De nature timide, extrêmement même, j’aime porter parfois des bas et une petite culotte sous mon pantalon.
Personne ne peut s’en douter sauf moi et c’est alors que je me dis « s’ils pouvaient savoir, j’en aurais honte » et celui m’excite terriblement.

Travaillant dans l’informatique, un jour un homme de 55 ans m’appelle pour me faire part d’un problème.
Son ordinateur démarre mais il est lent. Parfois il ne s’allume pas et il me demande si je pourrais passer pour jeter un coup d’œil ?
Je lui réponds que oui sans hésiter, j’arrive.

Dans la voiture, je perçois la caresse du nylon sur mes cuisses et c’est alors que je prends conscience que je me rends chez un homme vêtu de mes bas et ma petite culotte que j'avais enfilé par plaisir quelques heures auparavant.

J’arrive chez lui, je sonne et dans ma tête c’est un peu la panique.
J’espère qu’il ne se doutera de rien et malgré tout, je suis excité.

L’homme m’ouvre, il est en peignoir.
Visiblement il sort de la douche.
Il me fait entrer et m’explique son problème tout en me conduisant dans le salon où se trouve l’ordinateur.
« - Regardez ce que vous pouvez faire. Je vous laisse, je finis dans la salle de bain. »
Repartant en direction de sa salle d’eau, il rajoute :
« - Cependant, soyez gentil de retirer vos chaussures, je viens de laver .»
C’est alors que la panique m’emporte.
Avec un peu de chance je vais trouver la panne avant qu’il ne finisse et voilà.

J’enlève mes chaussures et me voilà au milieu d’un salon, en bas, sentant le sol a travers et, je bande.
Mon sexe frotte contre la culotte en dentelle, je commence à mouiller.

J’appuie sur le bouton et évidement, rien ne fonctionne.
Plus qu’à regarder les branchements sous le bureau.
Je me mets à 4 pattes et commence à regarder dessous.
Penché, les fesses relevées, mon pantalon descend un peux et laisse apparaître la ceinture de ma culotte.
Je cherche, sans prêter attention à ma position quand une voix derrière moi me dit :
« - Avez-vous trouvé ? »
Je suis tétanisé.

Il est là derrière moi, il voit mes pieds, il voit ma petite culotte qui dépasse de mon pantalon.
Il a les yeux droits sur mes fesses et je ne peux rien cacher.
Mon sexe se durcit encore plus a cette pensée. Il m’est impossible de me relever.
J’ose un oui timidement.
« - Eh bien, voyons ça alors. »

Rassuré par l'idée que visiblement il n'a rien remarqué sur ma tenue, je sors de dessous le bureau, me redresse en essayant de cacher mon érection mais en me relevant, mon gland frotte encore plus sur la dentelle .
Je mouille tellement que j’ai l’impression qu’une tache se forme au niveau de ma braguette.
Il me regarde en souriant, toujours en peignoir, nu en dessous.

M’indiquant l’ordinateur il me dit :
« - A toi l’honneur.
Je te tutoie, ça ne te dérange pas au moins ?
- Non, bien au contraire mais il me sera difficile d’en faire autant», ce qui est vrai.
Je me penche sur le bureau pour atteindre le bouton, ce qui fait bailler mon pantalon.
Là, impossible qu’il ne voit rien.

Il s’approche derrière moi.
Sa main effleure mes fesses doucement puis, plus fermement.
Je ne peux plus bouger.
Je suis là, penché sur un bureau, ses mains sur mes fesses.

J’arrive enfin à appuyer l’ordinateur et l’ordinateur démarre.

« - Je suis content » s’exclame-t-il, sa main à présent plaquer sur mon cul.
Je ne bouge toujours pas et me laisse peloter. Je ne vais pas le nier, j’aime.

Après quelques secondes il me demande :
« - Il y a quoi sous ton pantalon ?
Ce ne sont ni des chaussettes ni un boxer à ce que je vois. »
Sa main remonte de mes fesses et vient tirer le haut de ma culotte pour la faire dépasser de mon jeans, ce qui la fait rentrer dans mes fesses.

Une bouffé de honte m’envahit .
Il me fait retourner doucement et toujours avec son sourire, me regarde :
« - Que caches tu dessous ? »
Je rougis, croise mes mains devant mon pantalon et dans une honte absolu bredouille :
« - Des bas et une petite culotte, monsieur », les yeux rivés vers le sol.
« - Une petite culotte ? De fille tu veux dire ? »
« - Oui. »
Je ne sais plus où me mettre. J'aimerais fuir ou me cacher. Je n’ose même plus bouger ni le regarder.

