton genre me font toujours bander… Mets toi à genoux tu vas me sucer »
Docile, j’obéis. La salopette à peine descendue, sa bite jaillit.
« suce moi ! » lance t il super excité.
Mais déjà il frotte son gland humide sur mes joues, cherche mes lèvres et introduit son nœud dans ma bouche en me prenant la tête.
Je me laisse faire, soumise et offerte à toutes ses envies.
J'enroule ma langue autour de son gland tout en le tétant. Il soupire de plaisir. Je me recule un peu pour reprendre mon souffle, sortant sa bite mais il me force à la ravaler de suite. Je caresse ses couilles avec douceur.
Il se laisse faire un moment.
« elles te plaisent mes couilles, alors lèches les ! »
Je m’applique à bien les cajoler.
Puis il me reprend la tête à deux mains et commence à baiser ma bouche. Ses va et vient deviennent de plus en plus rapides et brutaux. J’ai du mal à suivre le rythme et des larmes perlent à mes yeux.
Soudain 2 coups sont frappés à la porte. Surprise je relève la tête.
Lui me sourit ...

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