Le lendemain, Céleste passa me prendre chez moi, mes parents étant partis au boulot et l’autre mâle nous attendait plus loin en voiture. Il démarra sans un mot.
Nous roulâmes deux bonnes heures pour aller à Dakar, et céleste était assis à l’arrière avec moi, ce dont il profita pour me faire sucer sa bite en me maintenant bien la tête, et je dus tout avaler et ce fut abondant…puis la lui lécher un certain moment.
Au bout d’une heure, l’homme qui conduisait et que je vais nommer Madou, s’arrêta au bord de baraquements. Il me fit descendre et m’amena en me tenant gentiment par le cou dans une des baraques où se tenais deux hommes d’une cinquantaine d’années. Il leur parla en wolof et me fit mettre à genoux, en me tenant les bras en arrière. Les deux hommes baissèrent leurs shorts et une queue grosse et courte vint s’enfoncer brutalement dans ma bouche pour aller jusqu’au fond de ma gorge, et il se mit à me limer en me tenant bien la tête, au bout d’un bon moment il laissa la place à son collègue qui fit de même avec une bite très longue qu’il eu de la difficulté à rentrer entièrement.
Amadou me fit relever mes fesses et descendit mon short, je senti sa bite sur l’entrée de ma chatte qui était serrée et il essaya d’y rentrer…je criais malgré une queue dans ma bouche, il me faisait très mal et je gesticulais pour échapper à son gland, mais ils me maitrisèrent, je senti un liquide froid, et son gland se promena sur ma fente, puis il entra d’un coup sec à fond. Ma bouche libérée de la bite, je hurlais car comme écartelée et il se mit à me besogner en tapant sur mes fesses avec son pubis. Il poussa un râle et je senti les tremblements de sa queue qui vidait ses couilles…
Un des autres hommes, se plaça derrière moi et sa queue fine me pénétra violemment pour me limer sans ménagement aussi…son comparse avec sa grosse queue me prit la bouche qu’il bloqua au fond de ma gorge, les coups de reins de son collègue dans ma chatte, projetant sa queue encore plus loin dans ma gorge, dont je senti sa jouissance en un long jet épais et visqueux que je dus déglutir pour avaler…Un grognement derrière moi et des poussées plus vigoureuses, m’annoncèrent que j’allais être rempli, ce qui se passa juste après.
Quelques minutes plus tard, nous avions repris la route…J’avais des larmes qui perlaient aux yeux, car j’avais pas mal dégusté, et le fond de ma gorge me faisait mal, surtout ma chatte qui était endolorie par le manque de préparation bien écartée par ces assauts répétés.
Mais j’étais hyper excitée et je me sentais devenir de plus en plus salope, on dit nymphomane de nos jours. Ce qui explique ma passivité à obéir et subir ces mâles. Et ils savaient que j’aimais ça. Quand une bite n’était pas dans ma bouche ou dans ma chatte, je vivais un manque, il m’en fallait en permanence…En somme addiction totale à la bite.
Céleste me prit par le cou et poussa ma bouche à ses couilles et me les fis gober entièrement et sa main me plaqua fermement pour les maintenir dans ma bouche. Pendant qu’il me triturait mes tétons l’un après l’autre et je restais ainsi jusqu’à ce que la voiture s’arrête enfin.
Madou me fit descendre, et me tenant toujours par le cou, me fit entrer dans une maison.
Là quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur une femme sénégalaise d’une trentaine d’années, mais je m’aperçus vite que c’était un travesti.
Mamadou lui dit « tu me l’éduques ! ».
‘’Elle’’ me pris par un bras et m’entraina dans une pièce à côté, me déshabilla, puis me fit allonger sur le dos sur une table courte, ma tête pendit en arrière, elle attacha mes mains sur les côtés et releva mes jambes qu’elle passa dans des lanières, les immobilisant hautes et écartées.
Elle me rasa mes quelques poils et enferma ma bite dans un objet qui la comprima, l’empêchant de grossir, ma chatte elle, par mes cuisses écartelées était bien offerte, elle s’y attarda par des massages doux mais appuyées avec de l’huile qui chauffait, ce qui m’excita.
Ma bite voulait bander mais l’objet la comprimait et cela était dur à supporter…
‘’Elle’’ prit mes seins qu’elle massa aussi vigoureusement avec l’huile qui me chauffa la peau, et mes mamelons se mirent à durcir…puis elle posa sur chacun de mes petits seins une sorte de ventouse, et un ronronnement suivi…mes mamelons et mes tétons furent violemment aspirés par des succions alternées. Je sentis mes seins être tirés vers le haut. Cela tirait et suçait tellement fort que j’en émis des gémissements de douleur, dont ‘’ elle’’ n’en eu cure…
Je sentis ensuite qu’elle essayait d’introduire dans ma chatte un objet que je ne pouvais voir, il me semblait très gros, il finit par entrer et ma vulve fut écartée à son maximum, à la limite d’être déchirée, je criais, et l’obj ...

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