Je vois son sexe se durcir, presque à en écarter le pan de son peignoir.

Avec autorité, il écarte mes mains toujours cachant mon érection et je les laisse pendent contre moi.
Il défait mon bouton et mon pantalon glisse au sol.
Me voilà face à lui, me montrant en bas et un panty en dentelle noir.

« - Plutôt jolie tout ça .»
Je n’ose toujours pas le regarder mais je sens son sourire, ça m’apaise.
« - Tu devrais honte de venir chez un homme et te présenter à lui en tenue de petite salope. »
Le mot est lâché, je l’adore.
Oui, j’aime me sentir salope et c’est tellement humiliant.
J’en ai honte oui mais je ne peux rien dire.
Je sens son regarde me parcourir des pieds à mon ventre.

Ses doigts effleurent mon sexe à travers la dentelle.

Il pose sa main sur mes fesses, me les caresse sur la dentelle et la plaque fermement dessus.
il m’entraîne ainsi vers la chambre.
Je suis là, en bas, offert à ses yeux et à ses gestes, à parcourir son salon a moitié à poil en tenue de pute.
Je dois l’avouer, j’aime ça.

Il s’assoit sur son lit et moi, toujours debout, je reste immobile devant lui, ne sachant quoi faire.
« - Tourne toi que je puisse te reluquer ton petit cul !»
Son ton est ferme et je comprends que ce n'est pas une suggestion.
Je m’exécute, mes fesses vers lui, ses mains se pose dessus, bien à plat, sur chacune de mes joues.
« - Penche-toi un peu allons, ne fais pas ta timide, je vois bien que tu aimes ça .»

Je me penche et offre ainsi tout mon cul à un homme et je me laisse faire, quelle honte.

Ses mains les caresses, les palpes, les empoignes et je mouille de plus en plus.
Je ne suis qu’une salope qui s’offre et se laisse faire.

« - Tu as un beau petit cul de salope !
Écarte les cuisses un peu, tu aimes ça offrir ta rondelle ? »
J’écarte légèrement mes jambes.
Sa main passe sur mes petites couilles et elle se plaque sur mon sexe.
« - Tu as une à petite queue de salope. Tu aimes te faire caresser ? »
Toujours penché, offerte, je n’arrive pas à répondre.
« - Tu aimes faire ta putain ? »
Ne répondant toujours pas, il me saisit le sexe et l’empoigne avec force . Son ton plus autoritaire
« - Dis moi si tu es une pute !»
Je comprends que je dois lui répondre et bredouille :
« - Oui Monsieur, je suis une putain. »

Il pose ses mains sur mes hanches et me retourne.
Je me retrouve face à lui, mon sexe dressé et ma mouille traverse la dentelle.
« - Bien ma petite salope. On va voir si je peux faire de toi ma petite pute.»
Il a les yeux sur ma culotte, regarde longuement tout en me traitant de petite garce alors que sa main caresse mon gland.
« - Regarde comment tu bandes petite pute. Bonne petite salope » me dit-il en tapant doucement ma bite.

Il est assis sur son lit, à présent jambes écartées, peignoir ouvert et je vois son sexe.
« - Ça te paît de regarder une bite d’homme ? » me dit-il en caressant mes jambes.
« - Elle te plaît ma queue ? »
Je hoche la tête d’approbation. Oui, elle me plaît.
« - Alors, vient lui dire bonjour ! »
Ses mains m'oblige a m'agenouiller devant lui, entre ses jambes.
Il prend mon visage entre ses mains et le dirige vers son sexe avec douceur mais fermeté.

Son sexe est à présent contre mes lèvres.
« - Montre moi ce qu'une salope comme toi sait faire. »
Tendrement j’embrasse cette queue.
Je sors ma langue pour le lécher. Le parcours, de ses bourses à son gland.
Mon visage toujours entre ses mains, il me caresse la joue :
« - Ouvre la bouche !»
J’ouvre ma bouche et il appuie mon visage pour y faire rentrer sa queue.
Elle est chaude, bandée et je suis toujours prisonnier de ses mains.
« - Suce salope ! »
Et introduite sa queue dans ma bouche avec quelques râles de plaisirs.
Je suce sa queue du mieux que je sais faire, elle me remplit la bouche.

Ses mains viennent sur ma tête et il me caresse les cheveux.
« - Bonne petite chienne, applique toi ! »
Je redouble d'application, excité par ses mots.
Il semble apprécier à en croire ses « bonne pe ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite