Saunas fermés ! Le confinement le covid et tout et tout, donc que mes yeux pour pleurer et mes souvenirs d'après midi bien remplis et la hâte que ça reprenne.
57 balais, bi sexuel, 2 saunas par semaine en moyenne. C'est dire si ça manque...
Un après midi type dans un de mes saunas favoris? par exemple celui des grands boulevards au bout de la galerie? Ca donnerait à peu près ça:
Je sonne: petit sas, bonjour à la statue, je paye, bonjour monsieur, une clé, une serviette. Superstition: quand le numéro du vestiaire est pair ça va marcher du tonnerre de dieu!
Vestiaire collectif, je me déshabille sans trainer et je mate un peu en même temps: il y en a pour tous les gouts même si effectivement c'est dans ma tranche d'âge.
Les toilettes et je descends. La douche qui juste à côté du hammam. Et je rentre, en mettant mes lunettes dans ma serviette roulée. Il est toujours très chaud ce hammam avec des lumières qui changent et des couleurs stimulantes.
Quand on arrive tôt l'après midi il y a peu de monde mais en général les mecs ont envie… Sans mes lunettes, c'est flou, mais je vois plusieurs comportement très différents. Le mec qui garde sa serviette autour des reins et les jambes serrées...A priori c'est non ! Le mec qui rentre à poil et qui regarde en ressortant aussitôt : dommage pour lui! Et le mec assis, nu, les jambes écartées, plus ou moins tendu, qui se touche et qui regarde autour de lui, ou qui regarde sa bite… C'est là, quand on entre qu'il faut bien juger des attitudes de ceux qui sont déjà assis et faire le bon pari en s'asseyant à côté du bon.
Donc j'entre, j'analyse, je choisi, et quand j'ai bien choisi, le bonheur.
Assis à côté de lui, je regarde sa bite tout en branlant la mienne et en fermant les yeux, je tends la main pour toucher sa cuisse. il arrête de se branloter et je sens son désir d'entrer dans le jeu. Ma main remonte doucement vers son sexe et s'il ne bouge pas, ne me repousse pas, c'est ma bouche qui descend vers lui. Sans plus attendre, je m'assois par terre, ma tête arrive entre ses cuisses ouvertes et je prends sa queue. Car oui, d'abord, mon premier plaisir, c'est la fellation, avant toute autre chose. Et comme je prétends être doué, sans fausse modestie, ceux qui ont envie et qui ne s'arrêtent pas au visage ou au simple aspect corporel, ceux qui se laissent faire comprennent très vite. Et comme c'est le début de l'après-midi, comme je suis leur premier, je les sens se détendre ( sauf à l'endroit qui lui doit rester tendu ). Je les sens étendre leurs jambes, alors que tout en suçant je caresse les cuisses, le ventre, les tétons et les bras. les moins égoïstes me caressent le cou, les épaules. Certains se penchent, je les garde en bouche, ils me saisissent mon sexe qui grandit, et se réadossent au dossier. Certains ne me touchent pas, ferment les yeux et ne se concentrent que sur eux et leur plaisir. Qu'importe ! Leur dureté et leurs spasmes sont déjà mon plaisir, même s'ils ne donnent rien d'autre.
Qu'importe leur couleur, leur âge, leur visage et leur corps ( pourvu qu'ils ne sentent pas le mal lavé, parce que ça, ça me bloque très vite ) Un sexe masculin dressé, dur ou semi rigide, c'est le plaisir dans la bouche, sur la langue. Je varie les cadences, les profondeurs de pénétration, la vitesse… Mon sexe se dresse et c'est tellement agréable de résister au plaisir de le prendre aussi en main.
Parfois, mais pas toujours, cela crée un petit groupe: une queue tendue se rapproche et entre dans mon champ de vision, ou alors mon partenaire suce le voisin qui est assis. Alors là, une de mes mains part à l'aventure et peut se retrouver sur une autre bite dressée. Cela dit il est rare que j'abandonne ma première victime: les autres n'ont qu'à attendre ! Mais parfois mon partenaire, lui aussi dans son fantasme, pousse doucement ma tête vers une autre bite, et alors là, j'ai le droit.
Si je suis à quatre pattes, parfois des mains et des sexes sur mon dos, ou alors des doigts qui me pénètrent. Quand il n'y a pas d'ongle, que c'est fait gentiment, pourquoi protester?
Et puis là, à un certain moment, il y a toujours trois cas de figure!
Le premier cas de figure, assez fréquente: mon partenaire adore ça mais il sait que c'est le début de l'après midi. Alors tout d'un coup il réalise qu'il ne veut pas jouir tout de suite. Ou alors il en a marre car je suis du genre à ne pas lâcher l'affaire. Donc, soit il me pousse gentiment vers quelqu'un d'autre et s'en va, soit il me caresse, débande un peu et me dit "J'ai trop chaud", soit "je ne veux pas jouir tout de suite, on continue plus tard" Il y en a très peu qui partent sans au moins un sourire. Pas grave ! Et s'il n'y a personne pour prendre la relève, ou si moi aussi j'ai trop chaud, je peux aussi partir.
Le deuxième c ...

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