En sortant du hammam, et d’autant plus en cas de baise débridée selon le processus détaillé dans le premier texte : de nouveau la douche qui est juste à côté. Si on sort à deux protagonistes, certaines petites choses humides peuvent d’ailleurs se poursuivre.
Je me rappelle, un jour spécialement chaud, avoir été suivi par un très bel homme à ma sortie du hammam. Sous la douche, il s’est plaqué contre mon dos et j’ai senti une queue de volume respectable qui se plaquait entre mes fesses. Ses mains me caressaient et se sont retrouvées sur me tétons. Je suis particulièrement sensible de ce côté-là, je dirais même : de plus en plus sensible. Une voix a chuchoté dans mon oreille : »J’ai envie de ta bouche ». Quand c’est demandé poliment… Pourquoi résister ? Je me suis retourné, l’ai plaqué contre le carrelage du mur, et me suis accroupi lentement devant lui, toujours sous le jet d’eau de la douche.
Et là cinq minutes de pur plaisir autour d’un sexe dur et massif, d’un corps qui tremble, sous l’eau de la douche, avec ses mains sur mes épaules et un troisième compère qui est venu derrière moi à genou pour caresser mon sexe. L’accès à la douche était rendu difficile par notre petit groupe, mais personne d’autre ne s’est plaint… Au moment où ma langue parcourait son gland et son frein, où mes lèvres parfois se refermaient doucement sur cet endroit si sensible, soudain un grand jet dont je sens la chaleur le long de ma joue, même sous l’eau tiède qui coule… Superbe moment !
Mais bon, ce n’est pas toujours aussi voluptueux, la douche de l’après hammam.
Ce sauna des grands boulevards est sur trois niveaux, vestiaires au premier, et puis hammam au premier sous-sol. Habituellement, je ne descends pas tout de suite au second sous-sol, surtout quand j’ai encore du temps devant moi. Il y a déjà des cabines à côté du hammam, et la backroom est aussi à ce niveau.
J’aime y aller après le hammam. La backroom est assez grande, carrée, une banquette longe l’ensemble des murs.
Critique des backrooms dans leur ensemble : souvent la lumière. L’idéal serait le noir complet, assez rare à trouver, peut-être pour des raisons de sécurité. Mais le principe de la backroom, c’est précisément de s’amuser dans l’obscurité la plus forte possible, ou au moins dans une pénombre qui désinhibe. Alors s’il faut mettre des veilleuses, par pitié, ne les mettez pas trop fortes, vous les propriétaires d’établissement. L’idéal, c’est une lumière rouge car le rouge excite sans trop montrer. Et le noir complet c’est encore mieux ! J’ai le souvenir d’une panne de courant un soir dans un autre sauna, dans la salle vidéo. Noir complet sauf l’éclairage de secours des blocs indiquant les sorties de secours. Quasi instantanément, les quatre ou cinq spectateurs qui ne se touchaient pas se sont tout de suite rapprochés et se sont mélangés. J’ai embouché alors un des sexes les plus gros que je n’aie dégusté dans mon long parcours. Un vrai barreau de chaise, qui appartenait à un homme par ailleurs très mince. Un vrai régal, que je regardais avec envie avant la panne. Et j’ai pu le sucer à l’envi jusqu’au moment où la lumière est revenue. Et là… tout le monde se sépare ! Dommage, vraiment dommage !
Donc, pour revenir à cette backroom, il est assez rare de la trouver vraiment vide. Et là aussi, il y a de tout. Des duos, des trios, voir un peu plus parfois. Branlettes, malaxages de tétons et fellations, rendues d’autant plus faciles par la possibilité de s’asseoir sur la banquette. Un suceur assis est très vite entouré et d’autres mains caressent le bénéficiaire de la gâterie. C’est assez jouissif. Je me rappelle d’un très jeune homme asiatique assez petit, debout sur la banquette et qui se laissait sucer par deux hommes, ses mains à lui posées ...
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