Mine de rien, la pendule tourne vite. Tous les épisodes d’une après-midi réussie sont là quand je peux me dire, après ces diverses étapes rituelles : depuis que je suis arrivé, j’ai sucé une demi-douzaine de mecs dont certains ont été jusqu’au bout, deux mecs m’ont pénétré, j’ai déjà joui une fois, mes tétons me font un peu mal mais quel pied…
Ça fait un peu tableau de chasse effectivement mais j’arrive souvent à penser qu’en trois ou quatre heures, j’ai vécu l’équivalent de plusieurs vies sexuelles moyennes, j'ai assouvi plusieurs fantasmes que beaucoup d’autres humains ne ressentiront pas, j'ai pu pratiquer aussi plusieurs actes qui sont encore passibles de mort ou de prison ailleurs, ou qui peuvent déclencher des frénésies homophobes pas très loin d’ici…
A ce moment-là, ma raison me dit de replier la gaule et de partir, d’autant que ça se calme dans le sauna : les mâles ont déjà tous joui au moins une fois, ils voudraient bien tenter l’extra ball mais ne sont pas tous en état, certains dorment même…
Oui mais non : ce que la raison dicte, la queue l’ignore, et c’est reparti pour un tour dans tous les lieux décrits dans les précédentes feuilles.
Et les jours de chance, on voit arriver, en fin d’après-midi, les hétéros bi sortis du travail, ceux qui ne veulent pas encore rentrer chez eux dans la sagesse conjugale. Ceux là doivent avoir envie depuis le matin et c’est encore pire pour eux car ils y ont pensé, se sont retenus et ne demandent maintenant qu’à exploser.
Je me souviens, une fin d’après-midi fatiguée et le moment où je me dirige vers mon vestiaire et l’ouvre pour me rhabiller. Juste à côté, un homme plus jeune, une quarantaine bien portée, qui se déshabille. Mon regard file vers l’essentiel, il le voit, il me sourit et porte sa main vers son sexe fin, surmonté d’un gland tentateur. Je le regarde et lui rend son sourire. Je referme mon vestiaire et le suit. Il descend vers la douche, et nous y arrivons ensemble. Il déclenche le jet, tourné vers le mur, mes mains lui caressent tout de suite le dos.
Douceur de la peau, moiteur de l’eau.
Du savon, vite, la douche est vide, je frotte son dos, lui embrasse les épaules, juste à la naissance du cou et lui saisit le sexe. Il se cambre, prend mon sexe dans sa main et me branle. Après un petit moment, je m'écarte, il ne faut pas aller trop vite.
Je suis maintenant assis par terre entre ses jambes écartées et il me baise la bouche , en profondeur, doucement. Je sens ses cuisses le long de mon corps, il se détend et commence à se relaxer. On finit par sortir, se sécher un peu et partir vers une cabine. Fin de journée : la plupart des cabines sont libres.
Une grande nous accueille, je m’allonge sur le dos, il se met à genou à côté de moi et s’enfonce de nouveau dans ma bouche. Une des positions reines, car elle laisse quatre mains libres pour accompagner la pénétration buccale.
Lui taquine mon sexe, mais je sens ses doigts descendre encore un peu et stimuler ma muqueuse. L’index me pénètre alors que les autres doigts de cette main se resserrent autour de mon anus. Il se penche un peu et me prend en bouche. J’arrête ma succion, je ferme les yeux et je m’abandonne.
Il se place entre mes jambes écartées, les relève en saisissant mes pieds et se rapproche, toujours à genou. Son sexe encore mouillé de ma salive vient se placer sur ma fente, il se frotte, il se tend, pèse de plus en plus et soudain entre quand mon muscle l’accepte. Il pousse et me pénètre à fond dès le premier assaut. Je crie, et je gémis, mes mains caressent son ventre et arrivent à remonter assez haut vers sa poitrine. Ses coups de rein s’amplifient, il pèse de plus en plus sur moi pour rentrer jusqu’au dernier millimètre. Soudain il s’arrête, se penche, nos deux ventres se touchent, sa langue vient ouvrir mes lèvres, il ne bouge plus et je sens son sexe raide toujours bien planté en moi.
Je serre mes muscles autour de son pieu tout en lui caressant le dos, les flancs, les cheveux, et je commence à bouger un peu mes fesses. Il gémit de plus en plus fort et se redresse, mon regard plonge vers son pubis collé à mon sexe, je bande à demi, il se saisit de moi doucement et me décalotte. Nos mouvements sont infimes et un miroir mural vient décupler mon plaisir car je nous y vois presqu’entièrement. Mieux qu’un porno en relief.
Je vois les muscles de ses fesses qui se contractent à chacune de ses poussées, ses jambes fines, je vois mon corps qui tressaute en cadence. Il lâche mes p ...
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